Anjara Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
A Madagascar, en milieu rural et donc concernant la grande majorité de la population malgache puisque cela constitue 78 % de la population, cultiver son jardin, dans le sens propre du terme, est une réalité. Les Malgaches cultivent du riz, du manioc, des patates, du maïs, des haricots en tout genre sur leur petit lopin de terre. En moyenne, 1,7 Ha de terrain, de quoi assurer leur subsistance au jour le jour puisque n’ayant aucune technique de stockage, ils vendent le surplus à un prix parfois dérisoire. Dans le pays, 64 % des ménages sont des exploitants agricoles au sens propre.
Racl.R dans La Nation
Le Cecam, un réseau de microfinance, mutualiste, autogéré et décentralisé en est un exemple concret. La région d’Amoron’i Mania a bénéficié de 12 milliards d’Ariary de crédits accordés en 2013 où ses membres ont pu utiliser ces financements quels que soient leurs projets... ce réseau compte plus de 140.000 membres et est présent dans plus de 173 communes avec un encours de crédit de 61 milliards Ar pour l’année 2011. Les petits producteurs n’ont pas besoin de grandes infrastructures mai seulement des appuis financiers à taux modérés.
Fahranarison dans Newsmada
Selon des statistiques de cette année, 56% des Malgaches vivent dans une extrême pauvreté dont le taux est estimé à 70%. Le pis, 80% de la population n’ont accès à aucune protection sociale, et moins de 20% jouissent de la pension de retraite.
... Malagasy - First Cup in the Moaning - Pôse Café du Mâtin - Madagascar ...
Mikama - July 30, 2014
In Africa Agribusiness
But after joining forces with the Strengthening and Accessing Livelihood Opportunities for Household Impact (SALOHI) program, she significantly bolstered her knowledge base beyond her traditional focus on maternal and child health. Not only did she learn how to provide more substantive health and nutritional support to a wider segment of the community, but she also became deeply engaged in the promotion of Village Savings and Loan (VSL) programs that sparked community cohesion and newfound trust. Led by Catholic Relief Services (CRS) and implemented by a consortium of international partners including Land O’Lakes International Development, Adventist Development and Relief Agency (ADRA) and CARE, since 2009 the United States Agency for International Development (USAID) funded SALOHI program has been tackling food insecurity in 100,000 households — for nearly 650,000 people — across 110 rural communes in eastern and southern Madagascar.
Yanne Lomelle dans La Gazette de la Grande-Ile
L’agriculture de conservation est caractérisée par la mise en pratique simultanée de trois principes à l’échelle de la parcelle à savoir, le travail minimal du sol qui permet le maintien de la structure du sol afin d’éviter son assèchement et l’érosion ; les associations et les rotations culturales par la diversité des espèces permettent l’augmentation de la productivité de biomasse qui nourrit le sol par des activités biologiques et enfin, la couverture permanente du sol. Les avantages de l’agriculture de conservation sont, entre autres, l’augmentation durable de la production agricole et des moyens de subsistance des paysans, l’augmentation de la résilience et la capacité adaptative des systèmes de culture face aux effets néfastes causés par le changement climatique et enfin, la préservation de l’environnement. Pour note, l’agriculture de conservation a été introduite à Madagascar en 2009. Actuellement, le programme Task Force National pour l’Agriculture de Conservation (TFNAC) compte 40 membres issus tant du secteur public que privé, sans oublier les organisations œuvrant dans le domaine de l’agriculture telles la FAO, FOFIFA, CIRAD.
Anjara Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
En moyenne, le PAM achète 3 000 à 4 000 tonnes de produits à Madagascar, cela représente 20% de la nourriture distribuée chaque année.
But after joining forces with the Strengthening and Accessing Livelihood Opportunities for Household Impact (SALOHI) program, she significantly bolstered her knowledge base beyond her traditional focus on maternal and child health. Not only did she learn how to provide more substantive health and nutritional support to a wider segment of the community, but she also became deeply engaged in the promotion of Village Savings and Loan (VSL) programs that sparked community cohesion and newfound trust. Led by Catholic Relief Services (CRS) and implemented by a consortium of international partners including Land O’Lakes International Development, Adventist Development and Relief Agency (ADRA) and CARE, since 2009 the United States Agency for International Development (USAID) funded SALOHI program has been tackling food insecurity in 100,000 households — for nearly 650,000 people — across 110 rural communes in eastern and southern Madagascar.
Yanne Lomelle dans La Gazette de la Grande-Ile
L’agriculture de conservation est caractérisée par la mise en pratique simultanée de trois principes à l’échelle de la parcelle à savoir, le travail minimal du sol qui permet le maintien de la structure du sol afin d’éviter son assèchement et l’érosion ; les associations et les rotations culturales par la diversité des espèces permettent l’augmentation de la productivité de biomasse qui nourrit le sol par des activités biologiques et enfin, la couverture permanente du sol. Les avantages de l’agriculture de conservation sont, entre autres, l’augmentation durable de la production agricole et des moyens de subsistance des paysans, l’augmentation de la résilience et la capacité adaptative des systèmes de culture face aux effets néfastes causés par le changement climatique et enfin, la préservation de l’environnement. Pour note, l’agriculture de conservation a été introduite à Madagascar en 2009. Actuellement, le programme Task Force National pour l’Agriculture de Conservation (TFNAC) compte 40 membres issus tant du secteur public que privé, sans oublier les organisations œuvrant dans le domaine de l’agriculture telles la FAO, FOFIFA, CIRAD.
Anjara Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
En moyenne, le PAM achète 3 000 à 4 000 tonnes de produits à Madagascar, cela représente 20% de la nourriture distribuée chaque année.
Mikama - July 29, 2014
Noro Niaina dans Newsmada
Mais l’AP [aire protégée] d’Antimena fait face à des pressions des activités humaines, a expliqué Serge Rajaobelina. Il s’agit, entre autres de la superposition de l’AP avec les blocs pétroliers de Madagascar Oil, soit 47% de l’AP sont inclus dans le bloc 3106 mettant en risque les ressources naturelles. S’y ajoutent les coupes illicites de palissandres et les feux de brousse. (..) L’aire protégée Menabe-Antimena en chiffres : Superficie : 210.312 hectares - Forêts sèches : 87.000 hectares - Forêts de mangroves : 14.000 hectares - Communautés de base ou Vondron’olona ifotony : 15 officialisées dont 5 en cours - Habitants : 30.000 personnes réparties dans 37 fokontany des 4 communes de 2 districts de la région Menabe - Gardes forestiers : 141 - Visiteurs : Environ 10.000 par an dont près de 9.000 pour l’Allée des baobabs et 590 pour Antimena.
Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
« Il n’y a que deux matériaux technologiques utilisés pour 100km2 de terrains agricoles, alors qu’il y en avait déjà douze dans les années 1970. Pour l’irrigation, seuls 2% des terres cultivées sont irriguées », avance-t-il [Pierre Lazamanana]. (..) À ce faible pouvoir d’achat des paysans s’ajoute la défaillance institutionnelle de développer le secteur agricole. Il n’y a qu’un centre de formation agricole sis à Fandriana, pour des millions de paysans. (..) Après l’agriculture, le secteur minier reste inaccessible à la population malgache. Un responsable auprès du ministère de l’Emploi a révélé, qu’entre 2006 et 2010, des investisseurs miniers avaient besoin de huit mille compétences, en vain. C’est pour cela qu’ils ont procédé au recrutement de techniciens étrangers.
Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Il [décret d’application de la loi sur les entreprises franches] prévoit que les dispositions 6.8 de la loi sur les zones franches, ne dispensent pas les entreprises franches de l’accomplissement des formalités fiscales, exigées par les dispositions du code général des impôts en vigueur, notamment la déclaration de retenue et le reversement d’impôt. Le texte ramène ainsi au droit commun les entreprises franches, enlevant tout caractère incitatif à leur régime. (..)
Mais l’AP [aire protégée] d’Antimena fait face à des pressions des activités humaines, a expliqué Serge Rajaobelina. Il s’agit, entre autres de la superposition de l’AP avec les blocs pétroliers de Madagascar Oil, soit 47% de l’AP sont inclus dans le bloc 3106 mettant en risque les ressources naturelles. S’y ajoutent les coupes illicites de palissandres et les feux de brousse. (..) L’aire protégée Menabe-Antimena en chiffres : Superficie : 210.312 hectares - Forêts sèches : 87.000 hectares - Forêts de mangroves : 14.000 hectares - Communautés de base ou Vondron’olona ifotony : 15 officialisées dont 5 en cours - Habitants : 30.000 personnes réparties dans 37 fokontany des 4 communes de 2 districts de la région Menabe - Gardes forestiers : 141 - Visiteurs : Environ 10.000 par an dont près de 9.000 pour l’Allée des baobabs et 590 pour Antimena.
Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
« Il n’y a que deux matériaux technologiques utilisés pour 100km2 de terrains agricoles, alors qu’il y en avait déjà douze dans les années 1970. Pour l’irrigation, seuls 2% des terres cultivées sont irriguées », avance-t-il [Pierre Lazamanana]. (..) À ce faible pouvoir d’achat des paysans s’ajoute la défaillance institutionnelle de développer le secteur agricole. Il n’y a qu’un centre de formation agricole sis à Fandriana, pour des millions de paysans. (..) Après l’agriculture, le secteur minier reste inaccessible à la population malgache. Un responsable auprès du ministère de l’Emploi a révélé, qu’entre 2006 et 2010, des investisseurs miniers avaient besoin de huit mille compétences, en vain. C’est pour cela qu’ils ont procédé au recrutement de techniciens étrangers.
Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Il [décret d’application de la loi sur les entreprises franches] prévoit que les dispositions 6.8 de la loi sur les zones franches, ne dispensent pas les entreprises franches de l’accomplissement des formalités fiscales, exigées par les dispositions du code général des impôts en vigueur, notamment la déclaration de retenue et le reversement d’impôt. Le texte ramène ainsi au droit commun les entreprises franches, enlevant tout caractère incitatif à leur régime. (..)
Mikama - July 28, 2014
Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Moins de un hectare. Environ 0, 87 hectares, plus précisément. C’est la parcelle moyenne occupée par les paysans en milieu rural. D’une manière générale, trois millions seulement sur 30 millions d’hectares de terres arables sont utilisés pour les exploitations agricoles. (..) La mise en place des réserves foncières paysannes a été proposée pour motiver l’extension des activités chez les paysans. Comme les zones d’investissement agricole, ces réserves doivent être délimitées au préalable par l’État. Les producteurs doivent en contrepartie être en possession d’une carte professionnelle. L’application d’un taux d’imposition élevé pour les terrains non valorisés a été aussi avancée, outre la finalisation des textes régissant les différents statuts des terres. Les terrains à statut spécifique comme les zones d’investissement agricole et les zones de reboisement ne sont pas encore régis par des lois, étant donné que la réforme entreprise en 2005 n’est pas arrivée à son terme.
