Mikama - September 30 2016

V.M. dans La Tribune de Diego et du Nord de Madagascar
La formation était d’ailleurs marquée par la thématique « lecture politique des décisions économiques ». La FDJ est un programme initié par la fondation Friedrich Ebert. D’après Marcus Schneider, représentant-résident de la FES, la FDJsoutient l’émergence d’une nouvelle génération de journalistes, « influencer de manière positive les décisions concernant les affaires publiques et éclairer l’opinion publique ». Le journalisme d’investigation est proposé comme cadre d’apprentissage. « Les techniques de recherche, de gestion et de diffusion des informations sont mises à l’épreuve. Le relationnel, le langage et la gestion du temps sont des atouts »

Dans La Gazette de la Grande Ile
La charte royale d’engagement de règlement des litiges a eu lieu à la Chambre de Commerce et d’Industrie d’Antananarivo (CCIA) hier. Les acteurs lors de cet engagement sont : le Groupement des Entreprises de Madagascar (GEM), le  Centre d’Arbitrage et de Médiation de Madagascar (CAMM) et la CCIA. Il s’agit là d’un engagement du secteur privée à suivre les normes requises et ne pas avoir recours à la corruption lors des cas de litiges. Les acteurs affirment être réjouis de cet engagement car le CAMM  est déjà bien en place.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Quant à la création de nouveaux établissements censés contribuer à la création de nouveaux emplois et de la valeur, il n’y a qu’à jeter un coup d’œil sur les données de l’Institut national de la statistique (INSTAT) à travers les Tableaux de bord économique (TBE). Ces tableaux rapportent, entre autres, l’évolution de la création d’établissements formels. Et celle-ci recule dangereusement : elle a enregistré une régression de -25,6% au premier semestre 2016 selon le TBE de juillet dernier. Ce qui signifie que les entreprises existantes souffrent du mauvais climat des affaires, et les nouvelles potentielles ne voient pas le jour étant donné les risques trop élevés. Concernant la situation macroéconomique, la Grande Ile est toujours loin d’afficher une pression fiscale de 12% et peine donc à financer l’investissement public

Mikama - September 29 2016

V.M. dans La Tribune de Diego et du Nord de Madagascar
Madagascar est le troisième pays le plus exposé aux risques climatiques extrêmes alors qu’il est très peu émetteur de gaz à effet de serre, soit 0,2 % de l’émission mondiale. Madagascar ayant ratifié l’Accord de Paris, le pays s’est engagé, d’ici 2030, à la réduction de 14 % des émissions de gaz à effet de serre et à l’augmentation à plus de 32 % la capacité d’absorption de carbone. La Grande Île est parmi les pays du Sud à bénéficier des 100 milliards de dollars par an du fonds vert pour le climat.

FR dans Madagascar Matin
8 000 ha de mangroves sont aujourd’hui gérées par les quelque 6 000 villageois membres des 4 Cobas qui travaillent avec Wwf Madagascar dans la Région Melaky. Depuis novembre 2015, ces hommes, femmes et enfants ont restauré 150 ha de mangroves et ont planté plus de 900 000 jeunes plants.

Hanitra R. dans Midi Madagasikara
Ces nouveaux équipements ont été financés à hauteur de 5,5 millions de dollars par le Fonds d’Investissement Social (FIS) d’Ambatovy et font, de ce fait, partie des contributions volontaires de la compagnie pour soutenir le développement durable dans ses régions d’implantation.  La remise des deux générateurs contribuera certainement à l’amélioration de la fourniture d’électricité dans la ville de Toamasina. (..) Rappelons que le FIS, d’une valeur de 25 millions de dollars, mis en place en 2012 par Ambatovy, est destiné au financement des projets sociaux et des infrastructures dans les régions d’implantation de la compagnie.

CHAN-MOUIE Jean Anastase. dans Midi Madagasikara
Le barrage d’Ambatondramanilo est réhabilité. Cette infrastructure de la Commune rurale de Sahatsiho Ambohimanjaka, région Amoron’i Mania peut désormais irriguer une surface de 37 hectares, contre seulement 9ha auparavant. En effet, cette grande extension des terres cultivables bénéficie à 100 familles... Pour la gestion de l’infrastructure, une association de paysans a été créée par les bénéficiaires du projet. Ces derniers ont également reçu des formations, à l’exemple de l’amélioration de la productivité, la lutte contre la malnutrition, etc.

