Mikama - Sep 16, 2015

Tendry Rakotondranaivo dans L'Express de Madagascar
Le raphia est très demandé par les grandes marques internationales. Le centre du commerce international (CCI) initie le projet Makira pour valoriser le produit. (..). La mise place d’une politique nationale de plantation et de protection est ainsi sollicité. Rivo Rakoton­drasanjy, secrétaire général de Fivmpama, explique : « le raphia a une croissance lente, il lui faut au moins 25 ans pour atteindre la maturité. Ainsi, la transformation du produit brut est plus que souhaitable pour créer de la valeur ajoutée ». Le raphia doit être transformé pour créer de l’emploi et mettre en valeur les artisans malgaches. .

Dans La Gazette de la Grande Ile
Avec cinq litres par habitant et par an, la consommation de produits laitiers à Madagascar reste faible. (..) Les importations de vaches laitières qui ne sont pas prohibées sont soumises à un droit de douane de 20%, sauf lorsque celui-ci est suspendu comme cela fut le cas dans la Loi de finances de 2011. Cette instabilité dans la politique commerciale nuit au processus de décision industrielle... la production de lait (autour de 50 millions de litres) couvre environ la moitié de la quantité consommée, d'où l'importation de lait en poudre, moyennant un droit de douane de 20%, plus la TVA. Les fabricants de produits laitiers payent ces droits élevés sur leurs intrants, ce qui ne peut que nuire à la compétitivité de leurs produits.

Fahranarison dans NewsMada
Même si  la Grande île a réussi à maintenir le taux de prévalence du sida à moins de 1%, l’existence de comportements à risque et les facteurs de vulnérabilité peuvent néanmoins répandre la pandémie. L’on sait récemment que le taux de prévalence de la maladie présente une tendance à la hausse pour la population-clé, à savoir les PS [travailleuses du sexe], les HSH [hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes] et les CDI [consommateurs de drogues injectables ]… Il est évalué à 1,3% chez les PS, 14,7% chez les HSH et 7,1% chez les CDI.

Niry Ravoninahidraibe dans Midi Madagasikara
« Ny sipa tsy maintsy mi-roule fa ny kibo no tsy asiana olona ». C’est le genre de slogan qu’arborent des étudiantes en première année à l’université publique. (..) En effet, l’avortement ne fait désormais plus peur aux jeunes filles. Les jeunes se croient invulnérables, il est d’autant plus difficile d’attirer leur attention sur les risques de stérilité, d’infection sexuellement transmissible (IST), de fistule obstétricale ou encore de VIH. (..) De même, l’environnement actuel prédispose les jeunes filles à des réalités qui nuisent aux femmes : la violence basée sur le genre (VBG) et la méconnaissance de l’importance des centres de santé de base de niveau II (CSBII). D’une part les VBG, les violences physiques, sexuelles, économiques, le harcèlement sexuel et l’exploitation sexuelle sont des faits pour la plupart difficiles à éradiquer en raison du silence des victimes...  A cela s’ajoute des défauts de la sensibilisation et le manque d’information et de structure pour l’appui aux victimes.

Dans African Intelligence
Sapetro clashes with Paris over Juan de Nova. Barely noticed at the time, a revision of France’s maritime boundaries around its Juan de Nova islet in the Mozambique ...

Silvia Martinez Romero and Vonjy Rakotondramanana from The World Bank in Water Power Magazine
Only 15% of the population has electricity. Infrastructure is outdated, and existing generation, transmission, and distribution facilities are insufficient to satisfy growing demand. The country has three interconnected networks with a total installed generation capacity of 544MW (1120GWh in 2013), comprising 161MW (681GWh) of hydropower and 383MW (439GWh) of thermal energy generated from heavy fuel oil (HFO) and diesel. However, only 303MW out of this installed capacity is actually operational and available, due to a lack of maintenance and poor operational performance by the national utility. (..) For example, almost every region of the country has high solar concentration, with over 2,800 hours of sunshine per year. (..) Madagascar also has significant hydropower potential, particularly in the eastern part of the country, which exhibits suitable topography and rainfall. The country currently has 11 major hydropower plants in operation, of which most function as run-of-the-river plants and three have a regulation capacity (reservoir). The hydropower potential of the country has previously been estimated at 7800MW, with only 2% being utilised... Financed by the World Bank's Energy Sector Management Assistance Programme (ESMAP), the mapping programme focuses on small hydropower projects - those sites with potential of between 1 and 20MW - as these are both the least investigated, and with the greatest opportunities for development in the short-to-medium term. The end result will be a Madagascar Small Hydro Atlas covering the entire country, which will help various stakeholders, including the government, communities and private sector investors make informed decisions about hydropower planning, policy-making, and development.


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