Noella Rakoto dans Newsmada
Les problèmes de la Jirama sont complexes et la distribution d’électricité demeure encore inéquitable puisque les 65% de l’énergie produite par la Jirama sont consommé par le réseau d’Antananarivo. (..) D’autant plus que les tarifs de la Jirama sont inférieurs au coût réel. Du coup, cela a un impact sur les résultats de la compagnie qui sont actuellement négatifs. D’après les données du ministère de l’Energie, le déficit s’élèverait à 240 milliards d’ariary, rien que pour l’année dernière. (..) Concrètement, la Jirama devrait voir ses équipements remplacés. Pour cela, il est important d’identifier les centrales électriques à renouveler et les réseaux de transport et de distribution à étendre.
Noella Rakoto dans Newsmada
D’après les statistiques de l’institut national de la statistique, l’année dernière, la quantité de vanille exportée était estimée à près de 1.700 tonnes, ce qui équivaut à environ 25 millions d’ariary et cette année les opérateurs espèrent en exporter jusqu’à environ 2.000 tonnes.
Moins de un hectare. Environ 0, 87 hectares, plus précisément. C’est la parcelle moyenne occupée par les paysans en milieu rural. D’une manière générale, trois millions seulement sur 30 millions d’hectares de terres arables sont utilisés pour les exploitations agricoles. (..) La mise en place des réserves foncières paysannes a été proposée pour motiver l’extension des activités chez les paysans. Comme les zones d’investissement agricole, ces réserves doivent être délimitées au préalable par l’État. Les producteurs doivent en contrepartie être en possession d’une carte professionnelle. L’application d’un taux d’imposition élevé pour les terrains non valorisés a été aussi avancée, outre la finalisation des textes régissant les différents statuts des terres. Les terrains à statut spécifique comme les zones d’investissement agricole et les zones de reboisement ne sont pas encore régis par des lois, étant donné que la réforme entreprise en 2005 n’est pas arrivée à son terme.
Noella Rakoto dans Newsmada
Les problèmes de la Jirama sont complexes et la distribution d’électricité demeure encore inéquitable puisque les 65% de l’énergie produite par la Jirama sont consommé par le réseau d’Antananarivo. (..) D’autant plus que les tarifs de la Jirama sont inférieurs au coût réel. Du coup, cela a un impact sur les résultats de la compagnie qui sont actuellement négatifs. D’après les données du ministère de l’Energie, le déficit s’élèverait à 240 milliards d’ariary, rien que pour l’année dernière. (..) Concrètement, la Jirama devrait voir ses équipements remplacés. Pour cela, il est important d’identifier les centrales électriques à renouveler et les réseaux de transport et de distribution à étendre.
Noella Rakoto dans Newsmada
D’après les statistiques de l’institut national de la statistique, l’année dernière, la quantité de vanille exportée était estimée à près de 1.700 tonnes, ce qui équivaut à environ 25 millions d’ariary et cette année les opérateurs espèrent en exporter jusqu’à environ 2.000 tonnes.
Mikama - July 25, 2014
Reflet dans Newsmada
La société d’Etat Kraomita Malagasy SA (Kraoma) a le monopole de la production et de l’exportation de ce minerai jusqu’à ce jour mais n’en a produit en moyenne que 120.000 tonnes par an. (..) La société Kraoma SA produit 1000 tonnes de chromite rocheuse par jour et 700 tonnes de produits concentrés. Si auparavant, l’industrie minière ne produisait que du chrome en poudre, une réhabilitation a été apportée au début des années 80 et la société a pu commercialiser deux sortes de produits, à savoir le chrome fin et le chrome rocheux. (..) Le site d’exploitation de chromite de la société Kraoma SA se situe dans la région Betsiboka, dans la commune de Brieville. (..) Auparavant, les clients de la Grande Ile étaient la France (70 à 80% des exportations, représentant 50% de la consommation française et 40% de celle des pays du Marché commun), le Japon (20 à 30%) et la Norvège. Mais avec l’émergence des autres pays, la destination de la chromite malgache est essentiellement la Chine, ces dernières années.
Noella Rakoto dans Newsmada
Les industries demandent à ce que l’Administration revoit celle-ci à la hausse. « Avec un faible taux de la taxe douanière sur les produits finis importés, les industriels ne peuvent s’aligner avec la concurrence, car ils sont soumis à des charges et à la fiscalité », explique Stéphane Raveloson. (..) « Si auparavant, l’importation de matières premières était taxée à 5% à cause de nouvelles nomenclatures établies au niveau de la douane, les mêmes articles sont taxés à 10% ».
Noella Rakoto dans Newsmada
« Le taux de pression fiscale à Madagascar est encore bien faible, de l’ordre de 10 %.
La société d’Etat Kraomita Malagasy SA (Kraoma) a le monopole de la production et de l’exportation de ce minerai jusqu’à ce jour mais n’en a produit en moyenne que 120.000 tonnes par an. (..) La société Kraoma SA produit 1000 tonnes de chromite rocheuse par jour et 700 tonnes de produits concentrés. Si auparavant, l’industrie minière ne produisait que du chrome en poudre, une réhabilitation a été apportée au début des années 80 et la société a pu commercialiser deux sortes de produits, à savoir le chrome fin et le chrome rocheux. (..) Le site d’exploitation de chromite de la société Kraoma SA se situe dans la région Betsiboka, dans la commune de Brieville. (..) Auparavant, les clients de la Grande Ile étaient la France (70 à 80% des exportations, représentant 50% de la consommation française et 40% de celle des pays du Marché commun), le Japon (20 à 30%) et la Norvège. Mais avec l’émergence des autres pays, la destination de la chromite malgache est essentiellement la Chine, ces dernières années.
Noella Rakoto dans Newsmada
Les industries demandent à ce que l’Administration revoit celle-ci à la hausse. « Avec un faible taux de la taxe douanière sur les produits finis importés, les industriels ne peuvent s’aligner avec la concurrence, car ils sont soumis à des charges et à la fiscalité », explique Stéphane Raveloson. (..) « Si auparavant, l’importation de matières premières était taxée à 5% à cause de nouvelles nomenclatures établies au niveau de la douane, les mêmes articles sont taxés à 10% ».
Noella Rakoto dans Newsmada
« Le taux de pression fiscale à Madagascar est encore bien faible, de l’ordre de 10 %.
Mikama - July 24, 2014
Racl.R dans La Nation
Cet accord couvre un « deal » où 40 thoniers senneurs et de 54 palangriers de surface sont autorisés à pêcher dans les eaux territoriales malgaches pendant quatre ans et que l’Union européenne versera environ 6,1 millions d’euros sur ces quatre années d’application... que par cet accord nouvellement signé, l’aide qui sera allouée à la politique des pêches s’élèvera désormais à 700 000 euros...
Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Aussi le bâtiment public dans le Grand Nord, Nord-ouest et Nord-Est, doit maintenant résister à une vitesse du vent de 350Km/h. Sur les hautes terres, le vent soufflant à 212Km/h ne devrait pas non plus décoiffer un bâtiment public. Cette norme para-cyclonique affecte également les infrastructures hydroagricoles et les routes. La crue, l’inondation et l’ensablement ne devraient plus ainsi constituer une grande menace pour un barrage et un réseau hydroagricole. (..) Ainsi, lors de la saison cyclonique 2008, les dommages s’élevaient à 117,8 millions de dollars et les pertes à 9,8 millions de dollars. 340 bâtiments publics ont été touchés de plein fouet depuis les bureaux administratifs jusqu’aux établissements pénitentiaires.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
On connaît la forte centralisation budgétaire sous forme de pyramide inversée en ce qui concerne le paradoxe malagasy sur la décentralisation et cette concentration : 95% du budget public sont gérés par le gouvernement central, 1,5% par les régions et 3,5% par les 1 549 communes.
Cet accord couvre un « deal » où 40 thoniers senneurs et de 54 palangriers de surface sont autorisés à pêcher dans les eaux territoriales malgaches pendant quatre ans et que l’Union européenne versera environ 6,1 millions d’euros sur ces quatre années d’application... que par cet accord nouvellement signé, l’aide qui sera allouée à la politique des pêches s’élèvera désormais à 700 000 euros...
Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Aussi le bâtiment public dans le Grand Nord, Nord-ouest et Nord-Est, doit maintenant résister à une vitesse du vent de 350Km/h. Sur les hautes terres, le vent soufflant à 212Km/h ne devrait pas non plus décoiffer un bâtiment public. Cette norme para-cyclonique affecte également les infrastructures hydroagricoles et les routes. La crue, l’inondation et l’ensablement ne devraient plus ainsi constituer une grande menace pour un barrage et un réseau hydroagricole. (..) Ainsi, lors de la saison cyclonique 2008, les dommages s’élevaient à 117,8 millions de dollars et les pertes à 9,8 millions de dollars. 340 bâtiments publics ont été touchés de plein fouet depuis les bureaux administratifs jusqu’aux établissements pénitentiaires.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
On connaît la forte centralisation budgétaire sous forme de pyramide inversée en ce qui concerne le paradoxe malagasy sur la décentralisation et cette concentration : 95% du budget public sont gérés par le gouvernement central, 1,5% par les régions et 3,5% par les 1 549 communes.
Mikama - July 23, 2014
V.M dans La Tribune de Diego et du Nord de Madagascar
A Madagascar, les récifs coralliens couvrent une superficie de plus de 2 000 km2. De Toliara à Antsiranana et du cap d’Ambre à Toamasina, ils longent environ 1 400 km de côte. (..) Les océanographes de l’institut de Recherche pour le Développement et de l’Institut Halieutique et des Sciences Marines ont établi cette fréquentation [du Grand Récif de Toliara] à 6 à 8 personnes par jour et par km2 et « le taux de destruction par pêcheur, autour de 7,7 m2 par homme et par jour » . S’ajoute à cela, les effets de la dégradation de l’environnement terrestre qui affecte la mer et les récifs. (..) Cinquante réserves marines ont été mises en place par les communautés de pêcheurs avec les ONG tels que Blue venture, WCS… et dans le cadre du Projet d’Appui aux Communautés de Pêcheurs. Les réserves marines sont fermées à la pêche par tour et temporairement pour permettre aux animaux marins de se reproduire et de se développer.
Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
La première unité de production d’éthanol domestique a été inaugurée lundi à Ampasimpotsy Ranomafana, district de Brickaville. Elle appartient à la société Madagascar Energy Company, avec une capacité de production de 2000 litres par jour, et utilise de la canne à sucre comme matière première de base. Mais la future production sera d’abord destinée exclusivement à l’usage domestique, c’est-à-dire comme combustible pour la cuisson.
Dans L'Express de Madagascar
Aussi, les 60% de financement obtenus par l’État sont dépensés par l’administration publique. 45% de ce financement servent à payer les agents de l’État. Le professeur Yves Emery, enseignant à l’Institut de Hautes études en administration publique de Lausanne, Suisse, a ainsi suggéré plusieurs points, tels que l’équilibrage des besoins de l’État et ceux des fonctionnaires, le renforcement du système d’information, ainsi que l’évaluation de la performance de chaque ministère, service et personnel...
