Mikama - September 7 2016

Angeline C. dans La Tribune de Diego et du Nord de Madagascar
Forestine, dite Laures ou maman’i Tiavina, vends des produits pharmaceutiques traditionnels depuis son enfance. Elle tient cette vocation de sa mère, pharmacienne traditionnelle durant plus de 50 ans qui a elle-même héritée ce métier de sa grand-mère... Durant la saison sèche et surtout pendant les épidémies telles que la toux, le rhume, les clients sont plus nombreux ainsi qu’au cours de la période de « doany » (rites traditionnels) à Mahajanga et Ampasinantenina, Ambilobe. Laures connaît bien les plantes et leurs vertus. « Pour la rougeole, il faut de l’écorce de lazalaza », il élimine aussi les points noirs, explique-t-elle. L’ « harongana », c’est la jaunisse qu’il guérit et « vite ».

Dans NewsMada
1758 micro-entrepreneurs ruraux (Mer) de la région Boeny dont 593 femmes ont pu bénéficier des appuis du Programme de soutien de micro-entreprises rurales et aux économies régionales (Prosperer) depuis 2014. 62 d’entre elles ont  pu participer à la troisième édition de la foire économique « Boëny Mionjo» qui s’est tenue du 31 août au 3 septembre dernier à Mahajanga. L’objectif du Prosperer est de promouvoir l’augmentation des revenus par la consolidation des micro-entreprises rurales au niveau local et régional. Pour ce faire, le programme appuie les Mer pour devenir des professionnels et d’accéder aux marchés.

M.R. dans L'Express de Madagascar
« Le taux d’analphabétisme pour les 15 à 24 ans est de 24 %, pour les 25 à 49 ans, il est de 26,6 % et enfin pour les individus se trouvant dans la tranche d’âge de 50 à 59 ans, le taux est de 29,7 % », comme l’a rapporté, hier, l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco). (..) Le principal défi qui attend Madagascar pour réduire l’incapacité à lire et à écrire, est la réduction du taux de déscolarisation.

Nomena dans La Gazette de la Grande Ile
La capitale de Madagascar est classée 218ème sur 230 villes en matière de qualité de vie, d’après les résultats du cabinet d’étude londonien Mercer. La stabilité politique, le niveau élevé de criminalité, et la pollution de l’air font partie des quelques critères de la classification... D’après toujours le centre de recherche Mercer, les opérateurs économiques se servent des conclusions de leurs études pour estimer le pour et le contre, les risques et les avantages, avant de décider d’investir dans telle ou telle localité.

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