Rado Andriamampandry. dans L'Express de Madagascar
Madagascar est à la traîne. Centres de formation, compagnies maritimes, ports, chantiers navals font défaut. Les premiers concernés tirent la sonnette d’alarme. Le transport maritime du commerce malgache est en régression. Madagascar peine à suivre l’évolution mondiale... Pour cause, la disparition des flottes maritimes malgaches (la société malgache de Transport maritime, la compagnie malgache de Navigation ou encore la compagnie malgache de Transport pétrolier) et la fermeture des ports comme celui de Mananjary, de Manakara ou encore de Morondava.

Fanjanarivo   dans La Gazette de la Grande Ile
Si les rues n’augmentent pas en nombre, le parc automobile enregistre en moyenne une hausse de 7% par an selon les données officielles,,,  Dernièrement, la Banque mondiale a parlé d’un nouvel outil de planification qui devrait aider les villes à agir contre le changement climatique et la pollution urbaine en fait partie. Elle cite Buenos Aires, la capitale de l’Argentine, qui a adopté le système de transport rapide par bus et le vélopartage. Cette ville enregistre des résultats impressionnants, lesquels contribuent à améliorer la qualité de vie des habitants. Elle applique l’outil mis au point par la Banque mondiale appelé CURB ou Climate action for urban sustainability. Celui-ci est articulé autour d’une base de données pour simplifier l’identification et la hiérarchisation des solutions efficaces et rentables pour réduire les émissions de CO2 et améliorer le niveau de vie des citadins.

Mikama - September 28 2016

R.A. dans L'Express de Madagascar
Car «l’électricité que produit maintenant Symbion à Mandroseza coûte aujourd’hui environ 14 cents par KwH à la Jirama. Ceci est  l’énergie thermique la moins chère dans tout le pays, grâce à l’utilisation de l’huile lourde à faible coût... »

Dans La Gazette de la Grande Ile
Comme la Région Analanjirofo regorge de produits d’exportation, un atelier du lancement technique régional du Projet de Croissance Agricole et de Sécurisation Foncière (CASEF) s’y est tenu tout dernièrement à Toamasina. Le projet CASEF combine le développement de chaînes de valeur, la réforme foncière et l’entretien et la réhabilitation des infrastructures dans une approche intégrée... Puisque le fait d’être en possession d’un titre foncier encouragera nos producteurs de s’engager dans différents type de certifications. Le projet envisage d’éditer 11.427 de certificats fonciers dans les 5 zones d’intervention pour cette année 2016.
Source: SICD/DSI/MPAE

Dans La Gazette de la Grande Ile
Certains partenaires techniques et financiers (PTF) tels que l’UE avec son programme DINIKA, ont développé leurs propres feuilles de route pour appuyer leurs engagements envers la société civile dans la durée. Pour appuyer ces efforts, six axes (ou priorités) d’intervention, qui contribueraient à renforcer le socle d’une société civile pérenne et porteuse de changement peuvent être proposées. Ainsi, avance European Centre for Development Policy Management sous les analyses faites par Isabelle Ramdoo et Aimée Randrianarisoa, il s’agit , d’une part, de développer une (voire plusieurs) approche(s) d’appui à la société civile qui soit mieux adaptée(s) au contexte des Organisation de la société civile(OSC )locales et qui devront évoluer au contact du secteur extractif.

D.H.R. dans La Vérité
Madagascar compte 1 700 000 carrés miniers. Un carré minier s’étend sur 39 ha. Il reste 700 000 carrés qui n’ont pas encore de propriétaires. Depuis 2009, environ 1 600 nouvelles demandes de permis miniers sont en attente.  Une personne peut acquérir 25 600 carrés miniers... « A part les Chinois, les Australiens et les Canadiens, les Japonais s’intéressent également aux mines de Madagascar et effectuent des contrats de partenariat », souligne Tiavina Ranoroharisoa, secrétaire général auprès du ministère des Mines.

Seheno Kely dans Madagascar Matin
S’inscrivant dans les chantiers, prévus pour cette année par le Programme d’Appui d’Urgence à l’Education pour Tous (PAUET), et le Programme d’Appui d’Urgence aux Services Essentiels d’Education, Nutrition et Santé (PAUSENS), ces renforcements de compétences ont été dispensés au niveau de 229 Conseillers pédagogiques, de 558 chefs ZAP, de 6.120 Directeurs d’Ecole primaire publique, de 22.582 ENF et de 7.744 Enseignants fonctionnaires (EF) dans les bassins de formation de 66 Circonscriptions scolaires (CISCO), regroupées dans 10 DREN.