Fanjanarivo Dans La Gazette de la Grande-Ile
Les fermes d’aquaculture de crevettes continuent de subir les impacts négatifs de la maladie appelée « white spot » ou tache blanche. Ainsi, Aquamen est fermée depuis 2012. Il en est de même pour Aquamas et Aqualma. Quant à Marima, elle est toujours en opération malgré la présence de « white spot » mais cette option nécessite des moyens importants. La ferme OSO/LGA aussi n’a pas cessé ses activités. (..) Mais la pêche et l’aquaculture crevettières se trouvent en difficulté depuis plusieurs années déjà. Les captures tendent à diminuer pour le secteur pêche : 8 600 t en 2002, contre 5 000 t en 2007 et aux alentours de 2 600 t à l’heure actuelle.
Dans La Gazette de la Grande-Ile
Poursuivre des études supérieures coûte de plus en plus cher, surtout si l’étudiant n’est pas logé au campus et n’habite pas chez ses parents. En moyenne, il faut 100 000 Ar à un jeune logé au campus pour vivre correctement, c'est-à-dire pour se nourrir comme il faut, avoir de quoi financer les petites dépenses en matière de fournitures scolaires, d’emprunts au niveau des bibliothèques… il faut noter que les bourses perçues par un étudiant sont loin d’atteindre les 50 000 Ar par mois. Ce montant est juste un peu plus levé que le seuil de la pauvreté. (..) L’effectif des étudiants dans les universités publiques ne dépasse pas les 50 000 pour un pays de 22 millions d’habitants. Le taux d’inscription dans les universités est de 3%, soit 280 étudiants pour 100 000 habitants. Ce taux est de 8% en Afrique subsaharienne... 1/3 des jeunes malagasy de 15 à 29 ans restent désavantagés concernant l’accès à l’éducation.
R.Edmond. dans Midi Madagasikara
Le projet qui touche directement plus de 600.000 habitants de 80 Fokontany consiste en des travaux de curage et de nettoyage des principaux canaux de drainage et d’assainissement de la ville. Trois organismes sont responsables de la conduite de l’opération : l’APIPA qui est l’agence responsable de la protection contre les inondations, le SAMVA qui est le service responsable de l’assainissement, et l’ONG Lalana qui est une ONG intervenant dans le domaine des infrastructures publiques et la responsabilisation sociale. Les contrats de subvention entre l’Union Européenne et ces trois organismes ont été signés le 13 décembre 2013, pour une durée de 6 mois pour le SAMVA, et de 9 mois pour l’APIPA et l’ONG Làlana. Au total 50 km de canaux sont concernés par des travaux de nettoyage et le curage de fond.
D.R dans Midi Madagasikara
Tout semble réuni pour les organisations des producteurs d’arachide dans la région d’Androy pour atteindre l’objectif de vente de 1 500 tonnes pour cette année. Ils sont au nombre de 3 086 actuellement et ont pu améliorer leurs revenus agricoles grâce aux appuis du projet Aropa, financé par le Fida et sous la tutelle du ministère de l’Agriculture et du développement rural. (..) Un dernier recensement avance que 151 organisations paysannes et neuf unions regroupées bénéficient actuellement de ces appuis dans l’Androy.
Racl.R dans La Nation
Si les 25% des terres arables dans tout le territoire national sont plantées de canne à sucre, le problème relatif au combustible de cuisson sera résolu. (..) Techniquement, une tonne de canne à sucre peut produire environs 75 litres d'éthanol. (..) Dans le tas, la filière projette de créer 3,5 millions d'emplois directs et indirects en 5 ans. Environ, 600 000 cuisinières sont en cours de fabrication pour satisfaire les 4,5 millions de ménages avec 50 distilleries qui seront bientôt installées par district.
Noella Rakoto dans Newsmada
250 millions d’ariary. C’est le chiffre d’affaires qu’a généré en 2013 la filière baie rose, notamment dans l’Itasy et le Bongolava où cette culture est plus ou moins développée. Cependant, si la demande des exportateurs est de 70 tonnes, à l’heure actuelle, l’offre malgache n’atteint que 20 tonnes. (..) Pour rappel, 313 ménages vivent directement de cette filière et parallèlement, 700 familles interviennent dans le processus, de la production jusqu’au triage du produit.
A Madagascar, les récifs coralliens couvrent une superficie de plus de 2 000 km2. De Toliara à Antsiranana et du cap d’Ambre à Toamasina, ils longent environ 1 400 km de côte. (..) Les océanographes de l’institut de Recherche pour le Développement et de l’Institut Halieutique et des Sciences Marines ont établi cette fréquentation [du Grand Récif de Toliara] à 6 à 8 personnes par jour et par km2 et « le taux de destruction par pêcheur, autour de 7,7 m2 par homme et par jour » . S’ajoute à cela, les effets de la dégradation de l’environnement terrestre qui affecte la mer et les récifs. (..) Cinquante réserves marines ont été mises en place par les communautés de pêcheurs avec les ONG tels que Blue venture, WCS… et dans le cadre du Projet d’Appui aux Communautés de Pêcheurs. Les réserves marines sont fermées à la pêche par tour et temporairement pour permettre aux animaux marins de se reproduire et de se développer.
Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
La première unité de production d’éthanol domestique a été inaugurée lundi à Ampasimpotsy Ranomafana, district de Brickaville. Elle appartient à la société Madagascar Energy Company, avec une capacité de production de 2000 litres par jour, et utilise de la canne à sucre comme matière première de base. Mais la future production sera d’abord destinée exclusivement à l’usage domestique, c’est-à-dire comme combustible pour la cuisson.
Dans L'Express de Madagascar
Aussi, les 60% de financement obtenus par l’État sont dépensés par l’administration publique. 45% de ce financement servent à payer les agents de l’État. Le professeur Yves Emery, enseignant à l’Institut de Hautes études en administration publique de Lausanne, Suisse, a ainsi suggéré plusieurs points, tels que l’équilibrage des besoins de l’État et ceux des fonctionnaires, le renforcement du système d’information, ainsi que l’évaluation de la performance de chaque ministère, service et personnel...
Fanjanarivo Dans La Gazette de la Grande-Ile
Les fermes d’aquaculture de crevettes continuent de subir les impacts négatifs de la maladie appelée « white spot » ou tache blanche. Ainsi, Aquamen est fermée depuis 2012. Il en est de même pour Aquamas et Aqualma. Quant à Marima, elle est toujours en opération malgré la présence de « white spot » mais cette option nécessite des moyens importants. La ferme OSO/LGA aussi n’a pas cessé ses activités. (..) Mais la pêche et l’aquaculture crevettières se trouvent en difficulté depuis plusieurs années déjà. Les captures tendent à diminuer pour le secteur pêche : 8 600 t en 2002, contre 5 000 t en 2007 et aux alentours de 2 600 t à l’heure actuelle.
Dans La Gazette de la Grande-Ile
Poursuivre des études supérieures coûte de plus en plus cher, surtout si l’étudiant n’est pas logé au campus et n’habite pas chez ses parents. En moyenne, il faut 100 000 Ar à un jeune logé au campus pour vivre correctement, c'est-à-dire pour se nourrir comme il faut, avoir de quoi financer les petites dépenses en matière de fournitures scolaires, d’emprunts au niveau des bibliothèques… il faut noter que les bourses perçues par un étudiant sont loin d’atteindre les 50 000 Ar par mois. Ce montant est juste un peu plus levé que le seuil de la pauvreté. (..) L’effectif des étudiants dans les universités publiques ne dépasse pas les 50 000 pour un pays de 22 millions d’habitants. Le taux d’inscription dans les universités est de 3%, soit 280 étudiants pour 100 000 habitants. Ce taux est de 8% en Afrique subsaharienne... 1/3 des jeunes malagasy de 15 à 29 ans restent désavantagés concernant l’accès à l’éducation.
R.Edmond. dans Midi Madagasikara
Le projet qui touche directement plus de 600.000 habitants de 80 Fokontany consiste en des travaux de curage et de nettoyage des principaux canaux de drainage et d’assainissement de la ville. Trois organismes sont responsables de la conduite de l’opération : l’APIPA qui est l’agence responsable de la protection contre les inondations, le SAMVA qui est le service responsable de l’assainissement, et l’ONG Lalana qui est une ONG intervenant dans le domaine des infrastructures publiques et la responsabilisation sociale. Les contrats de subvention entre l’Union Européenne et ces trois organismes ont été signés le 13 décembre 2013, pour une durée de 6 mois pour le SAMVA, et de 9 mois pour l’APIPA et l’ONG Làlana. Au total 50 km de canaux sont concernés par des travaux de nettoyage et le curage de fond.
D.R dans Midi Madagasikara
Tout semble réuni pour les organisations des producteurs d’arachide dans la région d’Androy pour atteindre l’objectif de vente de 1 500 tonnes pour cette année. Ils sont au nombre de 3 086 actuellement et ont pu améliorer leurs revenus agricoles grâce aux appuis du projet Aropa, financé par le Fida et sous la tutelle du ministère de l’Agriculture et du développement rural. (..) Un dernier recensement avance que 151 organisations paysannes et neuf unions regroupées bénéficient actuellement de ces appuis dans l’Androy.
Racl.R dans La Nation
Si les 25% des terres arables dans tout le territoire national sont plantées de canne à sucre, le problème relatif au combustible de cuisson sera résolu. (..) Techniquement, une tonne de canne à sucre peut produire environs 75 litres d'éthanol. (..) Dans le tas, la filière projette de créer 3,5 millions d'emplois directs et indirects en 5 ans. Environ, 600 000 cuisinières sont en cours de fabrication pour satisfaire les 4,5 millions de ménages avec 50 distilleries qui seront bientôt installées par district.
Noella Rakoto dans Newsmada
250 millions d’ariary. C’est le chiffre d’affaires qu’a généré en 2013 la filière baie rose, notamment dans l’Itasy et le Bongolava où cette culture est plus ou moins développée. Cependant, si la demande des exportateurs est de 70 tonnes, à l’heure actuelle, l’offre malgache n’atteint que 20 tonnes. (..) Pour rappel, 313 ménages vivent directement de cette filière et parallèlement, 700 familles interviennent dans le processus, de la production jusqu’au triage du produit.
Mikama - July 22, 2014
Racl.R dans La Nation
La pêche aux crabes de mangrove est une activité économique qui fait vivre près de 80.000 personnes allant des zones plus accessibles aux coins les plus reculés de Madagascar, selon la FAO. L’activité se fait en général de manière traditionnelle. (..) Il faut tout de même noter que les 3500 tonnes par an exploitées de manière archaïque par les pêcheurs de crabes sont beaucoup plus importantes comparées aux productions des années précédentes qui étaient de 500 tonnes à 2000 tonnes par an entre 1985 et 2010.
Dans La Gazette de la Grande-Ile
L’île compte 17 ports, dont actuellement 7 ports internationaux (Toamasina, Mahajanga, Toliary, Antsiranana, Nosy-Be, Ehoala (Taolagnaro et Vohemar). Et selon les données de la Banque mondiale... Quant aux axes de navigation intérieure, elles sont cruciales pour certaines régions enclavées, tel le Canal des Pangalanes long d’environ 657 km sur la côte Est, ou encore la rivière Tsiribihina navigable sur environ 150 km, sur la côte Ouest... Une étude de 2009 estime les besoins de financement des investissements [au port de Toamasina] à presque 290 millions d’euros. Dans les autres principaux ports ... de 3,2 à 11,5 millions de dollars.
Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Le gouvernement japonais alloue plus de trois milliards d’ariary pour la nutrition des communautés vulnérables. La santé, l’eau, l’hygiène et l’assainissement sont également financés. Géré par l’Unicef, ce fonds va être utilisé dans les régions Menabe, Atsimo Andrefana, Androy et Anosy où la prévalence de la malnutrition sévère est de 8% et celle chronique varie de 40% à 47%, selon l’Agence onusienne pour l’enfance. (..) Cinq cent dix mille enfants, cent vingt-trois mille femmes enceintes et cent soixante mille habitants sont les cibles de ce financement japonais, mis en œuvre par l’Unicef.
Sera R. dans Newsmada
Dans le domaine de la santé, cette contribution financière du gouvernement japonais permettra de procurer et de distribuer 2 750 cartons d’aliments thérapeutiques pour la prise en charge et le traitement des enfants atteints de la malnutrition chronique sévère, a-t-on aussi lu dans le communiqué. Elle permet de former 410 agents de santé communautaires sur la prise en charge communautaire de la malnutrition sévère, de dépister 475 000 enfants de moins de cinq ans, de mettre en place un Centre de récupération et d’éducation nutritionnelle intensive (CRENI) ainsi qu’un Centre de Récupération et d’éducation nutritionnelle ambulatoire (CRENA). Elle permettra notamment l’acquisition et l’installation de 20 réfrigérateurs solaires au sein des Centres de santé de base pour la conservation des vaccins.
Dans le domaine de l’eau, hygiène et assainissement, cet appui consistera à promouvoir les pratiques d’assainissement au niveau de 16 communes de chacune des régions bénéficiaires ainsi qu’à former 320 agents de santé communautaires sur l’approche assainissement. Un assainissement totalement piloté par les communautés.
Navalona R. dans Midi Madagasikara
Promouvoir les activités de valorisation des déchets. C’est l’objectif des étudiants de la première promotion de l’Institut Supérieur des Métiers de Madagascar (IS2M) en organisant dernièrement le salon sur l’environnement et le recyclage à la CCIA, parrainé par le Groupement des Entreprises de Madagascar, dans le cadre de leur projet intitulé « Antananarivo Tsy Mandrora Mitsilany ». De grandes innovations sur la valorisation des déchets y ont été observées.
Racl.R dans La Nation
Eva Razafimandimby Directeur exécutif du Groupement des entreprises franches et professionnelles (GEFP) a énoncé les 5 grands piliers nécessaires pour assurer la réussite de ce retour de la Grande île dans le marché de l’AGOA ... la logistique, l’énergie, l’approche intégrée à la chaîne de valeur textile, les diverses règlementations fiscales et surtout la stabilité politique. (..) L’entreprise MKLEN, une multinationale employant une main-d’œuvre riche de 4500 personnes qui a complètement arrêté son opération en 2010... GROVE INDUSTRIES, une autre entreprise emploient actuellement, 1200 personnes... Pour COTONA GROUP, elle emploie actuellement 5500 personnes... Madagascar a exporté approximativement une valeur de 2 milliards d'USD d’habillements sous AGOA entre 2001 et 2009. La Grande île était alors le deuxième pays, derrière le Lesotho avec autour de 280 millions d'USD d'exportations d’habillements en 2008.
Nadia dans Newsmada
Il faut savoir que le Sud est une région favorable à la culture de coton. Rien que dans la partie Sud- Ouest, la filière coton arrive à faire vivre des milliers de personnes. La production de coton est de 25.000 tonnes par an sur une superficie de 42.800 ha. Sur ces 25.000 tonnes, 10.000 sont converties en fibres qui seront ensuite exportées vers la Malaisie, le Pakistan, la Chine, le Bengladesh ou Maurice. Seul 500 T seront réservées à la transformation locale. Les frais d’exploitation s’élèvent à de 1,40 dollar par kg de fibres.
La pêche aux crabes de mangrove est une activité économique qui fait vivre près de 80.000 personnes allant des zones plus accessibles aux coins les plus reculés de Madagascar, selon la FAO. L’activité se fait en général de manière traditionnelle. (..) Il faut tout de même noter que les 3500 tonnes par an exploitées de manière archaïque par les pêcheurs de crabes sont beaucoup plus importantes comparées aux productions des années précédentes qui étaient de 500 tonnes à 2000 tonnes par an entre 1985 et 2010.
Dans La Gazette de la Grande-Ile
L’île compte 17 ports, dont actuellement 7 ports internationaux (Toamasina, Mahajanga, Toliary, Antsiranana, Nosy-Be, Ehoala (Taolagnaro et Vohemar). Et selon les données de la Banque mondiale... Quant aux axes de navigation intérieure, elles sont cruciales pour certaines régions enclavées, tel le Canal des Pangalanes long d’environ 657 km sur la côte Est, ou encore la rivière Tsiribihina navigable sur environ 150 km, sur la côte Ouest... Une étude de 2009 estime les besoins de financement des investissements [au port de Toamasina] à presque 290 millions d’euros. Dans les autres principaux ports ... de 3,2 à 11,5 millions de dollars.
Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Le gouvernement japonais alloue plus de trois milliards d’ariary pour la nutrition des communautés vulnérables. La santé, l’eau, l’hygiène et l’assainissement sont également financés. Géré par l’Unicef, ce fonds va être utilisé dans les régions Menabe, Atsimo Andrefana, Androy et Anosy où la prévalence de la malnutrition sévère est de 8% et celle chronique varie de 40% à 47%, selon l’Agence onusienne pour l’enfance. (..) Cinq cent dix mille enfants, cent vingt-trois mille femmes enceintes et cent soixante mille habitants sont les cibles de ce financement japonais, mis en œuvre par l’Unicef.
Sera R. dans Newsmada
Dans le domaine de la santé, cette contribution financière du gouvernement japonais permettra de procurer et de distribuer 2 750 cartons d’aliments thérapeutiques pour la prise en charge et le traitement des enfants atteints de la malnutrition chronique sévère, a-t-on aussi lu dans le communiqué. Elle permet de former 410 agents de santé communautaires sur la prise en charge communautaire de la malnutrition sévère, de dépister 475 000 enfants de moins de cinq ans, de mettre en place un Centre de récupération et d’éducation nutritionnelle intensive (CRENI) ainsi qu’un Centre de Récupération et d’éducation nutritionnelle ambulatoire (CRENA). Elle permettra notamment l’acquisition et l’installation de 20 réfrigérateurs solaires au sein des Centres de santé de base pour la conservation des vaccins.
Dans le domaine de l’eau, hygiène et assainissement, cet appui consistera à promouvoir les pratiques d’assainissement au niveau de 16 communes de chacune des régions bénéficiaires ainsi qu’à former 320 agents de santé communautaires sur l’approche assainissement. Un assainissement totalement piloté par les communautés.
Navalona R. dans Midi Madagasikara
Promouvoir les activités de valorisation des déchets. C’est l’objectif des étudiants de la première promotion de l’Institut Supérieur des Métiers de Madagascar (IS2M) en organisant dernièrement le salon sur l’environnement et le recyclage à la CCIA, parrainé par le Groupement des Entreprises de Madagascar, dans le cadre de leur projet intitulé « Antananarivo Tsy Mandrora Mitsilany ». De grandes innovations sur la valorisation des déchets y ont été observées.
Racl.R dans La Nation
Eva Razafimandimby Directeur exécutif du Groupement des entreprises franches et professionnelles (GEFP) a énoncé les 5 grands piliers nécessaires pour assurer la réussite de ce retour de la Grande île dans le marché de l’AGOA ... la logistique, l’énergie, l’approche intégrée à la chaîne de valeur textile, les diverses règlementations fiscales et surtout la stabilité politique. (..) L’entreprise MKLEN, une multinationale employant une main-d’œuvre riche de 4500 personnes qui a complètement arrêté son opération en 2010... GROVE INDUSTRIES, une autre entreprise emploient actuellement, 1200 personnes... Pour COTONA GROUP, elle emploie actuellement 5500 personnes... Madagascar a exporté approximativement une valeur de 2 milliards d'USD d’habillements sous AGOA entre 2001 et 2009. La Grande île était alors le deuxième pays, derrière le Lesotho avec autour de 280 millions d'USD d'exportations d’habillements en 2008.
Nadia dans Newsmada
Il faut savoir que le Sud est une région favorable à la culture de coton. Rien que dans la partie Sud- Ouest, la filière coton arrive à faire vivre des milliers de personnes. La production de coton est de 25.000 tonnes par an sur une superficie de 42.800 ha. Sur ces 25.000 tonnes, 10.000 sont converties en fibres qui seront ensuite exportées vers la Malaisie, le Pakistan, la Chine, le Bengladesh ou Maurice. Seul 500 T seront réservées à la transformation locale. Les frais d’exploitation s’élèvent à de 1,40 dollar par kg de fibres.
Mikama - July 21, 2014
Dans La Gazette de la Grande-Ile
Comme dans l’édition 2013 Madagascar a de nouveau perdu quatre places pour la facilité à faire des affaires dans l’édition 2014 du rapport Doing Business de la Banque mondiale et se classe au 148e rang sur 189 économies. Le pays a néanmoinsn selon les données de l’Afdb, fait des progrès en matière de paiement des impôts, où Madagascar a gagné onze places grâce à l’utilisation de systèmes en ligne pour les déclarations de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) et de la réduction du taux de l’impôt sur les sociétés ; et de facilitation du commerce transfrontalier avec un gain de six places, suite à l’installation d’un Guichet unique virtuel sur les importations et les exportations (MIDAC) qui a permis de renforcer l’intégration et la sécurisation des procédures douanières. (..) Reflet de la dégradation du climat des affaires : le nombre de nouvelles entreprises créées est tombé de 22 019 en 2012 à 13 118 en 2013, selon les données de l’Institut national de la statistique, soit une baisse de 40.4 %. (..) le secteur financier malgache est peu développé. Il est composé de 11 banques, 6 établissements financiers et 31 institutions de microfinance. Le taux de bancarisation est faible, estimé à 5 %.
Dimisoa dans Newsmada
80 % de la population se trouvent dans le secteur primaire. (..) Sur les 60 millions ha de superficie totale de la Grande île, presque la moitié se prête à l’agriculture et 18 millions ha demeurent encore disponibles. (..) avec les 2 000 km de rivières. Actuellement, Madagascar produit environ 3,6 millions de tonnes de riz, plus d’1 million de tonnes de céréales et d’autres féculents dont le maïs, la pomme de terre, le manioc, etc.
Dans La Gazette de la Grande-Ile
Le réseau routier est vaste, avec un linéaire total classé d’environ 32.000 km dont à peine 13% est bitumé.
