Mikama - July 4, 2014

A.D. dans La Gazettede la Grande-Ile
Quelque 300 000 nouveaux candidats tous les ans, qui veulent conquérir le marché du travail à Madagascar. La plupart sont des jeunes peu qualifiés voire pas du tout dans certains cas, contraints de ce fait de se rabattre sur des petits métiers pour survivre. Les statistiques, à ce propos, parlent de 4 000 chercheurs d’emploi seulement qui disposent des qualités requises en termes de formation, leur rendant la tâche moins difficile. La grande majorité, environ 250 000 sujets, n’a alors d’autre alternative que de se lancer dans l’agriculture...

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Retour à l’Agoa – Des normes pour reconquérir le marché américain. (..) « Les Américains sont évidemment très exigeants sur la qualité des produits, mais sont également très attentifs à l’environnement qui entoure la fabrication. Les conditions de travail des travailleurs en font partie mais il y a également les aspects comme l’hygiène, les normes sécuritaires au travail et surtout la qualité des usines », explique Henri Rakoto­arisoa, secrétaire général du ministère de l’Industrie et du développement du secteur privé...

Dans La Nation
Tsara ny mampatsiahy fa ny 30% n’ny vokatra naondran’i Madagasikara dia tany amin’ny tsenan’ny Agoa avokoa, talohan’ny nanapahan’i Etazonia ny fahafahantsika manondrana entana tany amin’izy ireo.
Na teo aza anefa izany fahatapahana izany dia mbola nahatratra 11 tamin’ireo 30 no nanohy ny fandefasana entana tany amin’ny tsenan’ny Agoa.

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
« Lovatiana Deve­loppement Madagascar a été crée, afin de concrétiser nos recherches. Il n’y avait aucun moyen pour moi et mon mari, qui est enseignant chercheur à l’École supérieure de Poly­techniques d’Antananarivo (ESPA), de valoriser nos travaux, sans cette entreprise familiale », indique-t-elle. Elle est ainsi fière de présenter différents équipements, comme la coupe surtension instantanée, le variateur de lumière pour réduire la consommation d’énergie en variant la luminosité d’une lampe, et le variateur de tension continue made in Madagascar. À quelques mètres de son stand, le professeur Benjamin Randrianoelina et ses équipes du département de Génie chimique de l’ESPA, dévoilent aussi les trésors cachés des déchets comme les morceaux de savon, et de liquide vaisselle produits à partir de reste d’huile de friture.

Dans La Gazettede la Grande-Ile
Les banques commerciales qui sont sur place ne prêtent pas sur le long terme et ne peuvent donc pas aider les opérateurs malagasy à exploiter les opportunités existantes. Quant aux fonds de garantie existants, ils ne peuvent pas couvrir les besoins actuels. Si l’Etat a, par exemple, créé un fonds de garantie avec les 100 millions US$ versés par la compagnie minière Wisco en 2010, cela aurait pu aider de nombreux jeunes à créer leur propre entreprise. Il faut noter que beaucoup de jeunes ont un esprit créatif ». En attendant, le pays a perdu environ 300 millions US$ par an depuis 2010, date à laquelle il n’a pas été éligible à l’AGOA.

Fanjanarivo dans La Gazettede la Grande-Ile
Publications du département droit: Contribuer à la transparence de la justice. Commenter les décisions judiciaires pour aider, d’une part, les juges à faire leur travail, comme il faut, et d’autre part, pour rassurer les opérateurs économiques.  (..) Quant aux annales de droit, elles fournissent des analyses critiques sur le fossé entre la théorie et la pratique en droit. Elles se présentent comme une tribune scientifique pour les enseignants et les doctorants du département. (..) Sinon, le CEReJ a déjà dans ses tiroirs de nouvelles publications en gestation. Celles-ci porteront sur les commentaires des arrêts de la Cour de cassation en 2010, 2011 et 2012 et des arrêts du Conseil d’Etat en 2011, 2012 et 2013.

Anny Andrianaivonirina dans Midi Madagasikara
Lancé sur la région Anosy, précisément à Fort-Dauphin en septembre 2005, le PIC I a été réparti dans divers projets que ce soit avec le tourisme, l’entrepreneuriat local ou l’agriculture. Une grosse partie du financement est allée dans la construction du port d’Ehoala avec 35 millions de dollars. Mais les petits financements des PME ainsi que des associations ont apporté aussi son développement. A Fort-Dauphin, l’on se promène dans une ville à routes bitumées, beaucoup d’adductions d’eau potable ont été mises en place et gérées par les villageois eux-mêmes. L’électrification de la ville n’a pas été faite par le projet en totalité mais l’achat de fils conducteurs a été assuré.

R.Edmond dans Midi Madagasikara
... le Madagascar Action Plan (MAP) le dernier véritable programme économique pour le pays avait fixé dans sa stratégie un ambitieux objectif d’atteindre pour l’horizon 2015 un taux d’accès à l’eau potable de 65 % et un taux d’accès à un assainissement amélioré de 57,5 % pour l’ensemble du pays.
Précaire. Mais pour le moment, la situation reste précaire car selon les statistiques 2010, Madagascar est encore à un taux d’accès à l’eau potable de 44,9 %. Le taux d’accès à un assainissement amélioré quant à lui est seulement de 15 % pour l’ensemble du pays. Ce qui place Madagascar parmi les pays les plus en retard au sein de l’Afrique Subsaharienne, dont la moyenne se situait déjà à 60 %. en 2008.

Georges R. dans Newsmada
La construction du port d’Ehoala a nécessité un financement de près de 256 millions de dollars dont la majeur partie provient de la Banque africaine de Développement (BAD). Des entreprises privées ont également investi dans la construction de ce port, qui s’étend sur une superficie de 440 hectares de terrain situé dans son enceinte pour y développer une zone industrielle et commerciale. (..) Alors que la ville de Nosy-Be et celle de Taolagnaro sont les bénéficiaires du projet Pic depuis l’année 2007, la Banque mondiale prévoit d’étendre les cibles pour la phase II du projet, prévue début-2015. « Il s’agit d’aller un peu plus à l’intérieur des terres pour soutenir les paysans locaux à approvisionner plusieurs régions », a souligné Coralie Gevers. Les villes d’Antsiranana et Toliara bénéficieront donc de ce projet à partir de l’année prochaine, à part Nosy-Be et Taolagnaro. Par ailleurs, la phase II du PIC se focalisera sur le tourisme et l’agriculture, les deux secteurs porteurs pour le dynamisme économique du pays.

Arh. dans Newsmada
« Le microfinancement, c’est notre affaire ! Coopérer pour sortir de la pauvreté » : tel est le thème retenu pour la Journée internationale des coopératives cette année. (..) Les études de l’Onu montrent qu’en facilitant aux pauvres l’accès au crédit et à des produits d’épargne et d’assurance à faible risque, les services de microfinancement les aident à augmenter leur revenu, protéger leurs biens et faire face aux crises.

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