Mikama - September 27 2016

Bill dans Madagascar Tribune
12 153 individus, 4 000 enfants de moins de cinq ans et 10 000 femmes enceintes et allaitantes les plus vulnérables voient leur situation alimentaire améliorée grâce à la contribution de la France à la lutte contre le kere dans le Sud. D’après un communiqué de l’ambassade de France, l’aide française de 1,5 million d’euros, vient en réponse aux appels lancés par le gouvernement malgache et du Programme Alimentaire mondiale (PAM).

R.A. dans L'Express de Madagascar
« La situation est alarmante. Force est  malheureusement de constater que jusqu’à 75% des petits éleveurs paysans des hauts plateaux, exercent dans des conditions impensables, où les normes et le professionnalisme sont  relégués au second plan(..) Faute de moyens, ces fermiers vulnérables, se heurtent à de sérieux problèmes d’infrastructures, d’équipements et surtout d’alimentation pour leur cheptel. Les impacts sont néfastes, non seulement pour la production : au lieu des 10 litres journaliers, les éleveurs n’obtiennent que 5 litres de lait...

Miangaly Ralitera dans L'Express de Madagascar
Le taux de prévalence du Vih/Sida ne dépasse pas 1 % dans les pays de l’océan Indien. À Madagascar, il est aux environs de 0,3 %, chez les personnes âgées entre 15 et 49 ans, selon l’estimation nationale, en 2013. (..) Plus préoccupant encore est le très faible effectif des personnes qui se font dépister. En 2015, un peu moins de 300 000 personnes ont effectué le test de dépistage du virus VIH/SIDA, dans tout Madagascar, selon un rapport du SE/CNLS. Un médecin du Bureau municipal de l’Hygiène (BMH) nous a confié, pourtant, que trois cas positifs par mois y ont été enregistrés, au cours de décembre 2015 et janvier 2016.

Mikama - September 26 2016

Antsa R. dans Midi Madagasikara
En partenariat avec la Coopération allemande (GIZ), Madagascar projette de produire plus de 5 000MW d’électricité supplémentaires, d’ici à 2030... D’après la GIZ, ces démarches se font avec un partenariat public-privé, avec une contribution du secteur privé à 40% et du secteur public à 60%. (..) A noter qu’actuellement, 92% de la consommation d’énergie à Madagascar dépendent du bois de chauffe ; 1% des énergies renouvelables ; et 7% des produits pétroliers. Et pourtant, ce ne sont pas les potentialités qui manquent,  si l’on considère le potentiel hydroélectrique du pays, pouvant produire 7 800MW, avec seulement 165MW exploités. (..) Pour l’heure, les fiches de projets en cours jusqu’en 2020 exigent des financements de 2 milliards USD. Jusqu’en 2030, il nous faudra 12 milliards, ou près de 38 500 milliards d’Ariary, soit l’équivalent du budget général de l’Etat « Malagasy », sur environ trois ans et demi.

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
À part le nickel, des produits « vita malagasy » sont visibles sur le marché japonais notamment le chocolat, les huiles essentielles, les produits artisanaux. « Mada­gascar enregistre un excédent commercial tout à fait remarquable vis-à-vis du Japon. En 2015, les exportations de la Grande île vers notre pays s’élèvent à 17 milliards de yen, soit environ 150 millions d’euros. Par contre, les exportations du Japon vers Madagascar n’étaient que 1.8 milliards de yen soit 16 millions d’euros », a fait savoir Ichiro Ogasawara, Ambassadeur du Japon à Madagascar.

D.H.R. dans La Vérité
La compagnie minière d’Ambatovy, avec un investissement à hauteur de huit milliards de dollars, est l’un des rares fournisseurs en nickel et cobalt inscrits au « London metal exchange » (Lme) (..) Ambatovy représente 31,4 % des rentrées en devises de l’Etat en 2015. Par ailleurs, le projet verse 50 millions de dollars de taxe par an dans les caisses de l’Etat. Cela impacte directement sur la vie de 300 fermiers regroupés en quatre coopératives locales. Ces fermiers fournissent Ambatovy chaque jour. La compagnie minière génère 7 000 emplois directs  et travaille avec 700 petites et moyennes entreprises. (..) Ce projet verse une ristourne de 1 % à l’Etat...