Comme dans l’édition 2013 Madagascar a de nouveau perdu quatre places pour la facilité à faire des affaires dans l’édition 2014 du rapport Doing Business de la Banque mondiale et se classe au 148e rang sur 189 économies. Le pays a néanmoinsn selon les données de l’Afdb, fait des progrès en matière de paiement des impôts, où Madagascar a gagné onze places grâce à l’utilisation de systèmes en ligne pour les déclarations de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) et de la réduction du taux de l’impôt sur les sociétés ; et de facilitation du commerce transfrontalier avec un gain de six places, suite à l’installation d’un Guichet unique virtuel sur les importations et les exportations (MIDAC) qui a permis de renforcer l’intégration et la sécurisation des procédures douanières. (..) Reflet de la dégradation du climat des affaires : le nombre de nouvelles entreprises créées est tombé de 22 019 en 2012 à 13 118 en 2013, selon les données de l’Institut national de la statistique, soit une baisse de 40.4 %. (..) le secteur financier malgache est peu développé. Il est composé de 11 banques, 6 établissements financiers et 31 institutions de microfinance. Le taux de bancarisation est faible, estimé à 5 %.
Dimisoa dans Newsmada
80 % de la population se trouvent dans le secteur primaire. (..) Sur les 60 millions ha de superficie totale de la Grande île, presque la moitié se prête à l’agriculture et 18 millions ha demeurent encore disponibles. (..) avec les 2 000 km de rivières. Actuellement, Madagascar produit environ 3,6 millions de tonnes de riz, plus d’1 million de tonnes de céréales et d’autres féculents dont le maïs, la pomme de terre, le manioc, etc.
Dans La Gazette de la Grande-Ile
Le réseau routier est vaste, avec un linéaire total classé d’environ 32.000 km dont à peine 13% est bitumé.
Mikama - July 17, 2014
Racl.R dans La Nation
« la commercialisation de l’agriculture se fera au détriment de ceux qui ne pourront pas affronter la concurrence ». Cela confirme encore les conséquences redoutées du développement de l’agrobusiness à Madagascar, à savoir la disparition de « l’agriculture familiale paysanne à cause du rapport de forces inégal si on laisse les deux modèles de production se développer en libre concurrence. D’autre part, il résultera un exode inévitable de la population rurale vers les zones urbaines car les entreprises agricoles ne pourront pas fournir autant d’emplois que l’agriculture familiale paysanne », explique le Collectif TANY.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
La transformation de fruits pour Antsohihy, le miel pour Befandriana, l’huile d’arachide pour Mandritsara, le black eyes (des grains secs) pour Port-Bergé… (..) Seulement, les métiers agricoles sont souvent dévalorisés ou ne rencontrent que l’indifférence des jeunes et des autorités. Les foires comme celle de la région Sofia devraient contribuer à redorer l’image de ces métiers.
Antsa R. dans Midi Madagasikara
Seuls 10 % à 20 % des animaux d’élevage sont vaccinés dans certaines régions de Madagascar.
« la commercialisation de l’agriculture se fera au détriment de ceux qui ne pourront pas affronter la concurrence ». Cela confirme encore les conséquences redoutées du développement de l’agrobusiness à Madagascar, à savoir la disparition de « l’agriculture familiale paysanne à cause du rapport de forces inégal si on laisse les deux modèles de production se développer en libre concurrence. D’autre part, il résultera un exode inévitable de la population rurale vers les zones urbaines car les entreprises agricoles ne pourront pas fournir autant d’emplois que l’agriculture familiale paysanne », explique le Collectif TANY.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
La transformation de fruits pour Antsohihy, le miel pour Befandriana, l’huile d’arachide pour Mandritsara, le black eyes (des grains secs) pour Port-Bergé… (..) Seulement, les métiers agricoles sont souvent dévalorisés ou ne rencontrent que l’indifférence des jeunes et des autorités. Les foires comme celle de la région Sofia devraient contribuer à redorer l’image de ces métiers.
Antsa R. dans Midi Madagasikara
Seuls 10 % à 20 % des animaux d’élevage sont vaccinés dans certaines régions de Madagascar.
Mikama - July 16, 2014
Dans La Gazette de la Grande-Ile
Le système de la lutte contre la corruption a souffert d'un manque important de moyens depuis 2009. Il s'agit notamment du Comité pour la Sauvegarde de l'Intégrité, CSI, du Bureau indépendant Anti-corruption, BIANCO, ainsi que des "guichets uniques" de la Chaîne Pénale Anticorruption et du Service de Renseignements Financiers, SAMFIN. Le manque d’indépendance de ces institutions par rapport à la branche exécutive du gouvernement a tendance à diminuer leur crédibilité aux yeux du grand public et à limiter leur marge de manœuvre. (..) Le paysage institutionnel des entités chargées de fonctions d'audit interne et 'inspection est fragmenté et instable : l'Inspection Générale de l'Etat (IGE) est dotée de larges compétences interministérielles mais avec de très faibles moyens (12 inspecteurs). Des recrutements seraient ainsi nécessaires afin de pallier cette faiblesse. La brigade de vérification du Trésor est légèrement mieux dotée (21 vérificateurs) et adopte une approche plus systématique dans l'établissement de son plan de contrôle, mais sa compétence est limitée aux comptables publics et le contrôle du respect du service fait ne rentre donc pas dans ses attributions. Le projet de création d'une Inspection Générale des Finances (IGF), prévu par un décret de 2004, n'a jamais vu le jour en raison de rivalités institutionnelles et statutaires, notamment avec l'IGE. En revanche, des directions de l'audit interne à compétence ministérielle ont récemment été créées au MFB (10 auditeurs formés aux normes et techniques internationales d'audit), au Ministère des Travaux publics et de la Météorologie et au Ministère de l'Education Nationale et de la Recherche scientifique.
Racl. R dans La Nation
Les foires et les marchés régionaux sont parfois les seules opportunités que les paysans ont à leur disposition pour vendre leurs produits. Le programme Prosperer est l’un des organismes qui vient pour la promotion du secteur rural par son soutien aux opérateurs ruraux. Avec des programmes détaillés, Prosperer organise des marchés ruraux ... Comme le programme Prosperer soutient environs 5.000 petits opérateurs ruraux dans leurs programmes, 50 d’entre eux ont été sélectionnés à participer à l’Ankolany 2 et feront des tests sur terrain pour démontrer que leurs produits sont intéressants pour les acheteurs.
Dans La Gazette de la Grande-Ile
L’indice d'accès rural à Madagascar, défini comme le pourcentage de la population rurale vivant à moins de 2 km d'une route praticable en tous temps est extrêmement faible (22,4 pour cent)..
Le système de la lutte contre la corruption a souffert d'un manque important de moyens depuis 2009. Il s'agit notamment du Comité pour la Sauvegarde de l'Intégrité, CSI, du Bureau indépendant Anti-corruption, BIANCO, ainsi que des "guichets uniques" de la Chaîne Pénale Anticorruption et du Service de Renseignements Financiers, SAMFIN. Le manque d’indépendance de ces institutions par rapport à la branche exécutive du gouvernement a tendance à diminuer leur crédibilité aux yeux du grand public et à limiter leur marge de manœuvre. (..) Le paysage institutionnel des entités chargées de fonctions d'audit interne et 'inspection est fragmenté et instable : l'Inspection Générale de l'Etat (IGE) est dotée de larges compétences interministérielles mais avec de très faibles moyens (12 inspecteurs). Des recrutements seraient ainsi nécessaires afin de pallier cette faiblesse. La brigade de vérification du Trésor est légèrement mieux dotée (21 vérificateurs) et adopte une approche plus systématique dans l'établissement de son plan de contrôle, mais sa compétence est limitée aux comptables publics et le contrôle du respect du service fait ne rentre donc pas dans ses attributions. Le projet de création d'une Inspection Générale des Finances (IGF), prévu par un décret de 2004, n'a jamais vu le jour en raison de rivalités institutionnelles et statutaires, notamment avec l'IGE. En revanche, des directions de l'audit interne à compétence ministérielle ont récemment été créées au MFB (10 auditeurs formés aux normes et techniques internationales d'audit), au Ministère des Travaux publics et de la Météorologie et au Ministère de l'Education Nationale et de la Recherche scientifique.
Racl. R dans La Nation
Les foires et les marchés régionaux sont parfois les seules opportunités que les paysans ont à leur disposition pour vendre leurs produits. Le programme Prosperer est l’un des organismes qui vient pour la promotion du secteur rural par son soutien aux opérateurs ruraux. Avec des programmes détaillés, Prosperer organise des marchés ruraux ... Comme le programme Prosperer soutient environs 5.000 petits opérateurs ruraux dans leurs programmes, 50 d’entre eux ont été sélectionnés à participer à l’Ankolany 2 et feront des tests sur terrain pour démontrer que leurs produits sont intéressants pour les acheteurs.
Dans La Gazette de la Grande-Ile
L’indice d'accès rural à Madagascar, défini comme le pourcentage de la population rurale vivant à moins de 2 km d'une route praticable en tous temps est extrêmement faible (22,4 pour cent)..
Mikama - July 15, 2014
Racl.R dans La Nation
La Région de Vatovavy Fitovinany possède dans son sous-sol d’importantes réserves d’or, de platine, d’émeraude et de diamant. (..) C’est pour cette raison que Brice Andrianasolo lance un appel à tous les paysans de cette région avant qu’il ne soit trop tard d’occuper les terrains car selon la loi, les exploitants ne peuvent pas se servir de leur permis sans avoir obtenu l’accord de la population. Cet ingénieur, président d’une association dénommée Gemsmada, veut bien exploiter les ressources naturelles mais de façon rationnelle en donnant plus d’avantages aux populations d’où ces ressources proviennent.
Antsa R. dans Midi Madagasikara
Jeunes étudiants, cadres dirigeants, techniciens, sont aujourd’hui réunis dans la Plate-forme Escame management, Business consulting, Network (EBN) Group, suivant l’initiative d’étudiants, d’enseignants, des anciens de l’Escame. (..) L’association a comme objectif de créer un millier d’emplois directs et 50 000 indirects, d’ici quatre ans. En effet, elle veut couvrir les zones rurales et toutes les régions de Madagascar, par le biais d’un lancement de projets de création d’entreprise...
Navalona R dans Midi Madagasikara
Rappelons que Madagascar a exporté 1 925 tonnes de vanille l’année dernière, principalement vers la France et les Etats-Unis.
La Région de Vatovavy Fitovinany possède dans son sous-sol d’importantes réserves d’or, de platine, d’émeraude et de diamant. (..) C’est pour cette raison que Brice Andrianasolo lance un appel à tous les paysans de cette région avant qu’il ne soit trop tard d’occuper les terrains car selon la loi, les exploitants ne peuvent pas se servir de leur permis sans avoir obtenu l’accord de la population. Cet ingénieur, président d’une association dénommée Gemsmada, veut bien exploiter les ressources naturelles mais de façon rationnelle en donnant plus d’avantages aux populations d’où ces ressources proviennent.
Antsa R. dans Midi Madagasikara
Jeunes étudiants, cadres dirigeants, techniciens, sont aujourd’hui réunis dans la Plate-forme Escame management, Business consulting, Network (EBN) Group, suivant l’initiative d’étudiants, d’enseignants, des anciens de l’Escame. (..) L’association a comme objectif de créer un millier d’emplois directs et 50 000 indirects, d’ici quatre ans. En effet, elle veut couvrir les zones rurales et toutes les régions de Madagascar, par le biais d’un lancement de projets de création d’entreprise...
Navalona R dans Midi Madagasikara
Rappelons que Madagascar a exporté 1 925 tonnes de vanille l’année dernière, principalement vers la France et les Etats-Unis.
