Mikama - May 21, 2014

Mahefa Rakotomalalafans L'Express de Madagascar
Les objectifs de l’Undaf sont axés sur trois points majeurs. Il y a d’abord l’amélioration des revenus de la population qui permettra d’augmenter leur capacité de résilience et de réduire ainsi le taux d’extrême pauvreté de 52,7% en 2012 à 40% en 2019. Le second tourne autour de l’amélioration de la bonne gouvernance à travers un exercice efficace de leur rôle par les institutions, les médias et la société civile. La hausse des ressources affectées aux collectivités décentralisées sera l’indicateur clé de cette amélioration car elles devront passer de 5% en 2010 à 15%. Et le troisième touche l’amélioration de l’accès de la population aux services sociaux de base. Dans ce plan cadre, les Nations Unies se sont désengagé des autres domaines comme la Justice ou les infrastructures qui devront être à la charge des autres partenaires techniques et financiers.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Bien qu’en amélioration sur les 1.9 % enregistrés en 2012, avec 2.6 % la croissance en 2013 est restée faible si on la compare à la croissance démographique (2.8 %) et à la croissance économique moyenne de l’Afrique subsaharienne estimée à 5.1 % par le Fonds monétaire international (FMI). Elle a été tirée par les industries extractives, l’agroindustrie, le secteur bancaire, les transports, l’élevage et la pêche. La stabilité macroéconomique a été préservée au prix d’ajustements budgétaires drastiques ayant affecté à la fois la capacité de l’État à assurer les services de base et la relance économique.

Hanitra R. dans midi Madagasikara
Le plan cadre des Nations Unies pour l’aide au développement (UNDAF) vient d’être validé, hier, avec trois résultats majeurs attendus d’ici 2019 : la réduction à 40 % de l’extrême pauvreté [le taux était de 52,7 % en 2012] ; l’augmentation à 15 % du pourcentage des dépenses publiques gérées par les collectivités territoriales décentralisées [95 % du budget national sont gérés au niveau central et seulement une infime partie, 5 % (en 2010) le sont par les collectivités territoriales décentralisées] et l’accès aux services de base de qualité [Le changement attendu d’ici à 2019 est la réduction à 37 % (contre 47 % en 2012) du taux de prévalence de la malnutrition chronique parmi les enfants de moins de 5 ans. ...].
(..) A mettre en œuvre sur 5 ans, de 2015 à 2019, les programmes de ce plan cadre totalisent un coût de 523,4 millions USD, dont 53,1 % sont à mobiliser.

Racl.R dans La Nation
Comme mission, le groupe Telma s’est engagé de « faire de chaque Malgache un citoyen du monde ! » et ce par l’intermédiaire des offres qui ciblent la masse. De 2004 à 2014, le groupe a déjà investi plus 415 milliards d’Ariary dans ses infrastructures et grands projets tels que le réseau fixe, le réseau mobile, le Backbone National en fibre Optique qui s’évalue à plus de 8 000 kms d’infrastructures. Il y a aussi l’EaSSy qui est un câble sous-marin en fibre optique de plus de 1 000 Kms reliant Madagascar au reste du monde, le réseau 3G+, MVola qui est un service de mobile money à Madagascar.

Dimisoa dans Newsmada
Projet Ilaiko : des formations pour aider les habitants les plus vulnérables de la capitale. (..) Ainsi, 160 personnes issues des 25 Fokontany de la ville d’Antananarivo ont déjà reçu leur certificat de fin de formation cette année ... 70 % des projets présentés par ces personnes touchent le domaine du commerce, 20 % dans la transformation et 10 % dans le service. (..) Rappelons que le projet Ilaiko a déjà formé plus de 700 personnes depuis 2012, avec une tranche d’âge de 15 à 55 ans.

Dans Newsmada
« L’approche de Zara Aina est d’utiliser la narration et le théâtre comme des outils pour que les enfants puissent développer leur estime de soi, la discipline, le travail d’équipe et la créativité. Nous sommes fiers de travailler avec l’Unicef et le CEMDLAC ainsi que les associations locales, pour permettre à ces enfants de développer leurs potentialités artistiques et de croire en eux », a souligné le directeur artistique de Zara Aina et également acteur du théâtre de Broadway, Lucas Rooney.

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