Mikama - September 20 2016

Dans Midi Madagasikara
Afin de contribuer efficacement au développement économique de l’île, encore confrontée à la pauvreté, l’Agence Malagasy de Développement économique et de Promotion des entreprises (AMDP) a ciblé trois secteurs prioritaires : l’agro-industrie, les services et l’énergie verte. Ces trois secteurs, à forte intensité de main-d’œuvre, répondent aux défis et aux enjeux du développement de l’île.
Quelques chiffres clés:
Seuls, 7 % de la population ont accès à l’eau et l’électricité.
16 % des terres sont cultivées alors que l’agri­culture occupe environ 80% de la population.
70% des espèces végétales de l’île ont des vertus médicinales ou cosmétiques.

Rado Andriamampandry dans L'Express de Madagascar
Entreprise – La filière Baobab cherche à évoluer... De petites entreprises comme Miconfi travaillent, de manière artisanale, la pulpe de Baobab comme matière principale pour la production de confiture, d’huile, de jus. « Nous projetons de produire du yaourt très prochainement », nous a confié Marie Jeanne Raba­rintsoa.

Vero Andrianarisoa dans L'Express de Madagascar
Un recueil de recommandations pour la construction des cases traditionnelles a été établi. Il s’agit de prévention contre les cyclones. (..) Chaque année, une douzaine de cyclones et de tempêtes tropicales se forment dans le bassin sud-ouest de l’océan Indien, dont environ trois à quatre d’entre eux frappent La Grande île. La côte Est est la plus exposée aux cyclones se créant dans l’océan Indien, et la côte Ouest par ceux provenant du Canal de Mozambique.
Les cyclones sont dévastateurs à l’intérieur des terres et provoquent des crues ainsi que des glissements de terrain, détruisant des cases traditionnelles. De telles constructions possèdent une résistance faible face aux cyclones et aux inondations.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Le retour progressif des capitaux extérieurs a entraîné le dynamisme des investissements directs étrangers et des autres investissements dont la croissance s’est affichée respectivement à 227,4 pour cent et à 481,7 pour cent.
Le retour progressif des capitaux extérieurs a entraîné le dynamisme des investissements directs étrangers et des autres investissements dont la croissance s’est affichée respectivement à 227,4 pour cent et à 481,7 pour cent. En revanche, selon la même source,  les investissements nationaux ont manifesté des mouvements de repli. Au vu des indicateurs sur la création d’entreprises, les investissements privés nationaux ont poursuivi leur évolution à la baisse (-6,0%, après -8,6% en 2015, à la même période). De leur côté, les investissements publics ont également affiché une baisse significative (-6,9%, contre 73,9% en 2015, à la même période). Sur le plan du commerce international, la demande extérieure adressée au pays a, au cours de la période considérée, connu un léger fléchissement (-2,7%, contre +24,8% en 2015), en raison de la baisse des produits de base sur le marché mondial.

Riana R. dans NewsMada
Formaliser la filière or, c’est le principal objectif de l’Agence nationale de l’or (Anor) en intégrant  les acteurs concernés dans un cadre légal. (..) Notons  que les commerçants illicites d’Analakely devraient être classés dans la catégorie des « collecteurs affiliés » ou des collecteurs de catégorie 2, dans la mesure où ils formalisent leur activité.

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