Mikama - July 14, 2014
Rivonala Razafison dans Sci Dev Net
Madagascar perd annuellement environ 400 km de route en terre à cause de la non-maîtrise de l’humidité du sol, un paramètre rarement pris en considération lors de la construction des routes, selon le colonel Botomanovatsara. (..) Pour l’hydrographie routière, la tradition est de mesurer la pluviométrie, s’il y a bassins versants sur le tracé de la route, le volume des talwegs et montagnes. (..) "L’attachement à la méthode classique est à l’origine de l’accélération du vieillissement des routes. L’écoulement d’eau intervient bel et bien à la vétusté des structures routières. L’eau amène de fines particules hors de celles-ci selon sa vitesse de propagation à l’intérieur du sol où des parties vides se créent. L’infiltration d’eau est donc un paramètre à prendre en compte mathématiquement. Mais personne n’a jamais pris la peine de la calculer". (..) L’application de la nouvelle méthode de calcul peut inspirer une nouvelle approche de la lutte contre la désertification par le verdissement des espaces dénudés. "Dans ce cas, il suffit d’avoir tous les paramètres nécessaires dans un mémento et d’appliquer la formule", avance-t-il. Selon Adolphe Ratiarison, enseigneur chercheur en sciences physiques à l'université d'Antananarivo, la méthode de calcul développée par Botomanovatsara permet aussi de prévoir les trajectoires des cyclones et leur intensité, de gérer l’emplacement des gigantesques constructions de façon à aménager des parkings destinés à recevoir le plus grand nombre possible de véhicules, de favoriser le transfert de l’engrais à la plante… Le Laboratoire national des travaux publics et des bâtiments (LNTPB) doit figurer parmi les premiers utilisateurs potentiels de la nouvelle méthode sur l’île où la durée de vie moyenne de la route est de quinze ans.
Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Le gouvernement entend en effet mobiliser d’autres secteurs comme ceux des huiles essentielles, des produits artisanaux, des produits pétroliers, outre le textile, pour augmenter le volume des exportations sur le marché américain. De son côté, le Groupement des entreprises franches et partenaires (GEFP) table, pour les cinq prochaines années, sur un volume d’exportation de un milliard de dollars et prévoit 200 000 emplois nouvellement créés. (..) En 2008, Madagascar a occupé la place du deuxième exportateur de textile de l’Agoa après le Lesotho. Le volume des exportations s’élevait à plus de 280 millions de dollars.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Si dans la loi des finances 2014, la prévision pour les recettes douanières est de 1 218,7 milliards Ar, elle devrait donc se situer à 1 364,7 milliards Ar dans la prochaine loi des finances rectificative.
Madagascar perd annuellement environ 400 km de route en terre à cause de la non-maîtrise de l’humidité du sol, un paramètre rarement pris en considération lors de la construction des routes, selon le colonel Botomanovatsara. (..) Pour l’hydrographie routière, la tradition est de mesurer la pluviométrie, s’il y a bassins versants sur le tracé de la route, le volume des talwegs et montagnes. (..) "L’attachement à la méthode classique est à l’origine de l’accélération du vieillissement des routes. L’écoulement d’eau intervient bel et bien à la vétusté des structures routières. L’eau amène de fines particules hors de celles-ci selon sa vitesse de propagation à l’intérieur du sol où des parties vides se créent. L’infiltration d’eau est donc un paramètre à prendre en compte mathématiquement. Mais personne n’a jamais pris la peine de la calculer". (..) L’application de la nouvelle méthode de calcul peut inspirer une nouvelle approche de la lutte contre la désertification par le verdissement des espaces dénudés. "Dans ce cas, il suffit d’avoir tous les paramètres nécessaires dans un mémento et d’appliquer la formule", avance-t-il. Selon Adolphe Ratiarison, enseigneur chercheur en sciences physiques à l'université d'Antananarivo, la méthode de calcul développée par Botomanovatsara permet aussi de prévoir les trajectoires des cyclones et leur intensité, de gérer l’emplacement des gigantesques constructions de façon à aménager des parkings destinés à recevoir le plus grand nombre possible de véhicules, de favoriser le transfert de l’engrais à la plante… Le Laboratoire national des travaux publics et des bâtiments (LNTPB) doit figurer parmi les premiers utilisateurs potentiels de la nouvelle méthode sur l’île où la durée de vie moyenne de la route est de quinze ans.
Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Le gouvernement entend en effet mobiliser d’autres secteurs comme ceux des huiles essentielles, des produits artisanaux, des produits pétroliers, outre le textile, pour augmenter le volume des exportations sur le marché américain. De son côté, le Groupement des entreprises franches et partenaires (GEFP) table, pour les cinq prochaines années, sur un volume d’exportation de un milliard de dollars et prévoit 200 000 emplois nouvellement créés. (..) En 2008, Madagascar a occupé la place du deuxième exportateur de textile de l’Agoa après le Lesotho. Le volume des exportations s’élevait à plus de 280 millions de dollars.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Si dans la loi des finances 2014, la prévision pour les recettes douanières est de 1 218,7 milliards Ar, elle devrait donc se situer à 1 364,7 milliards Ar dans la prochaine loi des finances rectificative.
Mikama - July 11, 2014
Racl.R dans La Nation
Atelier national sur la Gouvernance. Efficacité, transparence, redevabilité comme mot-clé. Sans bonne gouvernance, il n’y a pas de développement économique. (..) Il a pris part à ce séminaire afin de partager son expérience dans de domaine de la bonne gouvernance, lui-même étant membre de la Communauté africaine des pratiques (AFCOP), qui est une communauté de plus de 1000 praticiens de la Gestion axée sur les résultats de développement (GRD). Il a souligné que les pratiques de bonne gouvernance doivent ressortir une gestion axée sur les résultats. Il a ainsi souligné dans sa présentation qu’il faut avoir une bonne gouvernance financière, fiscale, judiciaire pour avoir un résultat de développement soutenu. (..) La GRD requiert l’utilisation d’outils pratiques de planification stratégique, de gestion du risque, de suivi des progrès et d’évaluation des résultats.
Navalona R. dans Midi Madagasikara
« 7 800 produits seront éligibles à l’AGOA. On peut citer, entre autres, les produits pétroliers, l’artisanat et les produits agro-alimentaires. Par contre, cet accord commercial conclu entre les Etats-Unis et les pays de l’Afrique subsaharienne prendra fin l’année prochaine. Madagascar ne pourra ainsi en bénéficier que pour un an étant donné que le pays a été suspendu suite à la crise qui a duré cinq ans» (..) « les procédures d’exportation ont connu un certain changement pour ne citer que le visa package et les procédures douanières. Pour commencer, on va se focaliser davantage sur la filière textile dans le but de récupérer les emplois perdus durant la crise »
Arnaud R. dans Midi Madagasikara
Le Programme d’Appui aux Services Sociaux de Base du Secteur Santé ou PASSOBA-Santé vient de connaitre une extension, grâce à l’octroi de 10 millions d’euros supplémentaires (soit 32 Milliards d’Ariary) de l’Union Européenne.
Atelier national sur la Gouvernance. Efficacité, transparence, redevabilité comme mot-clé. Sans bonne gouvernance, il n’y a pas de développement économique. (..) Il a pris part à ce séminaire afin de partager son expérience dans de domaine de la bonne gouvernance, lui-même étant membre de la Communauté africaine des pratiques (AFCOP), qui est une communauté de plus de 1000 praticiens de la Gestion axée sur les résultats de développement (GRD). Il a souligné que les pratiques de bonne gouvernance doivent ressortir une gestion axée sur les résultats. Il a ainsi souligné dans sa présentation qu’il faut avoir une bonne gouvernance financière, fiscale, judiciaire pour avoir un résultat de développement soutenu. (..) La GRD requiert l’utilisation d’outils pratiques de planification stratégique, de gestion du risque, de suivi des progrès et d’évaluation des résultats.
Navalona R. dans Midi Madagasikara
« 7 800 produits seront éligibles à l’AGOA. On peut citer, entre autres, les produits pétroliers, l’artisanat et les produits agro-alimentaires. Par contre, cet accord commercial conclu entre les Etats-Unis et les pays de l’Afrique subsaharienne prendra fin l’année prochaine. Madagascar ne pourra ainsi en bénéficier que pour un an étant donné que le pays a été suspendu suite à la crise qui a duré cinq ans» (..) « les procédures d’exportation ont connu un certain changement pour ne citer que le visa package et les procédures douanières. Pour commencer, on va se focaliser davantage sur la filière textile dans le but de récupérer les emplois perdus durant la crise »
Arnaud R. dans Midi Madagasikara
Le Programme d’Appui aux Services Sociaux de Base du Secteur Santé ou PASSOBA-Santé vient de connaitre une extension, grâce à l’octroi de 10 millions d’euros supplémentaires (soit 32 Milliards d’Ariary) de l’Union Européenne.
Mikama - July 10, 2014
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Madagascar est parmi une quarantaine d’îles intéressées par les services du Réseau insulaire mondial des énergies renouvelables (GREIN). Avec ses potentiels en hydroélectricité (7 800 MW), en énergie solaire (une moyenne de 2 000 kWh/m2/an), et éolienne (6 à 9 m/s à 50 m de hauteur), le pays regorge en de ressources en énergies renouvelables. (..) Pour l’heure, le coût de l’électricité est relativement cher car le pays est encore au 17ème rang sur 39 pays similaires pour le tarif de la moyenne tension et au 16ème pour le tarif social.
Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Investissements – Promotion des réserves touristiques foncières... les actions de prospection d’investisseurs se poursuivent dans le cadre du Projet Pôle intégré de croissance. Les zones concernées par les promotions sont la région Diana, plus précisément le corridor entre Nosy Be et Antsiranana, ainsi que les baies autour de cette localité. Dans la région Sud Ouest, il s’agit du corridor autour de Toliara, entre Anakao et Andavadaoka. (..) « Ces terrains ont été prévus pour ces réserves touristiques foncières, mais puisque rien n’a été fait, des individus sont venus occuper les terrains. Nous allons négocier auprès de ces occupants. Certains sont prêts à partir mais demandent une compensation », ajoute le directeur de l’aménagement auprès du ministère du Tourisme. Les investisseurs auront à leur disposition des avantages fiscaux et douaniers comme le stipule le code des investissements, des matières premières et d’une main d’œuvre locale.
Benjamin Krupp dans Microcapital
The Grameen Credit Agricole Microfinance Foundation (GCAMF), a Luxembourg-based organization founded by French Bank Credit Agricole and Bangladeshi NGO Grameen Trust, recently informed MicroCapital that it has disbursed the second half of a loan in local currency equal to EUR 152,000 (USD 207,000) to Mec Fadec, a Senegalese microfinance institution (MFI), and a loan of EUR 500,000 (USD 681,000) to Tahiry Ifamonjena Amin’ny Vola (TIAVO), a Madagascar-based MFI. (..)
