Mikama - May 26, 2014

Racl.R dans La Nation
D’après les archives, cette loi sur la concurrence existe bel et bien car elle a été décrétée en 2005 mais ce fut en 2008 seulement que le décret n° 2008 – 771 du 28 juillet 2008 a été annoncé, fixant les conditions d'application de la loi n° 2005-020 du 17 octobre 2005 sur la concurrence. Dans son article 1, il est clair qu’il y a des dispositions qui régissent la libre concurrence, la liberté des prix et les obligations mises à la charge de toute personne physique ou morale qui exerce une activité économique de manière permanente ou occasionnelle dans les secteurs public et privé, qui a lieu sur le territoire national. Cette loi fixe donc le cadre institutionnel chargé d’appliquer et de mettre en œuvre les règles légales et réglementaires relatives à la concurrence, à garantir la transparence dans les transactions commerciales, à prévenir, éliminer ou réprimer les entraves au libre jeu de la concurrence et les pratiques commerciales qui limitent l’accès au marché ou, de manière générale, ont pour effet de restreindre, fausser ou empêcher la concurrence sur les marchés et à préciser les pouvoirs d’enquête des agents habilités à dresser procès-verbal au titre de la loi n° 2005-020 du 17 octobre 2005 sur la concurrence.

Racl.R dans La Nation
Lors d’une rencontre avec le secteur privé, représenté par le Jeune Patronat Malagasy ou JPM ainsi que les femmes entrepreneurs membres de l’EFOI, le ministre de l'Industrie, du Développement du Secteur Privé et des PME, le Dr Jules Etienne, a pu recueillir leurs propositions en ce qui concerne la relance économique. Ainsi, le ministre Jules Etienne a souligné que « l’objectif consiste à soutenir et à aider les opérateurs du secteur privé...  Les PME représentent en général environ 12% des entreprises formelles, 30% de l’emploi privé dans les 22 régions et 29% de la valeur ajoutée du secteur privé.

Noella Rakoto dans Newsmada
Selon l’analyse du marché pétrolier en avril dernier, la consommation de gasoil a progressé de 3,7% et s’évalue à 40 224 m3. Cette situation s’explique par l’utilisation croissante du gasoil dans divers secteurs dont l’énergie, les mines… Le secteur du transport a enregistré une hausse de 12%, correspondant à 28.800 m3. Quant au secteur de l’énergie, notamment la Jirama, les besoins ont augmenté de 23%, s’évaluant à 6.711m3. Avec la reprise des grands travaux, l’approvisionnement a suivi le rythme de la hausse. Approximativement, celle-ci se chiffre à 45%.

Dans L'Express de Madagascar
La finalité étant d’élaborer une politique nationale de l’évaluation, et la publication des rapports d’évaluation. « L’association œuvre pour la promotion de la culture d’évaluation. Elle collabore avec sept partenaires, entre autres, l’État, les partenaires techniques et financiers, les universités et académies, et les opérateurs écono­miques. Nous visons la mise en place de standards nationaux en terme d’évaluation mais aussi de rendre public les rapports d’évaluation. La population ignore leur contenu, or il y a des informations à connaître, par exemple l’utilisation des impôts qu’ils ont payés », déclare Ony Rasoloarison, secrétaire générale de l’association Masse, hier, en marge de l’ouverture officielle des journées malgaches de l’évaluation, au Colbert.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Les textes et la réglementation sont, dans certains cas, obsolètes et inadaptés avec les nouvelles orientations. Ainsi, le droit foncier est imprécis favorisant le développement des conflits fonciers. En 2011, les données onusiennes font état que 7 à 10% de la superficie ont des titres fonciers malgré la mise en œuvre du Programme National Foncier. Selon le rapport d’évaluation de la réforme foncière à Madagascar (2011), en un siècle, l’administration a établi 330 000 titres fonciers.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Dans ce contexte, les informations onusiennes rappellent que les trois quarts de la population malgache ont eu une consommation inférieure au seuil de pauvreté (469 000 Ariary) ; en milieu rural quatre ménages sur cinq vivent sous le seuil de pauvreté ; l’écart entre le taux de pauvreté rurale et le taux de pauvreté urbaine est de 28 points ; au plan régional, 15 régions sur 22 ont un taux de pauvreté dépassant les 80% ; le ratio le moins élevé (54,5%) est observé à Diana et Analamanga ; un peu plus de la moitié (56,5%) de la population vit dans la pauvreté extrême (populations qui vivent avec un niveau de consommation plus éloigné du seuil que les autres pauvres) soit 11millions de personnes ; cette extrême pauvreté est plus forte en milieu rural (62,1%) qu’au niveau des villes (34,6%) ; cela veut dire que plusieurs millions de personnes n’ont pas accès au panier alimentaire minimal de 2133Kcal/jour, soit 328 162 Ar/an donc avec environ 1000 Ar/Jour ; et le coût de cette pauvreté se traduit au plan macro-économique par 3 298 milliards d’Ar. ; soit 16% du PIB à allouer aux pauvres (sans coûts de transactions) n’atteignant pas le seuil de pauvreté ; ce montant est de 1 375 milliards d’Ar. pour l’extrême pauvreté dont 89% pour le milieu rural.

R.V. dans La Gazette de la Grande-Ile
L’agriculture et l’élevage représentent 42% du PIB de la Grande Ile dont 27% pour l’agriculture et 15% pour l’élevage. Il s’agit là de données publiées en 2011par le secteur privé. Pourtant, malgré ce potentiel et rôle sur l’économie du pays, l’Instat a conclu selon son enquête que le secteur privé a connu un déclin de l’ordre de moins de 12% sur l’agriculture et moins de 1,4% sur l’élevage.

R.Edmond dans Midi Madagasikara
Les surcharges coûtent cher aux contribuables et à l’économie. Les dégâts provoqués par ces camions qui sillonnent les routes nationales et qui ne respectent pas les charges à l’essieu sont estimés à environ 50 millions d’euros par an. En somme, plus que les cataclysmes naturels, ce sont les transporteurs qui font énormément de dégâts. Rien que sur la RN2 par exemple, ce sont environ 700 camions par jour qui y circulent. « La grande majorité des poids lourds dépassent largement le poids à l’essieu autorisé » selon Rakotorahalahy Gilbert, Directeur de travaux au sein de Colas.

Nadia dans Newsmada
Depuis sa création en 1999, le centre de surveillance de pêche (CSP) a tant bien que mal mené sa mission qui consiste « en la préservation et en la conservation des ressources halieutiques et aquacoles ». « Le total des amendes perçues suite à des infractions en milieu marin en 2013 s’élevait à 82.072.000 d’ariary », selon une source bien informée. Durant le premier trimestre de cette année, 31.012.000 d’ariary ont été versés dans la caisse nationale

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