Y. Lomelle dans La Gazette de la Grande Ile
... à l’heure où l’on parle, seuls 13 opérateurs et 3 compagnies pétrolières ont investi à Madagascar. Alors qu’en tout et pour tout, Madagascar dispose de 39 blocs miniers en terre ferme et 264 blocs pétroliers libres en mer qui ne demandent qu’à être exploités. (..) Selon les dernières statistiques, notre île dispose actuellement d’1 milliard et 7 millions barils de pétrole lourd, 1 milliard et 500 millions barils de réserves géologiques et enfin 29 TCB de gaz.
Arnaud R. dans Midi Madagasikara
Presque la moitié de la population malgache vivent éloignée des Centres de Santé de Base ou CSB. C’est ce qui a en quelque sorte motivé la mise en œuvre du Programme MAHEFA « Malagasy HEniky ny Fahasalamana » ou « Madagascar Community-Based Integrated Health Program » (CBIHP), financé par USAID/Madagascar (..) Depuis sa création en 2011, le programme MAHEFA a déjà pu rendre possible l’accès de 3 384 000 Malgaches, généralement des mères et des enfants, aux services de santé de proximité, en mobilisant plus de 6000 Agents Communautaires (AC), 626 jeunes pairs éducateurs, 937 leaders naturels. Toutes ces cibles sont issues des zones d’intervention du Programme MAHEFA, notamment des six régions de Madagascar: Boeny, Diana, Melaky, Menabe, Sava, et Sofia. Ce qui regroupe 280 communes dans 24 districts.
Dans Le Daily
En 2012, la production mondiale de béryllium a atteint 228,41 tonnes. Les États-Unis sont de loin le leader sur le marché du béryllium avec une part de plus de 85% de la production mondiale. (..) La Grande Île était un producteur important dépassant 5% de parts de marché dans les années 1990, mais a largement disparu du classement à cause du passage de la production locale à l’exploitation artisanale. Le béryllium de Madagascar, se trouvant sur la partie Est et Nord de l’île, est victime du succès d’autres pierres matières comme le saphir, coralite et améthyste, très demandés par les chinois très présents dans la prospection locale. (..) Ce sont les chinois qui exploitent encore, et souvent de manière illicite, la production de béryllium de Madagascar.
Noro Niaina dans NewsMada
.. le document de CPDN [Contributions nationales prévues déterminées] se fixe comme objectif de réduire d’au moins 14% les émissions de GES et d’augmenter leur absorption d’au moins 32%. (..) Le coût estimatif de la mise en œuvre de l’INDC de Madagascar s’élève à plus de 42 milliards de dollars américains.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
.. les 15% des Malagasy abonnés à la Jirama et les entreprises et industries souffrent de la profonde crise qui secoue cette société nationale.
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