Mikama - July 9, 2014
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Les collectivités territoriales décentralisées et les établissements publics pourraient participer dans le capital des sociétés commerciales à participation de l’Etat. Cette disposition est inscrite dans le projet de loi initié par le Trésor public présenté au conseil de gouvernement le 17 juin dernier. (..) « L’Etat actionnaire doit respecter scrupuleusement les dispositions de la loi 2003-036 et bien sûr, l’ingérence de l’Etat puissance publique dans la gestion des sociétés où l’Etat est actionnaire, est interdite ».
Valis dans Tribune de Madagascar
Le nickel est le premier produit d’exportation de Madagascar, avec actuellement près de 40 000 tonnes, si le rythme de croisière est prévu à 60 000 tonnes, classant Madagascar dans le top 10 des pays producteurs de nickel raffiné dans le monde. Les exportations d’Ambatovy (nickel et cobalt) font qu’il est le premier pourvoyeur de devises devançant tous les produits traditionnellement d’exportation réunis (vanille, textile, crevette). Selon Lalaina Randrianarivelo, le nickel rapportera sous peu deux fois plus que ces produits d’exportation traditionnels réunis. Ambatovy représente une recette entre 700 millions de dollars et 1,8 milliard de dollars par an.
Y.L dans La Gazette de la Grande-Ile
Actuellement on compte 45.000 instituteurs FRAM à Madagascar et seuls 75% d'entre eux sont subventionnés. (..)
Les collectivités territoriales décentralisées et les établissements publics pourraient participer dans le capital des sociétés commerciales à participation de l’Etat. Cette disposition est inscrite dans le projet de loi initié par le Trésor public présenté au conseil de gouvernement le 17 juin dernier. (..) « L’Etat actionnaire doit respecter scrupuleusement les dispositions de la loi 2003-036 et bien sûr, l’ingérence de l’Etat puissance publique dans la gestion des sociétés où l’Etat est actionnaire, est interdite ».
Valis dans Tribune de Madagascar
Le nickel est le premier produit d’exportation de Madagascar, avec actuellement près de 40 000 tonnes, si le rythme de croisière est prévu à 60 000 tonnes, classant Madagascar dans le top 10 des pays producteurs de nickel raffiné dans le monde. Les exportations d’Ambatovy (nickel et cobalt) font qu’il est le premier pourvoyeur de devises devançant tous les produits traditionnellement d’exportation réunis (vanille, textile, crevette). Selon Lalaina Randrianarivelo, le nickel rapportera sous peu deux fois plus que ces produits d’exportation traditionnels réunis. Ambatovy représente une recette entre 700 millions de dollars et 1,8 milliard de dollars par an.
Y.L dans La Gazette de la Grande-Ile
Actuellement on compte 45.000 instituteurs FRAM à Madagascar et seuls 75% d'entre eux sont subventionnés. (..)
Mikama - July 8, 2014
Dans Phys Org
Madagascar community association wins prestigious Equator Prize. The Plate-forme de Concertation pour le Développment Durable de la Baie d'Antongil (PCDDBA) is a local collective bringing together fishing communities and various stakeholders to promote the sustainable management of marine resources in and around Antongil Bay, the largest bay on the coast of Madagascar. The group was formed to address a number of issues such as conflicts between artisanal and industrial fishing interests, declining fish populations, marine ecosystem degradation, and the loss of coastal mangrove habitat to development. For two decades PCDDBA, WCS, government authorities and other partners have joined forces to address these challenges.
Dans La Nation
Elles [sociétés d’Etat] comptent une cinquantaine et 69% d’entre elles coulent déjà, d’après le Trésor public. ... la société Fanalamanga (ou Fanjarian’Ala Ambatondrazaka Moramanga), sous l’aile du ministère de l’Environnement, des forêts et de l’écologie, spécialisée dans l’exploitation forestière sur une superficie de plusieurs milliers d’hectares à Moramanga... la société Fifabe (ou Fikambanana Fampandrosoana ny lemak’i Betsiboka) chargée de l’aménagement de la plaine de Betsiboka.. sous tutelle du ministère d’Etat chargé de l’Equipement, des infrastructures et de l’aménagement du territoire... la société Kraoma (Kraomita Malagasy), spécialisée dans les mines et qui détient la seule licence d’exploitation du chrome à Madagascar [assujettie au ministère auprès de la présidence chargé des Ressources stratégiques] et qui vient d’avoir un permis d’extraction aurifère, dont l’Etat malagasy détient les 97,17% des actions... la société Secren (Société d’Etude, de Construction, de Réparation Navale), sous tutelle du ministère de l’Industrie, du développement du secteur privé et des PME-PMI, qui venait d’accueillir une visite présidentielle le week-end dernier. Cette société, dont 37,5% des actions sont détenues par l’Etat malagasy et 32,75% par le CNaPS, 26,5% par l’OMNIS et 3,25% par la SOFIRE... le Sonapar (Société nationale de participation), dont 56,76% des actions appartiennent à l’Etat malagasy... la Caisse d’Epargne de Madagascar, une société financière appartenant à 100% à l’Etat malagasy... La société Seimad (société d’équipement immobilier de Madagascar), dont 97,99% appartiennent à l’Etat...
Moari Jean Cthody dans La Gazette de la Grande-Ile
De 48.710 tonnes en 2011, l’embarquement de marchandises conventionnelles est passé respectivement à 143.510 tonnes et 121.061 tonnes en 2012 et 2013. Par contre, pour la même période, le débarquement n’a été que 46.271 tonnes et 42.786 tonnes alors que trois années auparavant, il affichait 108.980 tonnes.
Madagascar community association wins prestigious Equator Prize. The Plate-forme de Concertation pour le Développment Durable de la Baie d'Antongil (PCDDBA) is a local collective bringing together fishing communities and various stakeholders to promote the sustainable management of marine resources in and around Antongil Bay, the largest bay on the coast of Madagascar. The group was formed to address a number of issues such as conflicts between artisanal and industrial fishing interests, declining fish populations, marine ecosystem degradation, and the loss of coastal mangrove habitat to development. For two decades PCDDBA, WCS, government authorities and other partners have joined forces to address these challenges.
Dans La Nation
Elles [sociétés d’Etat] comptent une cinquantaine et 69% d’entre elles coulent déjà, d’après le Trésor public. ... la société Fanalamanga (ou Fanjarian’Ala Ambatondrazaka Moramanga), sous l’aile du ministère de l’Environnement, des forêts et de l’écologie, spécialisée dans l’exploitation forestière sur une superficie de plusieurs milliers d’hectares à Moramanga... la société Fifabe (ou Fikambanana Fampandrosoana ny lemak’i Betsiboka) chargée de l’aménagement de la plaine de Betsiboka.. sous tutelle du ministère d’Etat chargé de l’Equipement, des infrastructures et de l’aménagement du territoire... la société Kraoma (Kraomita Malagasy), spécialisée dans les mines et qui détient la seule licence d’exploitation du chrome à Madagascar [assujettie au ministère auprès de la présidence chargé des Ressources stratégiques] et qui vient d’avoir un permis d’extraction aurifère, dont l’Etat malagasy détient les 97,17% des actions... la société Secren (Société d’Etude, de Construction, de Réparation Navale), sous tutelle du ministère de l’Industrie, du développement du secteur privé et des PME-PMI, qui venait d’accueillir une visite présidentielle le week-end dernier. Cette société, dont 37,5% des actions sont détenues par l’Etat malagasy et 32,75% par le CNaPS, 26,5% par l’OMNIS et 3,25% par la SOFIRE... le Sonapar (Société nationale de participation), dont 56,76% des actions appartiennent à l’Etat malagasy... la Caisse d’Epargne de Madagascar, une société financière appartenant à 100% à l’Etat malagasy... La société Seimad (société d’équipement immobilier de Madagascar), dont 97,99% appartiennent à l’Etat...
Moari Jean Cthody dans La Gazette de la Grande-Ile
De 48.710 tonnes en 2011, l’embarquement de marchandises conventionnelles est passé respectivement à 143.510 tonnes et 121.061 tonnes en 2012 et 2013. Par contre, pour la même période, le débarquement n’a été que 46.271 tonnes et 42.786 tonnes alors que trois années auparavant, il affichait 108.980 tonnes.
Mikama - July 7, 2014
Dans NDTV
Madagascar's Prime Minister Roger Kolo has vowed to stamp out corruption after revealing that 40 percent of his country's budget is lost to graft.(..) According to Madagascar's 2014 Finance Act, its national budget should be 940 million euros ($1.3 billion).
Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Cette déclaration met en avant que 20,5% des dépenses publiques intérieures de l’État malgache, seront allouées aux sous-secteurs préscolaire, primaire et secondaire général.
Pour les années à venir, Paul Rabary a annoncé qu’au moins 45% du budget du ministère de l’Éducation nationale (MEN) seront consacrés dans le Primaire. (..) En l’espace de trois ans, le nombre de centres préscolaires a presque quadruplé. Ils sont passés de 847 à 2789, de 2010 à 2013, grâce à des efforts de communication et de plaidoyer.
Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
« De deux employés en 2006, nous sommes passés actuellement à 4 300.
Madagascar's Prime Minister Roger Kolo has vowed to stamp out corruption after revealing that 40 percent of his country's budget is lost to graft.(..) According to Madagascar's 2014 Finance Act, its national budget should be 940 million euros ($1.3 billion).
Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Cette déclaration met en avant que 20,5% des dépenses publiques intérieures de l’État malgache, seront allouées aux sous-secteurs préscolaire, primaire et secondaire général.
Pour les années à venir, Paul Rabary a annoncé qu’au moins 45% du budget du ministère de l’Éducation nationale (MEN) seront consacrés dans le Primaire. (..) En l’espace de trois ans, le nombre de centres préscolaires a presque quadruplé. Ils sont passés de 847 à 2789, de 2010 à 2013, grâce à des efforts de communication et de plaidoyer.
Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
« De deux employés en 2006, nous sommes passés actuellement à 4 300.
Mikama - July 4, 2014
A.D. dans La Gazettede la Grande-Ile
Quelque 300 000 nouveaux candidats tous les ans, qui veulent conquérir le marché du travail à Madagascar. La plupart sont des jeunes peu qualifiés voire pas du tout dans certains cas, contraints de ce fait de se rabattre sur des petits métiers pour survivre. Les statistiques, à ce propos, parlent de 4 000 chercheurs d’emploi seulement qui disposent des qualités requises en termes de formation, leur rendant la tâche moins difficile. La grande majorité, environ 250 000 sujets, n’a alors d’autre alternative que de se lancer dans l’agriculture...
Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Retour à l’Agoa – Des normes pour reconquérir le marché américain. (..) « Les Américains sont évidemment très exigeants sur la qualité des produits, mais sont également très attentifs à l’environnement qui entoure la fabrication. Les conditions de travail des travailleurs en font partie mais il y a également les aspects comme l’hygiène, les normes sécuritaires au travail et surtout la qualité des usines », explique Henri Rakotoarisoa, secrétaire général du ministère de l’Industrie et du développement du secteur privé...
Dans La Nation
Tsara ny mampatsiahy fa ny 30% n’ny vokatra naondran’i Madagasikara dia tany amin’ny tsenan’ny Agoa avokoa, talohan’ny nanapahan’i Etazonia ny fahafahantsika manondrana entana tany amin’izy ireo.