Mikama - September 23 2016

Antsa R. dans Midi Madagasikara
 « Le taux de rentabilité dans le secteur de l’industrie varie aujourd’hui entre 11 et 25%. C’est pour cela que très peu d’investisseurs se lancent dans l’industrie à Madagascar. A cela s’ajoute également les concurrences déloyales, l’absence de normes obligatoires, l’existence des taxes informelles, etc. Avec la structure actuelle, on ne pourra pas atteindre notre objectif de porter la contribution de l’industrie à 25% du PIB », a avancé le représentant du SIM. A noter que grâce à leurs contributions fiscales, les membres de ce syndicat contribuent aujourd’hui à 30% des recettes de l’Etat. Négligée. D’après Christian Rajaosafara, un des membres du SIM verse jusqu’à 220 milliards d’Ariary d’impôts et taxes, en une année. Et pourtant, l’Etat n’alloue que 0,7% de son budget, pour le développement de l’industrie.

R.A. dans L'Express de Madagascar
« Les variétés de riz nerica pluvial et nerica irrigué, dont les essais ont été réalisés dans la région d’Am­batondrazaka et Tsiroa­no­mandidy ont affiché des résultats plus que satisfai­sants, avec des rendements de l’ordre de 4 à 8 tonnes par ha »... Ces variétés nerica sont obtenues à partir d’un croisement entre des riz africains et asiatiques. Comme l’a expliqué cet ingénieur agronome, « avec un cycle de croissance plus rapide, cette variété permet aux paysans et cultivateurs de voir leurs récoltes de riz et leurs revenus augmenter ». Ces variétés ont effectivement la particularité de résister aux aléas du climat, à la pression des mauvaises herbes et au stress hydri-­que.

FR dans Madagascar Matin
La société industrielle du Boina existe depuis 1947. Les activités étaient multiples, dont la rizerie, la savonnerie, l’huilerie, l’exportation de tourteau. Depuis la crise économique de 2009, l’huilerie a subi la concurrence déloyale des huiles importées. (..) Seules les huiles d’arachide et de coton ont subsisté à la crise, et la production en est généralement affaiblie. Certaines activités comme la rizerie et la production de tabac ont été abandonnées. La savonnerie se trouve aussi dans des difficultés suite toujours à la concurrence déloyale. (..) « Sans entrer dans la politique, il est désolant de voir des unités industrielles qui sont inutilisées. C’est le cas de Lmm ou le moulin de Madagascar, qui, suite toujours à l’importation massive des farines, ne tourne plus qu’une journée par semaine. La société est contrainte de rompre ses contrats avec les paysans faute de rentabilité. Il y a aussi l’usine de Tiko qui est en veilleuse alors qu’elle pourrait faire vivre plusieurs paysans »

Mikama - September 22 2016

Riana R. dans NewsMada
Les 518 millions d’euros, octroyés à Madagascar en 2014 dans le cadre du 11e Fonds européen de développement (Fed) attendent l’identification des projets de développement du gouvernement malgache... A noter que l’UE prévoit trois secteurs d’intervention prioritaires, dont la gouvernance et le renforcement des politiques publiques; les infrastructures en support au développement économique et le développement rural à travers le cadre du Programme indicatif national (Pin), financé par le 11e Fed.

Riana R. dans NewsMada
D’importantes  superficies de terre sont abandonnées par les paysans depuis que la société d’Etat Hasyma implantée dans la région a  cessé ses activités. D’autres opérateurs ont pris la relève ces dernières années et tentent de redresser la filière coton dans la région. Il s’agit entre autres de l’entreprise chinoise Tianli Agri  qui dispose de deux usines d’une capacité de 100 000 tonnes chacune, la société Madagascar Standard group, Indosula et Dramco Sarl Madagascar, ces dernières tournent seulement de 10 à 15% de leur capacité actuellement. Mais force est de constater que les conditions ne sont pas encore favorables pour la culture du coton dans l’Atsimo Andrefana. La production est passée de 12 000 tonnes à 2 500 tonnes entre la campagne 2015 et 2016, selon les chiffres du ministère de l’Industrie et du développement du secteur privé (MIDSP). Pourtant, la production dans cette zone a atteint les 25 000 tonnes dans les années 1990.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
« Eurocodes englobe des règles de calcul pour les constructions en béton, les ouvrages métalliques, les fondations, les calculs de séisme, les sécurités incendie, etc. Il en existe plusieurs mais pour Madagascar, nous allons promouvoir, pour l’heure, les Eurocodes 0 et 1 qui constituent la base ; et l’Eurocode 2 pour le béton et l’Eurocode 3 pour les ouvrages métalliques », a expliqué Jean Lalaina Rakotomalala, DG de l’IST.

