MIkama - May 7, 2014

Anna Yukhananov dans Reuters
Madagascar would be able to access up to $47.4 million under a loan program from the International Monetary Fund to help the Indian Ocean island boost economic growth and reduce poverty, the IMF said on Tuesday. (..)The IMF said Madagascar agreed to improve the collection of taxes and customs revenue, increase funding for social programs and public investment, start clearing domestic arrears, and eventually address the issue of fuel subsidies.

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Cependant, on a déterminé un besoin de 187 milliards d’ariary pour venir en aide à l’éducation. (..) Le ministère de l’Education nationale recense six millions d’élèves et vingt-sept mille écoles dans tout le pays. Ils rencontrent presque tous le même problème à savoir l’insuffisance des infrastructures scolaires et d’enseignants compétents, le recrutement d’enseignants fonctionnaires pour alléger les charges parentales.

Dans L'Express de Madagascar
Les résultats des dernières enquêtes effectuées en 2012 par le ministère de la Santé publique révèlent que l’asthme frappe 8 à 12% des Malgaches. (..)
« Les enfants sont les plus vulnérables. Les statistiques établies en 2000 ont révélé que 0,8% des  enfants malgaches sont asthmatiques. Ce chiffre a connu une hausse exponentielle pour grimper jusqu’à 2,8% douze ans plus tard », déclare, pour sa part, le professeur Ange Randrianarisoa, spécialiste de cette maladie. En saisissant la balle au bond, le docteur Rondro Raha­ri­manana a souligné qu’entre 63 et 70% des Malgaches souffrent d’un asthme intermittent.

R.Edmond dans Midi Madagasikara
Concrètement le programme Emergence se base sur des schémas de développement, qui ont fait leur preuve dans les pays émergents. On peut citer, entre autres, la création de ports francs, l’installation de centre financier offshore, la construction de marina et surtout la mise en place de Zone Économique Spéciale (ZES) pour des grands projets industriels. (..)  Et avec les initiatives prises par la Plate-forme Emergence Madagascar, appuyées par les autorités publiques, le Plan National Emergence Madagascar pourrait voir le jour, d’ici peu. A noter que des entités socioéconomiques sont parties prenantes au programme Emergence Madagascar. Il y a entre autres : l’American International Chamber of Commerce Madagascar (AICC), la Fédération Mondiale des Industries Chinoises (FMIC), plusieurs organisations internationales africaines et européennes, des opérateurs économiques nationaux, des organisations nationales d’opérateurs économiques, les « Jeunes Hery Vaovao Ho an’i Madagascar » (JHVM) ; ainsi que des organisations non gouvernementales.

CHAN-MOUIE Jean Anastase dans Midi Madagasikara
La filière « Akoho gasy » dans la région d’Amoron’i Mania constitue un des secteurs les plus prisés des éleveurs, dans la mesure où elle figure dans le domaine de l’élevage à cycle court. (..)  La FIFATA (FIkambanana ny FAmpandrosoana ny TAntasaha » en partenariat avec la FIFATAM (FIkambanana ny FAmpandrosoana ny Tansaha Amoron’i Mania) se chargent de la mise en œuvre de ce projet [Développement de la filière « akoho gasy dans la région d’Amoron’i Mania] qui va durer deux années et dont 3 000 éleveurs seront ciblés. (..) Comme l’a expliqué Raherimanjaka Willy, directeur de la FIFATAM, l’objectif général de ce projet est d’améliorer les conditions de vie des couches les plus vulnérables de l’Amoron’i Mania par une augmentation de leurs revenus à travers l’élevage professionnel « d’akoho gasy ».Quant aux objectifs spécifiques, ils sont de professionnaliser l’élevage « d’akoho gasy » ; d’améliorer l’approche du marché ; de mettre en place une structure permettant de faire le suivi et l’évaluation ; de pérenniser les offres relatives à la filière « akoho gasy »

Nantenaina dans La Verite
La production de girofle dans la Région Analanjirofo a baissé et les collecteurs se sont tournés vers la Région Sud-Est. Dans l’Analanjirofo, la production était de 400 à 500 tonnes contre 10 000 tonnes auparavant. Cette situation peut s’expliquer par la fabrication excessive d’huile essentielle de girofle, outre la dégradation des girofliers. Les deux principales zones de production de girofle à Madagascar sont les Régions Analanjirofo et Atsinanana. Au cours de ces trois dernières années, les exportations de girofle de la Grande-Ile étaient passées de 32 millions usd en 2012 à plus de 185 millions usd en 2013. La part de marché du girofle de Madagascar est estimée à près de 20%. Les principaux pays de destination du girofle de Madagascar sont le Singapour, l’Inde, le Vietnam, les Emirats Arabes- Unis, les Etats-Unis,…

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
...  grâce à un groupe électrogène d’une capacité de 3,8 MW pouvant satisfaire les besoins de Fort-Dauphin pour les 10 prochaines années. Le coût de production est plus compétitif car le groupe acheté par QMM fonctionne à l’huile lourde (HFO) qui est 20% moins cher que le LFO (light fuel oil). La Jirama bénéficie aussi d’une subvention de 15 000 à 20 000 US$ de carburant par mois, du soutien de QMM pour le fonctionnement et la maintenance du groupe. Contrairement à des contrats passés par la Jirama avec certains producteurs indépendants, celui passé avec QMM et PIC offre des conditions de vente avantageuses. Rappelons que pour son projet minier, QMM a besoin de 22,8 MW mais comme la Jirama n’a pas les moyens pour y répondre, la compagnie a dû y investir elle-même. La Jirama a sauté sur l’occasion pour satisfaire les demandes de Fort-Dauphin. D’où la mise en place d’une capacité additionnelle de 3,8 MW par les soins de QMM. La Jirama s’engage à acheter cette production chez QMM mais à condition que le prix payé permette d’amortir l’investissement et de rembourser les coûts de maintenance et de production sur 10 ans. Quant au projet PIC, il a assuré le renforcement du réseau de transport et de distribution d’électricité en ville, l’éclairage public, etc.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Mis en place en février dernier, l’Observatoire de l’entrepreneuriat Madagascar (ODE) se donne pour mission d’analyser la situation de l’entrepreneuriat dans le pays pour proposer des solutions pour le développer. (..) L’ODE entend ainsi apporter sa collaboration dans l’élaboration de politiques de développement de l’entrepreneuriat, produire des statistiques pertinentes et fiables, capitaliser et diffuser les meilleures pratiques de développement du secteur privé, informer les décideurs politiques, les cadres, les chercheurs, les organisations professionnelles sur la situation de l’entrepreneuriat dans le monde et à Madagascar. L’observatoire veut aussi participer à l’assainissement de la pratique de l’entrepreneuriat, dénoncer les goulots d’étranglement au développement de l’entrepreneuriat. En termes d’analyse, il apporte son avis d’expert sur la situation de l’entrepreneuriat sur la Grande Ile.

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