Mikama - April 28, 2017

Dossier  dans Midi Madagasikara 
L’approche occidentale de l’entrepreneuriat social en propose trois types avec leurs définitions respectives :
L’entrepreneuriat social vocationnel défini par Social Entreprise Knowledge Network (SKEN) de la Harvard Business School ..
L’entrepreneuriat social coopératif, impulsé en 1991 par l’Etat italien consistant en des coopératives de solidarités sociales ..
L’entrepreneuriat social commercial,  issu de la conception du business et du management à l’anglais..
(..) le monde oriental avance une approche particulière de l’entrepreneuriat social. Citons notamment :
Le Social business de Muhammad Yunus, prix Nobel de la Paix pour avoir créé la Banque des Pauvres..
Le « Bottom of the pyramid » qui conçoit la pauvreté placée au bas de la pyramide de Maslow comme un marché porteur..
On se référant au cas de l’Asie de l’Est, l’on pourrait définir l’entrepreneuriat social comme toute entreprise basée sur une vision harmonique et spirituelle du monde, liée au Bouddhisme ou au courant de pensée de Confucius.
(..) L’entrepreneuriat social a ceci de particulier qu’il est fondamentalement rattaché à trois mondes distincts :
Le monde marchand lui conférant sa dimension économique..
Le monde social lui donnant sa dimension sociale..
Le monde des institutions lui conférant sa dimension politique.

Luz R.R  dans Midi Madagasikara
Chine – Madagascar : 45 ans de coopération. La Chine est le premier partenaire commercial bilatéral de Madagascar. Selon les propos de SEM. Yang Xiaorong, cette coopération bilatérale s’articule autour de 5 grands domaines, à savoir : l’agriculture, la pêche, la manufacture, le tourisme et l’aviation régionale. Ces cinq grands domaines s’organisent à leur tour en 3 principaux piliers se concrétisant par la construction d’infrastructures, la mise en valeur des ressources humaines et enfin la facilitation des investissements commerciaux, industriels et agricoles à Madagascar.

Sandra Miora Hafalianavalona dans L'Express de Madagascar
En 2016, 1 kwh d’électricité est vendu en moyenne à 427 ariary or le prix de revient est de 947 ariary soit une perte de 520 ariary/Kwh. Pour l’eau, 1 m³ est vendu à 969 ariary or le prix de revient est de 1217 ariary, soit une perte de 248 ariary/m3. Selon un spécialiste, «ce coût de l’énergie à Madagas­car est comparativement parmi les plus chers en Afrique et au niveau des îles de l’océan Indien impactant sur la non-compétitivité industrielle». Trois possibilités sont actuellement utilisées par la Jirama comme source d’énergie à savoir la location du groupe électrogène, celle de centrales et l’achat d’énergie. Les coûts d’achat et de location d’énergie au secteur privé est passé de 51% en 2012 à 83%, en 2015, des chiffres d’affaires de la Jirama. Les coûts des contrats d’achat d’énergie par la Jirama oscillent entre 180 à 1122 ariary/Kwh. Le prix de location d’une centrale et d’un groupe varie entre 16.333 à 57.750 ariary/kW/mois.

Malalanirina  dans La Gazette de la Grande Ile
La réduction de taux de mortalité infantile et la lutte contre la malnutrition aigüe et chronique restent des sujets préoccupants pour Madagascar. En 2016, l’on a pu enregistrer 10 décès maternels par jour à l’accouchement. Et selon l’UNICEF, le décès de 50% chez les enfants de moins de 5 ans sur la Grande île est dû à la précarité du système sanitaire

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