V.M dans La Tribune de Diego et du Nord de Madagascar
A Madagascar, les récifs coralliens couvrent une superficie de plus de 2 000 km2. De Toliara à Antsiranana et du cap d’Ambre à Toamasina, ils longent environ 1 400 km de côte. (..) Les océanographes de l’institut de Recherche pour le Développement et de l’Institut Halieutique et des Sciences Marines ont établi cette fréquentation [du Grand Récif de Toliara] à 6 à 8 personnes par jour et par km2 et « le taux de destruction par pêcheur, autour de 7,7 m2 par homme et par jour » . S’ajoute à cela, les effets de la dégradation de l’environnement terrestre qui affecte la mer et les récifs. (..) Cinquante réserves marines ont été mises en place par les communautés de pêcheurs avec les ONG tels que Blue venture, WCS… et dans le cadre du Projet d’Appui aux Communautés de Pêcheurs. Les réserves marines sont fermées à la pêche par tour et temporairement pour permettre aux animaux marins de se reproduire et de se développer.
Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
La première unité de production d’éthanol domestique a été inaugurée lundi à Ampasimpotsy Ranomafana, district de Brickaville. Elle appartient à la société Madagascar Energy Company, avec une capacité de production de 2000 litres par jour, et utilise de la canne à sucre comme matière première de base. Mais la future production sera d’abord destinée exclusivement à l’usage domestique, c’est-à-dire comme combustible pour la cuisson.
Dans L'Express de Madagascar
Aussi, les 60% de financement obtenus par l’État sont dépensés par l’administration publique. 45% de ce financement servent à payer les agents de l’État. Le professeur Yves Emery, enseignant à l’Institut de Hautes études en administration publique de Lausanne, Suisse, a ainsi suggéré plusieurs points, tels que l’équilibrage des besoins de l’État et ceux des fonctionnaires, le renforcement du système d’information, ainsi que l’évaluation de la performance de chaque ministère, service et personnel...
Fanjanarivo Dans La Gazette de la Grande-Ile
Les fermes d’aquaculture de crevettes continuent de subir les impacts négatifs de la maladie appelée « white spot » ou tache blanche. Ainsi, Aquamen est fermée depuis 2012. Il en est de même pour Aquamas et Aqualma. Quant à Marima, elle est toujours en opération malgré la présence de « white spot » mais cette option nécessite des moyens importants. La ferme OSO/LGA aussi n’a pas cessé ses activités. (..) Mais la pêche et l’aquaculture crevettières se trouvent en difficulté depuis plusieurs années déjà. Les captures tendent à diminuer pour le secteur pêche : 8 600 t en 2002, contre 5 000 t en 2007 et aux alentours de 2 600 t à l’heure actuelle.
Dans La Gazette de la Grande-Ile
Poursuivre des études supérieures coûte de plus en plus cher, surtout si l’étudiant n’est pas logé au campus et n’habite pas chez ses parents. En moyenne, il faut 100 000 Ar à un jeune logé au campus pour vivre correctement, c'est-à-dire pour se nourrir comme il faut, avoir de quoi financer les petites dépenses en matière de fournitures scolaires, d’emprunts au niveau des bibliothèques… il faut noter que les bourses perçues par un étudiant sont loin d’atteindre les 50 000 Ar par mois. Ce montant est juste un peu plus levé que le seuil de la pauvreté. (..) L’effectif des étudiants dans les universités publiques ne dépasse pas les 50 000 pour un pays de 22 millions d’habitants. Le taux d’inscription dans les universités est de 3%, soit 280 étudiants pour 100 000 habitants. Ce taux est de 8% en Afrique subsaharienne... 1/3 des jeunes malagasy de 15 à 29 ans restent désavantagés concernant l’accès à l’éducation.
R.Edmond. dans Midi Madagasikara
Le projet qui touche directement plus de 600.000 habitants de 80 Fokontany consiste en des travaux de curage et de nettoyage des principaux canaux de drainage et d’assainissement de la ville. Trois organismes sont responsables de la conduite de l’opération : l’APIPA qui est l’agence responsable de la protection contre les inondations, le SAMVA qui est le service responsable de l’assainissement, et l’ONG Lalana qui est une ONG intervenant dans le domaine des infrastructures publiques et la responsabilisation sociale. Les contrats de subvention entre l’Union Européenne et ces trois organismes ont été signés le 13 décembre 2013, pour une durée de 6 mois pour le SAMVA, et de 9 mois pour l’APIPA et l’ONG Làlana. Au total 50 km de canaux sont concernés par des travaux de nettoyage et le curage de fond.
D.R dans Midi Madagasikara
Tout semble réuni pour les organisations des producteurs d’arachide dans la région d’Androy pour atteindre l’objectif de vente de 1 500 tonnes pour cette année. Ils sont au nombre de 3 086 actuellement et ont pu améliorer leurs revenus agricoles grâce aux appuis du projet Aropa, financé par le Fida et sous la tutelle du ministère de l’Agriculture et du développement rural. (..) Un dernier recensement avance que 151 organisations paysannes et neuf unions regroupées bénéficient actuellement de ces appuis dans l’Androy.
Racl.R dans La Nation
Si les 25% des terres arables dans tout le territoire national sont plantées de canne à sucre, le problème relatif au combustible de cuisson sera résolu. (..) Techniquement, une tonne de canne à sucre peut produire environs 75 litres d'éthanol. (..) Dans le tas, la filière projette de créer 3,5 millions d'emplois directs et indirects en 5 ans. Environ, 600 000 cuisinières sont en cours de fabrication pour satisfaire les 4,5 millions de ménages avec 50 distilleries qui seront bientôt installées par district.
Noella Rakoto dans Newsmada
250 millions d’ariary. C’est le chiffre d’affaires qu’a généré en 2013 la filière baie rose, notamment dans l’Itasy et le Bongolava où cette culture est plus ou moins développée. Cependant, si la demande des exportateurs est de 70 tonnes, à l’heure actuelle, l’offre malgache n’atteint que 20 tonnes. (..) Pour rappel, 313 ménages vivent directement de cette filière et parallèlement, 700 familles interviennent dans le processus, de la production jusqu’au triage du produit.
No comments:
Post a Comment