R.A. dans L'Express de Madagascar
La Banque mondiale consacrera soixante millions de dollars pour financer le projet de Développement urbain et résilience du Grand Anta­nanarivo (Produir), d’après un communiqué émanant du ministère auprès de la Présidence en charge des projets présidentiels de l’aménagement du territoire et de l’équipement (MEPATE), publié récemment. « À cause d’une forte croissance non maîtrisée, le milieu urbain concentre une pauvreté nationale la plus aiguë, avec un taux de chômage très poussé et les conséquences qui s’ensuivent.

Miangaly Ralitera dans L'Express de Madagascar
... les médecins conseillent à la famille des malades de leur offrir une mode de vie saine. « Manger équilibrés, faire des exercices physiques, les écarter du stress, faire du repos, faire des activités qui stimulent le cerveau, comme lire des journaux, faire des jeux de société, les éviter des isolements. Tout ceci pour éviter l’accélération de la maladie », soutient un médecin au sein du service de la santé mentale du ministère de la Santé publique.

Mikama - September 21 2016

Dans Midi Madagasikara
Le travail de l’UNESCO dans ce domaine est guidé par l’Agenda et le Cadre d’action Éducation 2030, notamment la Cible 4.7 des Objectifs de développement durable (ODD 4 sur l’Éducation), qui invitent les pays à “d’ici à 2030, faire en sorte que tous les élèves acquièrent les connaissances et compétences nécessaires pour promouvoir le développement durable, notamment par l’éducation en faveur du développement et de modes de vie durables, des droits de l’homme, de l’égalité des sexes, de la promotion d’une culture de paix et de non-violence, de la citoyenneté mondiale et de l’appréciation de la diversité culturelle et de la contribution de la culture au développement durable”.

Randria M. dans Madagascar Tribune
Pour 2030, les experts visent à éliminer 341 tonnes de fluides frigorigènes à Madagascar. Notons qu’un décret limite l’entrée des différents appareils et produits contenant ces substances à Madagascar mais il y a aussi le Plan de Gestion des Fluides Frigorigènes. (..) L’Union des Frigoristes de Madagascar regroupe actuellement 1 200 techniciens frigoristes, ils sont formés et certifiés, possédant les compétences sur la réfrigération, sur les gaz et la sécurisation. (..) Rappelons que Madagascar a ratifié la convention de Vienne sur la protection de la couche d’ozone et le Protocole de Montréal relatif aux substances appauvrissant la couche d’ozone (SAO), en 1995.

Riana R. dans NewsMada
L’Agence allemande de coopération internationale (GIZ) apporte son soutien à la promotion des énergies renouvelables à Madagascar. Un programme d’électrification qui s’étale sur la période 2015-2030 visant à produire 5 000 MW d’électricité a été présenté lors d’un atelier organisé à l’hôtel Ibis Ankorondrano, hier. (..) Un budget de 12 milliards de dollars est nécessaire pour sa réalisation. Des appels à projets sont déjà en cours actuellement, portant sur l’électrification à base d’énergie solaire et d’hydroélectrique dans les régions Sava, Sofia et dans la partie Sud de l’île.  (..) a consommation en énergie au niveau national est  dominée à 90% par le bois énergie. La part des énergies renouvelables est seulement de 1%, contre 7% pour les produits pétroliers. Madagascar a pourtant un potentiel de 7800 MW en énergie hydroélectrique, mais seulement près de 165 MW sont exploités sur tout le territoire national. Par ailleurs, un écart important est constaté sur l’accès à l’électricité entre milieu urbain et milieu  rural. Le taux d’électrification en milieu urbain est de 15% actuellement, contre seulement 4,7% en milieu rural.

