Le rapport stipule que «3% des jeunes ont atteint le niveau supérieur, 40,1% ont un niveau secondaire, alors qu’ils sont de 40,5% de jeunes qui ont atteint le primaire, et 16,5% n’ont jamais été scolarisés». Les jeunes abandonnent la scolarisation pour rejoindre à grand pas le travail, dans le secteur informel où ils sont à 80%, et cela après avoir passé un an au chômage. (..) Il faut, d’autre part, faciliter l’accès des jeunes aux microcrédits, sans leur demander 100% de garantie ou 30% d’apport personnel», propose Christian Ntsay, directeur du bureau de l’OIT, pour les pays de l’Océan Indien.
Y.L. dans la Gazette de la Grande-Ile
Une forte présence mauricienne est constatée dans le monde des affaires malgaches car l’île Maurice importe énormément à Madagascar. En 2013, l’exportation mauricienne a augmenté de 7% pour un total de 75 millions USD, et les produits importés sont essentiellement des produits textiles, agro-alimentaires (pâtes instantanées, farine,…). Pourtant, l’île Maurice ne représente que 3% des importations totales de Madagascar. (..) Par contre, Madagascar a exporté à Maurice pour un montant total de 17 millions USD en 2013. Les principaux produits exportés étant le coton, le haricot, du bois et des produits halieutiques.
Dans Newsmada
A Madagascar, ils [personnes du troisieme age] sont au nombre de deux millions et même plus sur les 22 millions d’habitants. (..)
Selon les statistiques, il s’agit de moins de 20% des personnes âgées qui en bénéficient [de pensions sociales liées à la retrait]. Par ailleurs, les maisons de retraite existent mais ne sont pas nombreuses et ne peuvent pas accueillir un nombre élevé de ces personnes.
Dans L'Express de Madagascar
Dernièrement, la valeur des exportations de Maurice vers Madagascar s’élève à 2.5 milliards de roupies contre 507 millions de roupies pour les importations de Maurice depuis Madagascar
Ces propos répondent à la demande de 187 milliards d’ariary déposé auprès des bailleurs de fonds, le 2 mai, par le ministère de l’Éducation nationale. L’Union européenne finance deux projets d’éducation dont le « Gap financing », mis en œuvre par l’Unicef dans douze régions et qui s’achèvera à la fin de cette année. «Le gap financing assure le paiement des subventions des enseignants FRAM dans ses régions d’intervention pour les mois de septembre à décembre 2013, la fourniture des kits scolaires et la cantine scolaire pour trois régions du Sud», a rappelé, hier, Tracy Sprott, responsable auprès de l’Unicef, lors d’une séance d’information sur ce projet à Ambohidratrimo. En parallèle avec le gap financing, l’Union européenne a injecté 19 200 000 000 d’ariary pour son projet PASSOBA-éducation qui va durer de 2013 jusqu’au début 2016. Ce projet vise surtout au renforcement de la qualité de l’éducation par la formation des enseignants.
R.V. dans la Gazette de la Grande-Ile
Ainsi la convention signée hier permettra désormais de travailler avec 4.500 entreprises locales, dans le but mettre sur le marché réunionnais les produits malgaches.... Faut-il rappeler, par ailleurs, que la CCIA [Chambre de Ccommerce et d’industrie d'Antananarivo] représente 31.106 entreprises dont 50% relèvent du secteur des services, 28% dans le commerce et 22% dans l’industrie.
Fahranarison dans Newsmada
Le programme d’appui d'urgence à l'éducation malgache ou Gap financing dont la durée est de 21 mois, prendra fin en décembre. Il a pour objectif de maintenir l'accès des enfants malgaches à l'éducation primaire. Outre les fonds de l’Union européenne, le reste du financement initial du Gap à hauteur de 15 millions d’euros, soit près de 45 milliards d’ariary sera affecté à l’achat des kits scolaires pour la prochaine année scolaire, a-t-on appris hier lors d’une cérémonie d’information des bénéficiaires à l’EPP Ambohidratrimo. (..) Pour en revenir au programme Gap financing, il a contribué au paiement des indemnités de 21.653 ENF dans 12 régions depuis septembre à décembre 2013. En outre il a permis de distribuer des kits scolaires à tous les élèves des écoles primaires du pays et d’approvisionner des cantines scolaires au profit de quelque 1.247 élèves dans des EPP à Anosy, Androy et Atsimo Andrefana.
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