Mikama - May 22, 2014

Valis dans Tribune de Madagascar
Madagascar est parmi les États parties à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et conformément à l’article 76, paragraphe 8 de la Convention de Montego Bay sur le Droit de la Mer, il veut jouir de ses droits. (..) Les techniciens chargés de présenter et de soutenir la demande malgache auprès des Nations unies estiment que l’extension du plateau continental au-delà de 200 milles marins au sud du territoire terrestre de Madagascar pourrait atteindre une superficie de l’ordre de 860.900 km2, augmentant ainsi la superficie du territoire national à un peu moins de trois fois sa superficie actuelle.
(cf. Madagascar-tribune.com du samedi 27 août 2011 : Commission de l’ONU-La demande d’extension des limites de notre plateau continental, déposée)


Dans Midi Madagasikara
La filière crabe de mangrove de Madagascar affiche un potentiel de production de presque 8 000 tonnes par an. La production atteint, cependant, à peine la moitié avec 3500 tonnes par an dont 75% sont destinés à l’exportation, 20% à la consommation locale et 5% à l’autoconsommation. Sachant que les 325 000 ha de mangroves malgaches représentent 20% des mangroves africaines et 2% des mangroves sur l’ensemble du globe...

Dans WWF Global
Over 17 million hectares of land and marine area will be the focus of a new partnership aimed at protecting Madagascar’s unique biodiversity. The three year agreement signed today between WWF and Madagascar National Parks (MNP) will cover roughly 29% of Madagascar’s total surface are. The aim is to jointly pursue funding and develop programs for the conservation and protection of biodiversity. (..) Madagascar, one of the world’s biodiversity hotspots, is home to 250,000 plant and animal species, over 80% of which are endemic to the island nation

Dans L'Express de Madagascar
Avec les 82% des travailleurs vivant dans le monde rural, mais qui ne participent qu’à 25% de la croissance du produit intérieur brut, selon l’Institut National de la Statistique, l’AIM a ainsi mis l’accent sur les problèmes et les perspectives d’avenir pour les paysans.
(..) « Le système de fiscalité n’est pas favorable au secteur privé, aussi bien dans les villes que dans les campagnes. Mais l’insécurité et l’enclavement constituent un frein pour les investisseurs pour descendre dans les campagnes. De l’autre côté, la production agricole n’est pas satisfaisante en termes de quantité et de qualité », relate-t-elle [Nicolette Matthijsen, directeur de programme d’Helvetas Swiss Interco­opération].

Dans Midi Madagasikara
De source auprès du chef de service des opérations et communication du Centre de Surveillance de Pêche, Tiana Randriambola, entre 30 et 40 tonnes de crabes vivantes partent en avion vers Guanghzou chaque semaine.

R.Edmond dans Midi Madagasikara
Mieux, dans les années 80 et 90, la Banque Européenne d’Investissements, instrument communautaire de financement des entreprises, a cofinancé avec la Société Internationale pour 60 millions d’euros pour la modernisation des installations du groupe qui est maintenant tourné vers l’exportation. Des financements qui ont apporté beaucoup à ce groupe puisque grâce notamment à la capacité managériale des dirigeants, la SOCOTA est devenue actuellement l’une des entreprises les plus performantes à Madagascar. Avec ses trois unités de tissage, mais aussi de confection de vêtement, à travers la Cottonline, le groupe qui compte un peu plus de 5 500 salariés est le fournisseur des grandes marques mondiales de vêtements avec une production journalière de 25 pièces.

Racl.R dans La Nation
[Rivo Rakotondrasanjy, Secrétaire général du FIVMPAMA] ajoute que « Madagascar est composé d’un tissu de TPE et de PME qui n’a pas la capacité à faire face à un gros marché et pour affronter cela, il faut regrouper les acteurs pour une mutualisation des efforts. Je pense que le cluster est le modèle économique le mieux adapté pour améliorer l’économie rurale ». (..) Le « cluster » est un concept qui regroupe généralement des acteurs dans une filière précise pour répondre à une demande internationale ou nationale si le marché existe localement.

Racl.R dans La Nation
En l’espace de 25 ans, d’après la FAO, le nombre de pêcheurs a littéralement explosé allant de 741 avec 332 embarcations à environ 2 100 pour quelque 800 embarcations d’après les estimations de la plateforme Vovonana iofanana sy ampianarana ny trondro – Itasy ou Visti. Environ 50% des pêcheurs de ce lac ne respectent pas les normes en vigueur en matière de taille des mailles des filets et 75% d’entre eux ne respectent pas la période de pêche d’après toujours les informations du Visti. D’un autre côté, le lac d’Itasy est à présent touché par un envasement accéléré et par l’invasion de plantes aquatiques.

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