Mikama - September 20 2016

Dans Midi Madagasikara
Afin de contribuer efficacement au développement économique de l’île, encore confrontée à la pauvreté, l’Agence Malagasy de Développement économique et de Promotion des entreprises (AMDP) a ciblé trois secteurs prioritaires : l’agro-industrie, les services et l’énergie verte. Ces trois secteurs, à forte intensité de main-d’œuvre, répondent aux défis et aux enjeux du développement de l’île.
Quelques chiffres clés:
Seuls, 7 % de la population ont accès à l’eau et l’électricité.
16 % des terres sont cultivées alors que l’agri­culture occupe environ 80% de la population.
70% des espèces végétales de l’île ont des vertus médicinales ou cosmétiques.

Rado Andriamampandry dans L'Express de Madagascar
Entreprise – La filière Baobab cherche à évoluer... De petites entreprises comme Miconfi travaillent, de manière artisanale, la pulpe de Baobab comme matière principale pour la production de confiture, d’huile, de jus. « Nous projetons de produire du yaourt très prochainement », nous a confié Marie Jeanne Raba­rintsoa.

Vero Andrianarisoa dans L'Express de Madagascar
Un recueil de recommandations pour la construction des cases traditionnelles a été établi. Il s’agit de prévention contre les cyclones. (..) Chaque année, une douzaine de cyclones et de tempêtes tropicales se forment dans le bassin sud-ouest de l’océan Indien, dont environ trois à quatre d’entre eux frappent La Grande île. La côte Est est la plus exposée aux cyclones se créant dans l’océan Indien, et la côte Ouest par ceux provenant du Canal de Mozambique.
Les cyclones sont dévastateurs à l’intérieur des terres et provoquent des crues ainsi que des glissements de terrain, détruisant des cases traditionnelles. De telles constructions possèdent une résistance faible face aux cyclones et aux inondations.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Le retour progressif des capitaux extérieurs a entraîné le dynamisme des investissements directs étrangers et des autres investissements dont la croissance s’est affichée respectivement à 227,4 pour cent et à 481,7 pour cent.
Le retour progressif des capitaux extérieurs a entraîné le dynamisme des investissements directs étrangers et des autres investissements dont la croissance s’est affichée respectivement à 227,4 pour cent et à 481,7 pour cent. En revanche, selon la même source,  les investissements nationaux ont manifesté des mouvements de repli. Au vu des indicateurs sur la création d’entreprises, les investissements privés nationaux ont poursuivi leur évolution à la baisse (-6,0%, après -8,6% en 2015, à la même période). De leur côté, les investissements publics ont également affiché une baisse significative (-6,9%, contre 73,9% en 2015, à la même période). Sur le plan du commerce international, la demande extérieure adressée au pays a, au cours de la période considérée, connu un léger fléchissement (-2,7%, contre +24,8% en 2015), en raison de la baisse des produits de base sur le marché mondial.

Riana R. dans NewsMada
Formaliser la filière or, c’est le principal objectif de l’Agence nationale de l’or (Anor) en intégrant  les acteurs concernés dans un cadre légal. (..) Notons  que les commerçants illicites d’Analakely devraient être classés dans la catégorie des « collecteurs affiliés » ou des collecteurs de catégorie 2, dans la mesure où ils formalisent leur activité.

Mikama - September 19 2016

CHAN-MOUIE  Jean Anastase et R.Edmond dans Midi Madagasikara
PROJERMO : 102 milliards de la BAD pour le développement agricole. Le projet est réparti en 4 composantes dont la première se rapporte à l’aménagement des zones d’investissement agricole constituées  de 20 bas fonds totalisant 2 171 ha par la construction de seuils de dérivation, des canaux d’irrigation et des ouvrages pontuels ;  de 6 000 ha de terres dotées de kits d’irrigation pour l’installation des jeunes entreprises (au moins 40% des entreprises des femmes et des jeunes) à Mangataboahangy, Amborompotsy, Mandrosonoro dans l’Amoron’i Mania et Ambatomainty, Belobaka et Bemahatazana dans le Bongolava. Il y a également un appui à la sécurisation foncière à travers l’installation de 7 guichets fonciers (au moins 40% attribués aux groupements féminins) ;  et enfin un appui à l’insertion sociale des voleurs de bétails pour sécuriser  la zone du projet et la réalisation d’investissement collectif. La composante 2 touche ...

Nirina Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
 « Cette manifestation entre dans le cadre de la FP 2020 qui a pour objectif d’augmenter la prévalence contraceptive de 33% à 50% d’ici 2020 et de réduire de moitié les besoins non satisfaits en planification familiale à 9%. Toutefois, cela est encore insuffisant puisqu’il faut atteindre 65% pour avoir une économie nationale plus forte....

