45 milliards de Yens, soit près de 370 millions d’Euros. Tel est le montant du financement à titre de prêt avec un taux d’intérêt de 0,01% remboursable sur 40 ans, accordé par le gouvernement japonais pour mettre en œuvre le projet d’extension du port de Toamasina. (..) Notons que l’objectif de ce projet est d’aménager le port de Toamasina pour pouvoir accueillir de gros porteurs tout en élargissant le site de dépôts des conteneurs à traiter au triple de sa surface actuelle.
Bill dans Madagascar Tribune
Usine SUCOMA de Morondava. Pas moins de 50 millions de dollars pour sa reconstruction. (..) Faut-il rappeler que la gestion de la SUCOMA a été confiée à une entreprise chinoise. En 2011 la SUCOMA a été victime de grève des gardiens qui ont revendiqué le paiement des heures supplémentaires... Mais le résultat est que 700 employés de l’unité industrielle sont réduits au chômage et les 2000 emplois périodiques ne sont plus qu’un rêve. Sans compter la perte en terme de production de sucre en raison de la fermeture de l’usine qui produisait en 2009, quelque 23 000 tonnes de sucre et près de 34 000 tonnes en 2011, une quantité toujours croissante. En tout cas, le problème est loin d’être résolu car la société chinoise avait réclamé des indemnisations de 80 millions d’euros.
Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
Le sous-emploi touche 11% de la population active, et de l’emploi inadéquat concerne plus de 81% de cette population. De ce fait, le chômage déguisé est visiblement plus important que le chômage tout court selon la définition de l’Organisation internationale du travail (OIT). Environ 500 personnes par an cherchent un emploi et près de 85% des travailleurs exercent une fonction non conforme à la formation qu'ils ont suivie. Seuls 3,8% demandeurs d'emploi accèdent aux postes correspondant régulièrement à leurs études.
Rado Andriamampandry dans L'Express de Madagascar
« le bambou peu remplacer jusqu’à 50% du charbon dans une centrale électrique ou une chaudière industrielle, sans modification technique .. 292 822 jeunes plants ont, par exemple, été produits sur une surface de 105 ha.937 pépiniéristes planteurs ont été formés en technique de pépinière et 145 pépiniéristes sont actuellement installés. Pour l’énergie, sept dômes de charbon ont été mis en place et 230 micro-entreprises rurales ont été formées en production de charbon », a expliqué Rasamoely Andriamihamintsoa.
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