Mikama - May 9, 2017

Navalona R. dans Midi-Madagasikara
Depuis 1990, l’algoculture a été introduite à Madagascar. Un projet intitulé ARPL appuyé par l’Union Européenne et bien d’autres partenaires a été mis en œuvre pour développer cette filière dans les zones entre Toliara et Morombe en 1997. L’objectif étant d’améliorer les sources de revenu des pêcheurs dans la région Sud-Ouest de Madagascar. La culture d’algues s’étend ensuite dans la partie nord de l’île. (..) Les algues sont entre autres très prisées pour fabriquer des additifs alimentaires et des produits cosmétiques. La culture d’algues permet également d’améliorer la qualité de l’eau et de lutter contre les prédateurs des organismes marins », a-t-il enchaîné. Il faut savoir que quatre entreprises, à savoir, Copefrito, Arumes Algue, Natur’Alg et Sovalg effectuent en ce moment une plantation d’algues.

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
Cette décision a surpris plus d’un surtout que le gouvernement planche sur la relance des investissements pour tirer la croissance économique du pays. Les dernières publications de la banque soutiennent une hausse dans ce sens. Au cours du premier trimestre, Madagascar a fait entrer 85,2 millions de DTS contre 77,8 millions de DTS pour la même période en 2016. Pour soutenir sa décision de relever le niveau du taux directeur à 9 % à partir du 11 mai, l’institution monétaire du pays avance l’envol du taux d’inflation au cours du premier trimestre de cette année, et qui risque de se poursuivre dans les prochains mois. (..)  les taux directeurs peuvent être expliqués comme étant le taux d’intérêt principal de chacune des banques centrales, dans le cadre des prêts aux institutions financières commerciales. À travers ce mécanisme, l’institution monétaire du pays veut contrôler l’offre et la demande de crédit, l’évolution des prix ou l’inflation. « Ainsi, cette décision de la banque centrale influence les taux proposés aux ménages et aux entreprises, par les banques primaires. À partir de la date d’application de ce nouveau taux, les clients de ces institutions financières peuvent s’attendre à une hausse du taux d’intérêt »

Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
Les résultats préliminaires de la recherche menée par l’UNICEF dans le cadre d’enquêtes SMART montrent une prévalence de GAM entre 10 et 15 pour cent dans les districts de Beloha et Amboasary, dans la fourchette de prévalence « élevée » pour le gaspillage, selon les normes de l’OMS (10-14 pour cent) ». Depuis janvier 2017, l’Unicef a fourni de l’eau pour près de 130.000 personnes sur les 740.000 qui n’ont pas accès à l’eau potable dans les six districts les plus affectés. Malheureusement, 610.000 personnes demeurent sans eau potable.

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