Hanitra R. dans Midi Madagasikara
Depuis le 14 septembre, les 318.087 ha qui constituent le Corridor forestier Marojejy-Anjanaharibe sud-Tsaratanàna (COMATSA), font officiellement partie de la deuxième plus grande aire protégée terrestre de Madagascar qu’est le Complexe des Aires Protégées Ambohimirahavavy Marivorahona (CAPAM) qui s’étend sur 537.465 ha. Cette deuxième plus grande aire protégée terrestre de Madagascar, mise en place en 2015, est composée de plusieurs aires protégées dont le COMATSA, la réserve naturelle intégrale de Tsaratanàna, les aires protégées de Bemanevika et Mahimborondro.

Garry Fabrice Ranaivoson dans L'Express de Madagascar
La journée mondiale de la démocratie a été célébrée hier. L’occasion de révéler le classement de chaque pays sur la base de « l’indice de démocratie ». Pour cette année 2016, Madagascar se positionne au 103e rang. La Grande île accuse une régression de quatre places par rapport à l’année 2015.
Le classement de l’année dernière plaçait Mada­gascar à la 99e position, avec une note de 4,85 sur 10. En 2014, la Grande île a déjà tenu la même place, mais avec une note de 4,42.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Avec un taux d’électrification de 15% contre 42% à l’échelle continentale, il se débat avec les délestages et la sempiternelle crise de la Jirama que l’Etat semble entretenir. Or, le pays est à la 189ème place sur 189 économies concernant le raccordement à l’énergie. (..) Pour le cas de Madagascar, c’est à peine si l’industrie génère 15% du PIB, à peu près le même taux pour l’artisanat. Ce problème s’explique, entre autres, par le coût exorbitant de l’énergie qui atteint jusqu’à 40% des dépenses des industries.

Mikama - September 16 2016

Arh. dans NewsMada
Dissertation sur la démocratie ... « La démocratie est avant tout une affaire d’égalité. Est-il encore possible de vaincre la pauvreté à Madagascar ? Les différences entre les Malgaches, de par leur situation sociale et leurs conditions de vie, peuvent-elles encore être surmontées ? Justifiez votre réponse ».

Dans La Gazette de la Grande Ile
Le complexe sucrier SIRANALA (SIRAMAIN’ANALAIVA) a été créé par arrêté n°357/83 du 21 janvier 1983. L’usine d’Analaiva est implantée dans la Région Morondava (Sud Ouest de Madagascar) et le domaine couvre plus de 6 000 ha de terrains marécageux constitué essentiellement de sable roux. La canne y est plantée dans des plots d’une superficie d’environ 70 ha chacun et l’irrigation se fait avec des pivots, lesquels sont alimentés en eau à partir du barrage de DABARA et des forages réalisés à l’intérieur du domaine.
Source : Centre Malgache de laCanne et du Sucre

Dans L'Express de Madagascar
Selon l’Institut national de la Statis­tique (Instat), seule 4% de la population est touchée par le chômage, alors que le sous-emploi touche plus de 40% de la population. Beaucoup de diplômés effectuent des métiers inadaptés à leur diplôme »

Mikama - September 15 2016

Arnaud R. dans Midi Madagasikara
Et c’est environ 44 000 nouveaux cas actuellement, selon le Dr Mosa Milasoa, directeur de la Lutte contre les IST/Sida auprès du MSP. Mais il précise: « En réalité, notre département n’a pu recenser que 1828 séropositifs suivis de près. Et c’est seulement 1234 d’entre eux qui bénéficient d’un traitement en ARV ou antirétroviraux ». Le sida existe bel et bien dans notre pays et la situation est non moins alarmante, bien que jusqu’ici, le taux de prévalence de la maladie soit encore estimé à 0,4% pour la population globale.

