Sandra Miora Hafalianavalona dans L'Express de Madagascar
10,95 millions de dollars. C’est le montant octroyé par la BAD à l’État malgache pour soutenir les activités de promotion des investissements. (..) L’industrie du textile est visée par ce projet. Le représentant-résident de la BAD a précisé que, « à la fin du projet PAPI en 2019, l’augmentation du nombre de nouveaux emplois créés dans l’industrie du textile est attendu ».
Dans Madagascar Tribune
Certes, il n’existe pas d’inventaire fiable et complet des terrains domaniaux mais le service des domaines estime que près de 5 millions d’Ha de terrains domaniaux sont disponibles à travers toute l’île actuellement. (..) Les données disponibles au niveau des services domaniaux font état d’un inventaire de 1.706 terrains titrés au nom de l’Etat (17.129 km²), soit environ seulement 3 % de la superficie nationale, ce qui est largement sous – estimé. (..) Les fourchettes varient entre 80 – 100 Ar/m² (soit 5 cents USD) et 1.500 – 2.000 Ar/m² (1 USD) pour les terrains agricoles dans les Communes rurales de deuxième catégorie, et entre 3.000 – 5.000 Ar/m² et 15.000 – 20.000 Ar/m² pour les terrains édilitaires (touristiques) en zone suburbaine. Les terrains domaniaux en zone urbaine peuvent atteindre 30.000 Ar/m² (15 USD) alors qu’une fois titré immatriculé, aménagé, ou organisé en lotissement, le prix du terrain sur le marché privé peut valoir 10 ou même 20 fois plus.
Source : L’Observatoire du Foncier - Rapport Final « Cadre d’Analyse de la Gouvernance Foncière » de la Banque mondiale 2011
SIMON ALLISON in Daily Maverick
There are two food crises in Madagascar. The first is very obvious and distressing, but it can be fixed. The second is almost invisible – but has already had devastating, long-lasting consequences on the mental development of successive generations of Malagasy children. (..) In other words, children who are chronically malnourished get enough food to survive, but they don’t get enough micronutrients to develop normally. (..) It is estimated by the World Bank that chronic malnutrition can lead to a loss of 2%-3% of GDP (gross domestic product),” said Nanama. Forty-seven percent of Malagasy children under five suffer from chronic malnutrition. This proportion, nearly one in two, has remained roughly intact since 1992, which is as far back as the statistics go. Taken to its logical conclusion, it means that a hefty percentage of the Malagasy population of all ages is operating on reduced brain capacity.
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