Mikama - July 28, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Moins de un hectare. Environ 0, 87 hectares, plus précisément. C’est la parcelle moyenne occupée par les paysans en milieu rural. D’une manière générale, trois mil­lions seulement sur 30 millions d’hectares de terres arables sont utilisés pour les exploitations agricoles. (..)  La mise en place des réserves foncières paysannes a été proposée pour motiver l’extension des activités chez les paysans. Comme les zones d’investissement agricole, ces réserves doivent être délimitées au préalable par l’État. Les producteurs doivent en contrepartie être en possession d’une carte professionnelle. L’application d’un taux d’imposition élevé pour les terrains non valorisés a été aussi avancée, outre la finalisation des textes régissant les différents statuts des terres. Les terrains à statut spécifique comme les zones d’investissement agricole et les zones de reboisement ne sont pas encore régis par des lois, étant donné que la réforme entreprise en 2005 n’est pas arrivée à son terme.

Noella Rakoto dans Newsmada
Les problèmes de la Jirama sont complexes et la distribution d’électricité demeure encore inéquitable puisque les 65% de l’énergie produite par la Jirama sont consommé par le réseau d’Antananarivo. (..) D’autant plus que les tarifs de la Jirama sont inférieurs au coût réel. Du coup, cela a un impact sur les résultats de la compagnie qui sont actuellement négatifs. D’après les données du ministère de l’Energie, le déficit s’élèverait à 240 milliards d’ariary, rien que pour l’année dernière. (..) Concrètement, la Jirama devrait voir ses équipements remplacés. Pour cela, il est important d’identifier les centrales électriques à renouveler et les réseaux de transport et de distribution à étendre.

Noella Rakoto dans Newsmada
D’après les statistiques de l’institut national de la statistique, l’année dernière, la quantité de vanille exportée était estimée à près de 1.700 tonnes, ce qui équivaut à environ 25 millions d’ariary et cette année les opérateurs espèrent en exporter jusqu’à environ 2.000 tonnes.


Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Madagascar recommence à bénéficier des aides financières de l’Union euro­péenne. Toutefois, les premiers décaissements ne seront pas attendus dans l’immédiat. (..) Sur ces 97 millions d’euros, il existe 78 millions d’aides budgétaires dont une première tranche s’élevant à 65 millions d’euros sera versée au Trésor public au début du mois de décembre. Par ailleurs, 17 millions d’euros seront attribués pour l’appui à l’administration pour une période de six ans et enfin un appui au bureau de l’ordonnateur national. (..)  Au titre du 10ème FED, Madagascar a bénéficié d’une allocation de 350 millions d’euros dont 300 millions à titre d’appui à la population vulnérable et 50 millions pour la Facilité Eau et énergie.

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Célestine et Jean-Marie, un couple habitant dans le village d’Analamamiko, à Mainti­rano, témoignent le vécu de leur village en matière d’utilisation des latrines. « Depuis le mois de janvier,  notre village composé de sept cent deux toits, a construit trente latrines avec le matériel local. C’est peu, mais c’est déjà beaucoup pour un village qui n’a aucune latrine avant la sensibilisation des AC », renchérit Jean-Marie. Dans trois cent cinquante communes rurales d’intervention du programme, dix mille quatre cent cinquante et une latrines, et cent soixante points d’eau ont été construits.

R.Edmond. dans Midi Madagasikara
C’est le cas notamment de  l’importation du savon Citron Plus qui, d’après les statistiques, cause de graves dommages non seulement pour les industriels nationaux du savon, mais également pour les employés de ces industries qui risquent tout simplement le licenciement économique. Les préjudices subis à cause de l’écoulement de ce produit mauricien sur le territoire malgache s’élèveraient à 400 milliards d’ariary et d’après les bases de données du système douanier  SYDONIA rien qu’entre janvier 2007 et août 2008, plus de 7 000 tonnes de savons et détergents sur le marché exonérés de droits de douanes et de taxes d’importation, ont pénétré sur le marché et leur valeur en devises s’élève à 12 500 000 000 ariary.

CHAN-MOUIE  Jean Anastase
Le fonds d’équité pour la prise en charge des personnes démunies dans les centres de santé, demeure pour l’heure, encore mal connu du public cible, en particulier. (..) il appartient aux communes d’adresser chaque année une liste des démunis de leur circonscription au service de santé, pour que ces personnes puissent être en possession de leur carte. (..) Toujours dans le domaine de la prise en charge, également l’on a appris du directeur régional de la santé, que l’Amoron’i Mania bénéficie de l’appui du projet  « PAUSENS » (Projet d’Appui d’Urgence aux Services Essentiels en matière d’Education, de Nutrition et de Santé). Financé par l’IDA, pour la prise en charge des femmes enceintes, des femmes nouvellement accouchées et des enfants de moins de 5 ans dans les districts d’Ambositra, d’Ambatofinandrahana, de Fandriana et de Manandriana

Racl.R dans La Nation
L’agriculture à Madagascar est en danger face à la venue des investisseurs qui ont déjà manifesté leur intérêt à investir dans le pays dans le secteur de l’agro-industrie. Madagascar est un pays où les secteurs de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche englobe 75% de la population, 86% de l’ensemble des emplois et 60% des jeunes et que les deux tiers de la production agricole proviennent des exploitations familiales. « Il paraît alors logique et important de donner la priorité au développement de cette agriculture familiale paysanne et de garantir un soutien ferme aux petits paysans malgaches, agriculteurs, éleveurs et pêcheurs », insiste le Collectif Tany.

Racl.R dans La Nation
Dans la région SOFIA, il existe en effet deux entreprises privées qui exploitent la filière coton. Il s’agit de l’entreprise japonaise Nitori présente actuellement à Port-Bergé et qui a étendu sa zone d’intervention dans la Région de DIANA dans le district d’Ambilobe. Elle projette transformer le coton sur place en se procurant des productions de coton des cultivateurs locaux. La deuxième entreprise œuvrant dans cette partie de l’île est la société Chimad Coton. (..) Trois entités interviennent actuellement dans la production de coton à savoir Wildlife Conservation Society (WCS) qui a lancé un projet pilote relatif à la promotion de la culture de coton organique pour la campagne 2008/2009, Chimad Coton et Tian Agri qui sont des entreprises chinoises devenues les principaux preneurs de coton cultivé dans cette partie de l’île. (..)  Rappelons toutefois que la demande de l’industrie locale est importante et Madagascar n’arrive même pas à couvrir le quart des besoins de son industrie textile, souligne le GEFP.

Fahranarison dans Newsmada
Selon les informations, chaque année, l’Etat malgache facilite l’introduction de ces articles de jeux dans le pays. 32 containers de jouets bénéficient cette année d’une exonération douanière, chaque container contient 7.000 articles, soit 224.000 jouets à partager. 

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