Dans Thomson Reuters Foundation
WFP [United Nations World Food Programme] implements a school feeding programme targeting 220,000 beneficiaries in southern Madagascar. For 2014 -15, World Bank funds are helping provide daily hot meals to 107,000 children. US$ 3.5 million are needed to assist the remaining 113,000.
Babany C. dans Lakroan'i Madagasikara
Le JELFI ou Jery Lanja ho Fanatsarana Ifarimbonana et en français Fiche d’Evaluation Communautaire (FEC) ou encore Community Score Card (CSC). En fait, le JELFI est un outil vieux de 8 ans. “Le JELFI a été utilisé en 2006 pour la première fois. Il a été mise en œuvre dans le volet santé” ajoute Rasolonjatovo. Depuis l’année 2006 lus de 800 communes utilisent le CSC dans le domaine de la santé. (..) Depuis 2006, l’utilisation de l’outil FEC a été étendue dans plusieurs secteurs comme l’enseignement. “Nous avons choisi d’utiliser cet outil dans le volet passation des marchés publics pour améliorer ce secteur” déclare Rasolonjatovo Ida. La passation des marchés est un secteur où le passe-droit et la corruption règne. Selon certains techniciens actuellement plus de20% des marches se s’effectuent de gré à gré. (..) Le JELFI ou FEC ou encore CSC est un des nombreux outils pour atteindre la TRS ou Transparence et Redevabilité Sociale. On peut citer parmi les autres outils le BP ou Budget participatif tant vanter auprès des responsables des communes. On sait que le budget participatif est pratiqué dans plus de 800 communes dont 125 travaillent en collaboration avec le PGDI 2.
Antsa R. dans Midi Madagasikara
Seulement 22,85% des passations de marchés publics ont respecté les règles de procédures, pour la période 2011-2012, d’après la restitution de rapport de l’ARMP (Autorité de régulation des marchés publics), présentée hier aux organes de contrôle, et appuyée par PGDI2.
Pour les entités centrales, 78,86% des passations de marchés n’étaient pas conformes aux procédures, contre 75,72% pour les entités dans les régions. (..) « Un article peut parfois être interprété de différentes manières, selon l’intérêt de l’interprétateur. On a constaté que les irrégularités de procédure concernent surtout la non-publication de l’appel d’offre, dans les journaux ou le manque d’information sur les spécifications techniques », a noté Rindra Rabarinirinarison, magistrat membre au sein de la CNM (Commission nationale des marchés).
Antsa R. dans Midi Madagasikara
Pollution marine : Simulation d’intervention à Tuléar. Après Manakara, Mananjary et Fort-Dauphin, c’est au tour de Tuléar de tenir sa formation par des exercices de simulation et de déploiement de matériels. (..) 700 millions de tonnes de pétrole brut traversent annuellement les eaux des îles de Madagascar, dont 350 millions de tonnes, passe au Canal de Mozambique, pour une destination vers l’Europe, les Amériques et l’Asie. Chaque année, 1 200 voyages de gros pétroliers sont enregistrés, ajouté par 4 000 voyages de tankers de taille moyenne, sans oublier les navires chimiquiers.
Reflet dans Newsmada
Quatre-vingt pour cent (80%) de la population malgache travaille dans l’informel. (..) Les résultats des études menées par l’Institut national de la Statistique (Instat) révèlent que ce secteur a contribué jusqu’à hauteur de 24% au PIB du pays, soit 36% du PIB non-marchand et non-agricole. L’informel concerne 7 ménages sur 10. De source auprès de l’Institut national de la Statistique (Instat), près de 15 millions de personnes sont actives dans l’ensemble du secteur informel à Madagascar. Couvrant l’ensemble du territoire national, ce secteur concerne 7 ménages sur 10, dont la grande majorité travaille dans le secteur informel. En effet, des enquêtes menées par l’Instat en 2012 montrent que la majorité des 5 millions d’exploitations agricoles opèrent dans l’informel. Par ailleurs, les unités de production non agricoles informelles se chiffrent à plus de 2,3 millions et emploient près de 3,3 millions d’individus, dont la majorité se trouve dans le petit commerce et les petites activités de transformation artisanale en zone urbaine et périurbaine.
Noella Rakoto dans Newsmada
D’après le projet de loi de Finances rectificative (LFR), l’exportation de café vert accuse une baisse notable de 46,7% cette année. La vieillesse des plantations, les mauvaises conditions de culture ont contribué à la dégradation de la production de cette culture de rente. Depuis quelques années maintenant, plusieurs facteurs nuisibles influent directement sur la production de café. Cette production n’a eu de cesse de régresser. En effet, d’après les informations auprès du ministère de l’Agriculture, en 1998, celle-ci s’élevait à 47.767 tonnes contre 12.974 tonnes en 2000. Cette tendance ne manque pas d’avoir des impacts sur les exportations. Pour cette année, le projet de loi de Finances rectificative (LFR) prévoit une baisse de 46,7% de l’exportation. (..) En effet, en 2009, la France a importé du café malgache d’une valeur de 18.643 milliers de dollars contre 11.358 milliers de dollars l’année suivante. Cette tendance a pourtant vu une hausse en 2011 où l’on a enregistré 21.766 milliers de dollars de recettes. L’année dernière, l’importation de la France s’est chiffrée à 38.031 milliers de dollars. Le Singapour suit de près l’Hexagone sur la liste des importateurs de café malgache.
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