Dans NewsMada
l’Inde a établi en 2008 ce régime de tarif préférentiel hors-taxes en faveur des pays en développement à l’occasion d’une rencontre organisée par l’Organisation mondiale du commerce (OMC) à Bangkok (Thaïlande). Ce régime a été élargi en 2014. Pour le cas de Madagascar, 2000 lignes de produits bénéficient de ce régime préférentiel dont le cacao, l’aluminium, le cuivre, la noix de cajou… Jusqu’en 2008, le partenariat entre l’Inde et Madagascar se limitait surtout au secteur agricole. Ce pays a investi plus de 20 millions de dollars à Madagascar dans des outils et équipements agricoles et différentes semences. (..) Par ailleurs, l’Inde est également le principal fournisseur de médicaments génériques de Madagascar. A ce sujet, les chiffres officiels montrent que 60% des médicaments génériques à Madagascar proviennent de l’Inde. (..) La communauté indienne à Madagascar est estimée aujourd’hui à 20 000 résidents répartis dans toutes les grandes villes du pays.
Antsa R. dans Midi Madagasikara
Les grands projets développement Rural que l’UE finance dans le cadre du 10e FED (Fonds européen de développement) à hauteur de 63 millions d’Euro, sont les programmes d’Amélioration de la Sécurité Alimentaire et Augmentation des Revenus Agricoles (ASARA) et d’Actions Intégrées en Nutrition et Alimentation (AINA). (..) A travers ces programmes, l’UE vise 150 000 ménages agricoles vulnérables, dont 5 000 ménages dirigés par des femmes seules, 400 groupements de producteurs semenciers et 130 000 enfants de moins de cinq ans.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
La compagnie a déjà effectué des études de marché : la centrale de 40 MW de Mandroseza devrait être son plus gros client. Pour l’heure, le mauvais état de la RN1bis est l’un des obstacles qui empêche de transporter l’huile lourde de Tsimiroro vers la capitale. Madagascar oil consacre annuellement une enveloppe pour la réhabilitation de cette route effectuée en période sèche. Elle compte sur le soutien de l’Etat pour rendre cette route accessible tout au long de l’année. Concernant le Contrat de partage de production (CPP) entre la compagnie et l’Etat via l’Office des mines nationales et des industries stratégiques (OMNIS), l’Office explique qu’il appartient à la compagnie de financer l’investissement pendant les travaux d’exploration étalés sur 8 ans. A la production, l’Etat rembourse sa part. Sinon, il perçoit la redevance calculée selon les barils produits, le « profit oil », les différents impôts et taxes dont l’impôt direct sur les hydrocarbures. Au final, l’Etat perçoit plus de 50% du revenu de la production
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