Arh. dans NewsMada
Girofle, ylang-ylang, poivre, ravintsara, cannelle, géranium, vétiver, niaouli, gingembre, katrafay… La demande d’huiles essentielles extraites de ces plantes s’avère assez importante. Toutefois, Madagascar a toujours du mal à satisfaire la demande, notamment au niveau du marché extérieur. Selon les statistiques de la Direction générale des Douanes de Madagascar sur ITC Trademap, Madagascar a exporté au total 1.485 tonnes d’huiles essentielles en 2013, 2.192 en 2014 et 1.520 t l’année dernière.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Pour Madagascar, c’est la capitale qui est la plus concernée. Déjà en 2008, la Banque mondiale a alerté sur la situation d’Antananarivo qui constitue un des problèmes de santé publique par la prédominance des infections respiratoires, cause principale de morbidité. (..)  Madagascar devance de loin les pays comme la République démocratique du Congo (RDC), le Mozambique, l’Ethiopie et le Zimbabwe en ce qui concerne le nombre de décès prématurés liés à la pollution atmosphérique.

Dans La Gazette de la Grande Ile
... selon les données du 11ème Fonds Européen de Développement Programme Indicatif National (2014 – 2020) Pour une coopération entre La République de Madagascar et l’Union Européenne, il est indiqué qu’en 2013, seuls 12 à 13 % de la population avait accès à l'électricité, et en 2015 le rapport "doing business" classe Madagascar 189ème sur 189 pays en termes de raccordement à l’électricité. Les produits pétroliers occupent une place importante dans la production de l’électricité tant du côté de la Société étatique de distribution d’Eau et d’Électricité JIRAMA que des opérateurs privés. Si le potentiel en énergies renouvelables est considérable, il est insuffisamment valorisé. En termes d’hydroélectricité, seuls 165 MW sont exploités sur un potentiel estimé à 7.800 MW32. Avec une moyenne de 2.000 kWh/m2.an, le potentiel en énergie solaire est également très élevé.

Dans La Gazette de la Grande Ile
La campagne agricole 2015-2016 dans le sud de Madagascar a été caractérisée par une chute vertigineuse de sa production agricole en raison d’une grave sécheresse. Cette année surtout, la production de maïs et celle de manioc ont baissé de 95% par rapport à leur moyenne des 5 dernières années. L’année dernière, elle était supérieure à 80%. Les ménages vulnérables, dont le pouvoir d’achat déjà faible est mis à mal par des prix relativement élevés, ont dû adopter de multiples stratégies de survie, surtout dans les 7 régions du sud. Selon les estimations, en septembre 2016, le nombre de personnes en situation d’insécurité alimentaire dans le sud de Madagascar dépasse les 1,4 million.

Mikama - September 14 2016

Hanitra Rakotomalala dans La Tribune de Diego et du Nord de Madagascar
40 ans de l’école supérieure polytechnique Antsiranana et sortie de promotion HITA. Les ingénieurs de la promotion H.I.T.A (Humble Ingénieur Totalement Actif) ont reçu leurs diplômes de Master le 19 août. 52 ingénieurs issus de l’École Supérieure Polytechnique d’ Antsiranana ont officiellement reçu leur diplôme d’ingénieurs. Neuf d’entre eux sont de la filière génie mécanique, 10 en science et technologie de l’information et de la communication (STIC), quatre dans la filière hydraulique, 17 en génie électrique et 13 en génie civil.

Randria M. dans Madagascar Tribune
L’ouverture officielle de PROJERMO ou « Projet Jeunes Entreprises Rurales de Moyen Ouest » se tiendra à Ambositra ce 16 septembre 2016. C’est un projet qui veut propulser les jeunes entrepreneurs en milieu rural ; son objectif est d’augmenter les productions agricoles jusqu’à 20% et accroître de 35% les surfaces cultivables pour le renforcement de la sécurité alimentaire à Madagascar. Le projet implique différentes régions comme Bongolova, Itasy, Vakinankaratra, Menabe,…  avec un financement de 1,53 milliard d’Ariary.

FR dans Madagascar Matin
Une quatrième édition du « Budget des Citoyens », relative à la Loi de Finances Rectificative (Lfr) de 2016, vient de paraître. Le document est destiné à tout citoyen. Il est promu par le canal des organisations citoyennes, des médias, des organismes gouvernementaux et non gouvernementaux, des universités et des grandes écoles. Il a été traduit dans les trois langues les plus parlées sur le territoire malagasy, conformément aux normes et pratiques internationales à savoir le malagasy, le français et l’anglais. Il retrace en 20 pages, de manière simplifiée, les évolutions récentes et les perspectives économiques et budgétaires, les nouvelles mesures fiscales et douanières, les réorientations des dépenses publiques, le niveau de l’endettement… retracés dans la Lfr 2016.
Source : DGGFPE