Quelque 300 000 nouveaux candidats tous les ans, qui veulent conquérir le marché du travail à Madagascar. La plupart sont des jeunes peu qualifiés voire pas du tout dans certains cas, contraints de ce fait de se rabattre sur des petits métiers pour survivre. Les statistiques, à ce propos, parlent de 4 000 chercheurs d’emploi seulement qui disposent des qualités requises en termes de formation, leur rendant la tâche moins difficile. La grande majorité, environ 250 000 sujets, n’a alors d’autre alternative que de se lancer dans l’agriculture...
Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Retour à l’Agoa – Des normes pour reconquérir le marché américain. (..) « Les Américains sont évidemment très exigeants sur la qualité des produits, mais sont également très attentifs à l’environnement qui entoure la fabrication. Les conditions de travail des travailleurs en font partie mais il y a également les aspects comme l’hygiène, les normes sécuritaires au travail et surtout la qualité des usines », explique Henri Rakotoarisoa, secrétaire général du ministère de l’Industrie et du développement du secteur privé...
Dans La Nation
Tsara ny mampatsiahy fa ny 30% n’ny vokatra naondran’i Madagasikara dia tany amin’ny tsenan’ny Agoa avokoa, talohan’ny nanapahan’i Etazonia ny fahafahantsika manondrana entana tany amin’izy ireo.
Mikama - July 3, 2014
RAOBELISON Aimé dans La Gazette de la Grande-Ile
Ils étaient là, leurs pères étaient là, leurs ancêtres étaient là depuis des temps immémoriaux sans que personne ne s'avisât à contester leur droit à la propriété. Le code des 305 articles (Dimy venty sy telonjato) promulgué par la reine Ranavalona II le 29 mars 1881, qui est une foi majeure à 1'époque ne peut pas être interprété de manière négative faute de documents écrits tel que le cadastre français. Selon l'article 91 de ce code en effet il est stipulé que « les grandes forêts, les terres libres, appartiennent à l'Etat : personne donc ne peut les donner en location ni les vendre sans le consentement du Gouvernement. » Les terres libres, ici, sont celles sans propriétaires particuliers, donc domaniales. A distinguer de ces dernières les terres repues en héritage, ou parties de terres libres aménagées et défrichées (solam-pangady) qui deviennent de facto propriété de ceux qui les ont travaillées. Tout ceci sans l'intervention d'un écrit quelconque. L'arrivée des Français remet tout en cause. La gestion des terres malagasy est désormais réglée par le cadastre français, appliqué sans discernement, sans considération aucune des faits existants.
Antsa R. dans Midi Madagasikara
L’AGOA est une loi commerciale sur la croissance et les opportunités d’affaires entre l’Afrique et les Etats-Unis. Elle vise à permettre aux pays admissibles d’exporter l’ensemble de leurs produits suivant 4 500 lignes tarifaires éligibles, aux Etats-Unis, sans droit de douane. (..) Pour Madagascar, le textile figure au premier plan. D’autres potentialités sont également à considérer telles que les produits issus de l’artisanat pour la décoration d’intérieur, les produits agricoles, et à terme, les ressources minérales..
Navalona R. dans Midi Madagasikara
... quatre nouvelles variétés de riz pluvial adaptées à la région Moyen Ouest de Madagascar ont été remises officiellement par le FOFIFA... Ces nouvelles variétés ayant un rendement de plus de 4T/ha sont résistantes au pyriculariose, une maladie affectant le riz...
Ils étaient là, leurs pères étaient là, leurs ancêtres étaient là depuis des temps immémoriaux sans que personne ne s'avisât à contester leur droit à la propriété. Le code des 305 articles (Dimy venty sy telonjato) promulgué par la reine Ranavalona II le 29 mars 1881, qui est une foi majeure à 1'époque ne peut pas être interprété de manière négative faute de documents écrits tel que le cadastre français. Selon l'article 91 de ce code en effet il est stipulé que « les grandes forêts, les terres libres, appartiennent à l'Etat : personne donc ne peut les donner en location ni les vendre sans le consentement du Gouvernement. » Les terres libres, ici, sont celles sans propriétaires particuliers, donc domaniales. A distinguer de ces dernières les terres repues en héritage, ou parties de terres libres aménagées et défrichées (solam-pangady) qui deviennent de facto propriété de ceux qui les ont travaillées. Tout ceci sans l'intervention d'un écrit quelconque. L'arrivée des Français remet tout en cause. La gestion des terres malagasy est désormais réglée par le cadastre français, appliqué sans discernement, sans considération aucune des faits existants.
Antsa R. dans Midi Madagasikara
L’AGOA est une loi commerciale sur la croissance et les opportunités d’affaires entre l’Afrique et les Etats-Unis. Elle vise à permettre aux pays admissibles d’exporter l’ensemble de leurs produits suivant 4 500 lignes tarifaires éligibles, aux Etats-Unis, sans droit de douane. (..) Pour Madagascar, le textile figure au premier plan. D’autres potentialités sont également à considérer telles que les produits issus de l’artisanat pour la décoration d’intérieur, les produits agricoles, et à terme, les ressources minérales..
Navalona R. dans Midi Madagasikara
... quatre nouvelles variétés de riz pluvial adaptées à la région Moyen Ouest de Madagascar ont été remises officiellement par le FOFIFA... Ces nouvelles variétés ayant un rendement de plus de 4T/ha sont résistantes au pyriculariose, une maladie affectant le riz...
Mikama - July 2, 2014
Sera R. dans Newsmada
Près de 80 % des orchidées à labelle en forme de sabot, sous-famille des Cypripedioideae, et plus de 90 % des lémuriens sont menacés d'extinction, selon la dernière mise à jour de la liste publiée hier par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
En raison de l'exploitation illégale du bois de la forêt tropicale de Madagascar, 94 % des lémuriens sont également menacés d'extinction, rapporte cette liste. (..) Pour l’orchidée, l'UICN recense 73 686 espèces, dont 22 103 sont menacées d'extinction.
Noella Rakoto dans Newsmada
« Nous lançons un appel aux investisseurs afin qu’ils puissent se mettre en contact avec les producteurs locaux. La région Sofia a beaucoup de potentiel agricole à exploiter. Nous produisons en moyenne par an 10.000 tonnes de black eyes, 3.000 tonnes d’haricots, 30.000 tonnes d’oignons, 2.000 tonnes d’arachides et 15.000 tonnes de maïs ».
Dimisoa dans Newsmada
Pour rappel, le programme Prosper a été mis en place afin d’appuyer les micro-entreprises rurales dans différentes régions. Selon les explications du coordinateur régional du Prosperer Sofia, Redeck Rafaralahy, pour la région Sofia, sur les 15 000 micro-entreprises rurales enregistrées, 5 000 ont été épaulées par ce programme.
Près de 80 % des orchidées à labelle en forme de sabot, sous-famille des Cypripedioideae, et plus de 90 % des lémuriens sont menacés d'extinction, selon la dernière mise à jour de la liste publiée hier par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
En raison de l'exploitation illégale du bois de la forêt tropicale de Madagascar, 94 % des lémuriens sont également menacés d'extinction, rapporte cette liste. (..) Pour l’orchidée, l'UICN recense 73 686 espèces, dont 22 103 sont menacées d'extinction.
Noella Rakoto dans Newsmada
« Nous lançons un appel aux investisseurs afin qu’ils puissent se mettre en contact avec les producteurs locaux. La région Sofia a beaucoup de potentiel agricole à exploiter. Nous produisons en moyenne par an 10.000 tonnes de black eyes, 3.000 tonnes d’haricots, 30.000 tonnes d’oignons, 2.000 tonnes d’arachides et 15.000 tonnes de maïs ».
Dimisoa dans Newsmada
Pour rappel, le programme Prosper a été mis en place afin d’appuyer les micro-entreprises rurales dans différentes régions. Selon les explications du coordinateur régional du Prosperer Sofia, Redeck Rafaralahy, pour la région Sofia, sur les 15 000 micro-entreprises rurales enregistrées, 5 000 ont été épaulées par ce programme.
Mikama - July 1, 2014
Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
De bonnes variétés. C’est la conclusion des études menées sur la diversité génétique de la carpe et du tilapia, menées par le collectif Madapisci dont la Fofifa est le leader. (..) « Madagascar a plusieurs souches de carpe et de tilapia, donc le problème de consanguinité évoqué par les pisciculteurs comme source de la baisse de production, ou pour expliquer la baisse de taille des poissons, n’est pas le principal problème. Les mauvaises pratiques de l’élevage en sont la principale source, la dégénérescence génétique peut être localisée et évitée », a indiqué Harena Rasamoelina, hier à la direction générale de la Fofifa à Ampandrianomby. «Il n’est pas nécessaire de réintroduire de nouvelles souches», poursuit-il.
Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Le régime Tsiranana par exemple, avait privilégie l’agriculture et l’élevage, propulsé par la nécessité de satisfaire les besoins locaux et d’exporter les excédents. Didier Ratsiraka avait ensuite opté pour l’agriculture et l’industrie à travers les investissements à outrance dans les entreprises d’État. Un début de diversification a été constatée depuis le milieu des années 80, relayé entre 2003 et 2007 par le régime Ravalomanana qui avait misé sur l’agro-industrie, le tourisme, l’infrastructure et la télécommunication. Et durant la transition jusqu’à ce jour, les mines à travers les grands investissements ont pris une place importante avec l’infrastructure, la télécommunication et le tourisme.
Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Le projet minier Ambatovy a fait entrer plus d’argent dans les caisses de l’État en 2013. Elle a payé plus de 30 millions de dollars de taxes, soit un écart de dix millions de plus qu’en 2012. (..)
De bonnes variétés. C’est la conclusion des études menées sur la diversité génétique de la carpe et du tilapia, menées par le collectif Madapisci dont la Fofifa est le leader. (..) « Madagascar a plusieurs souches de carpe et de tilapia, donc le problème de consanguinité évoqué par les pisciculteurs comme source de la baisse de production, ou pour expliquer la baisse de taille des poissons, n’est pas le principal problème. Les mauvaises pratiques de l’élevage en sont la principale source, la dégénérescence génétique peut être localisée et évitée », a indiqué Harena Rasamoelina, hier à la direction générale de la Fofifa à Ampandrianomby. «Il n’est pas nécessaire de réintroduire de nouvelles souches», poursuit-il.
Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Le régime Tsiranana par exemple, avait privilégie l’agriculture et l’élevage, propulsé par la nécessité de satisfaire les besoins locaux et d’exporter les excédents. Didier Ratsiraka avait ensuite opté pour l’agriculture et l’industrie à travers les investissements à outrance dans les entreprises d’État. Un début de diversification a été constatée depuis le milieu des années 80, relayé entre 2003 et 2007 par le régime Ravalomanana qui avait misé sur l’agro-industrie, le tourisme, l’infrastructure et la télécommunication. Et durant la transition jusqu’à ce jour, les mines à travers les grands investissements ont pris une place importante avec l’infrastructure, la télécommunication et le tourisme.
Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Le projet minier Ambatovy a fait entrer plus d’argent dans les caisses de l’État en 2013. Elle a payé plus de 30 millions de dollars de taxes, soit un écart de dix millions de plus qu’en 2012. (..)
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