Dans La Gazette de la Grande-Ile
Le système de la lutte contre la corruption a souffert d'un manque important de moyens depuis 2009. Il s'agit notamment du Comité pour la Sauvegarde de l'Intégrité, CSI, du Bureau indépendant Anti-corruption, BIANCO, ainsi que des "guichets uniques" de la Chaîne Pénale Anticorruption et du Service de Renseignements Financiers, SAMFIN. Le manque d’indépendance de ces institutions par rapport à la branche exécutive du gouvernement a tendance à diminuer leur crédibilité aux yeux du grand public et à limiter leur marge de manœuvre. (..) Le paysage institutionnel des entités chargées de fonctions d'audit interne et 'inspection est fragmenté et instable : l'Inspection Générale de l'Etat (IGE) est dotée de larges compétences interministérielles mais avec de très faibles moyens (12 inspecteurs). Des recrutements seraient ainsi nécessaires afin de pallier cette faiblesse. La brigade de vérification du Trésor est légèrement mieux dotée (21 vérificateurs) et adopte une approche plus systématique dans l'établissement de son plan de contrôle, mais sa compétence est limitée aux comptables publics et le contrôle du respect du service fait ne rentre donc pas dans ses attributions. Le projet de création d'une Inspection Générale des Finances (IGF), prévu par un décret de 2004, n'a jamais vu le jour en raison de rivalités institutionnelles et statutaires, notamment avec l'IGE. En revanche, des directions de l'audit interne à compétence ministérielle ont récemment été créées au MFB (10 auditeurs formés aux normes et techniques internationales d'audit), au Ministère des Travaux publics et de la Météorologie et au Ministère de l'Education Nationale et de la Recherche scientifique.
Racl. R dans La Nation
Les foires et les marchés régionaux sont parfois les seules opportunités que les paysans ont à leur disposition pour vendre leurs produits. Le programme Prosperer est l’un des organismes qui vient pour la promotion du secteur rural par son soutien aux opérateurs ruraux. Avec des programmes détaillés, Prosperer organise des marchés ruraux ... Comme le programme Prosperer soutient environs 5.000 petits opérateurs ruraux dans leurs programmes, 50 d’entre eux ont été sélectionnés à participer à l’Ankolany 2 et feront des tests sur terrain pour démontrer que leurs produits sont intéressants pour les acheteurs.
Dans La Gazette de la Grande-Ile
L’indice d'accès rural à Madagascar, défini comme le pourcentage de la population rurale vivant à moins de 2 km d'une route praticable en tous temps est extrêmement faible (22,4 pour cent)..
(..) Certaines des plus grandes zones de production agricole du pays, y compris les « greniers à riz » du Lac Alaotra, de Maroavay, et d’Andapa demeurent mal reliés à Antananarivo et d'autres grands centres de consommation. De même, les agro-industries situées dans et autour des zones urbaines ne seront pas en mesure de bénéficier d’un approvisionnement fiable, à faible coût, en matières premières de haute qualité sans l’amélioration de l'accès aux zones de production rurales.
Valis dans Tribune de Madagascar
Le ministère a fixé comme objectif, pour 2020, un effectif d’un million de visiteurs par an. En 2013, il y eut 256 000 touristes et l’on prévoit pour 2014 quelque 300 000 visiteurs dans le pays. (..) La mise en place de ces villages culturels authentiques au niveau de chaque ethnie de Madagascar sera la base de la nouvelle stratégie de développement du tourisme dans le pays... Madagascar n’a pas clairement choisi quel genre de tourisme va-t-il développer et qui sont les catégories de touristes ciblées : tourisme balnéaire, tourisme d’affaires, tourisme écologique, tourisme culturel, tourisme de luxe ?
Racl. R dans La Nation
Si auparavant, on ne comte que trois MFR [Maison Familiale Rurale] dans tous Madagascar, à savoir à Morondava, à Toamasina et à Mantasoa, maintenant les MFR se trouvent dans 20 Régions de Madagascar. Dans le monde, il existe plusieurs MFR dont 621 en Europe, 288 en Amérique latine, 157 en Afrique et 9 en Asie. Les Maisons familiales rurales sont des centres de formation par alternance, placés sous la responsabilité des familles parfois paysannes. Ces centres permettent aux jeunes ruraux d’accéder à l’éducation et à bénéficier d’une qualification professionnelle et d’une énorme chance d’être autonomes et capables de lancer leur propre projet socioprofessionnel. Les MFR ont un budget de fonctionnement d'environ 8 millions d’Ariary, selon le site du MFR, mais d’après les explications d’un membre, seul 10% de ce budget sont supportés par les parents. Le reste provient d'aides et d'activités génératrices de revenus. Environ 1300 jeunes ont déjà bénéficié de ce programme.
Noella Rakoto dans Newsmada
4 tonnes par jour, c’est notamment la production de crabes enregistrée par la Sofia. En marge de la présentation de la foire « Mamelono arivo », le chef de la région, Serge Elliot a expliqué que « Cette forte quantité produite est acheminée vers la Capitale pour être ensuite exportée. Et lui d’ajouter que « Pour assurer la protection ainsi que la gestion des crabes dans cette région, nous avons mis en place un programme de reboisement des mangroves. De façon périodique, nous cultivons une centaine de plants car la survie des crabes en dépend ».
Noella Rakoto dans Newsmada
« Madagascar a besoin d’environ 10 millions de dollars pour améliorer ses infrastructures en vue d’accueillir 1 million de touristes d’ici 2020 ». Avant d’ajouter que « Pour arriver à cet objectif, il nous faut l’appui des bailleurs de fonds tels que la Banque mondiale. Pour l’heure, la CBA a déjà annoncé qu’il apporterait sa contribution qui s’élève à 1 million d’euros » (..) « En effet, d’autres régions de l’océan Indien comme Maurice allouent près de 30 millions de dollars au secteur, alors que le budget de Madagascar destiné à ce secteur ne s’élèverait qu’à 300.000 dollars ».
Dans 7th Space Interactive
Known worldwide as the "traveler's tree", the Malagasy endemic species Ravenala madagascariensis Sonn. (Strelitziaceae) is considered as an iconic symbol of Madagascar. (..) Different parts of the plant are currently used by local population, which are grouped as heart, trunk, leaves, petioles and rachis. Seven categories of use were recorded, most cited include: human food, utensils and tools, and house building. The most commonly used parts are trunk, heart, leaves and petioles...
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