Mikama - Feb 11, 2016

Antsa R.dans Midi Madagasikara
 « Le permis d’exploration pour la carrière en question était au nom de la société Tanetilava, depuis 2006. Mais l’année dernière, celle-ci a cédé le permis à une société chinoise. C’est là que le problème a commencé.... Aucune exploitation ne peut se faire, sans un commun accord avec la communauté locale. En contrepartie de cette activité, la commune où se trouve l’exploitation ou même l’exploration bénéficie d’une partie des frais d’administration minière versés par les compagnies, collectés par le BCMM et virés au compte de la Commune bénéficiaire ; de redevances et ristournes ; ainsi que des actions sociétales. L’une des raisons de la consultation publique concerne le recueil des attentes et des besoins de la population pour le développement, en contrepartie de l’exploitation minière. Ce sont des conditions qui font l’objet de négociations entre l’exploitant et la communauté locale »

Arh. dans NewsMada
Alaotra, Ambatoboeny, Miandrivazo et Itasy approvisionnent principalement Antananarivo en poissons. Ces zones de pêche produisaient en 2003 plus de 4.200 tonnes de poissons toutes espèces confondues. Aujourd’hui, elles ne représentent plus que le dixième de cette capacité, selon les chiffres du ministère des Ressources halieutiques et de la pêche. La dégradation du milieu écologique des sites, comme l’érosion du lac Alaotra par exemple, ainsi que la surpêche illégale constituent entre autres les principales causes de cette diminution de production. (..) En 2013, la production annuelle tournait autour des 250 tonnes alors qu’aujourd’hui elle n’est plus que d’environ 100 tonnes, a-t-il expliqué. En 2001, les quelque 2 millions d’habitants de la capitale ont consommé plus de 8 tonnes de produits d’eau douce par jour.

Sera R. dans NewsMada
Soixante-trois catastrophes naturelles majeures ont été dénombrées depuis 1990, a-ton appris en marge du lancement du Projet d’appui à la plateforme humanitaire du secteur privé, une plateforme sous l’égide de la Fondation Telma. Annuellement, on a en moyenne essuyé plus de deux catastrophes naturelles en 26 ans, ce qui a engendré 330 millions de dollars en valeur de dommages et de pertes économiques en 2008, soit 4% du PIB national.

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