Racl.R dans La Nation
La Région de Vatovavy Fitovinany possède dans son sous-sol d’importantes réserves d’or, de platine, d’émeraude et de diamant. (..) C’est pour cette raison que Brice Andrianasolo lance un appel à tous les paysans de cette région avant qu’il ne soit trop tard d’occuper les terrains car selon la loi, les exploitants ne peuvent pas se servir de leur permis sans avoir obtenu l’accord de la population. Cet ingénieur, président d’une association dénommée Gemsmada, veut bien exploiter les ressources naturelles mais de façon rationnelle en donnant plus d’avantages aux populations d’où ces ressources proviennent.
Antsa R. dans Midi Madagasikara
Jeunes étudiants, cadres dirigeants, techniciens, sont aujourd’hui réunis dans la Plate-forme Escame management, Business consulting, Network (EBN) Group, suivant l’initiative d’étudiants, d’enseignants, des anciens de l’Escame. (..) L’association a comme objectif de créer un millier d’emplois directs et 50 000 indirects, d’ici quatre ans. En effet, elle veut couvrir les zones rurales et toutes les régions de Madagascar, par le biais d’un lancement de projets de création d’entreprise...
Navalona R dans Midi Madagasikara
Rappelons que Madagascar a exporté 1 925 tonnes de vanille l’année dernière, principalement vers la France et les Etats-Unis.
Quant à la vanille broyée, les exportations de la Grande île étaient à 155 tonnes. L’Allemagne en constitue le plus grand importateur, viennent ensuite les Etats-Unis.
Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Miandrivazo, Vohémar et la région Anosy. Ce sont les trois localités présélectionnées pour la mise en œuvre du projet de création de mini- sucreries, financé par l’ONUDI (Organisation des Nations unies pour le développement industriel), en partenariat avec les bailleurs de fonds traditionnels. Le lancement du projet sera marqué par la mise en place des pépinières sur une superficie de quinze hectares au mois de novembre. Ces dernières seront utilisées pour la production de cannes à sucre qui serviront de matières premières aux usines. Le projet pilote durera cinq ans, il appartiendrait par la suite au secteur privé de le dupliquer. (..) Selon les statistiques émanant du CMCS, la production totale de sucre s’établit à 98 004 tonnes, dont 61 243 tonnes proviennent de l’usine d’Ambilobe, 21 704 tonnes pour Namakia, soit 82 947 tonnes en total pour la Sucocoma. Le reste, d’une quantité totale de 15 057 tonnes, proviennent de l’unité de production de Morondava [Siranala].
Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
172ha de forêts rasés en trois mois. La faune et la flore dans la forêt de Maromizaha, district de Moramanga, comme les oiseaux endémiques et les lémuriens, entre autres le babakoto ou Indri indri, le simpona ou propithecus diadema, ainsi que le varikandana ou varecia variegata, risquent de ne plus être qu’une histoire ancienne. À ce rythme, les 1800 ha de forêts pourraient ainsi disparaître d’ici trois ans. « De la carrière de Maromizaha jusqu’au village d’Ambatosenegaly, d’une longueur de 12Km le long de la nationale 2, la forêt recule de plusieurs mètres », a interpellé Rose Marie Randrianarison, secrétaire exécutif du Groupe d’étude et de recherche sur les primates de Madagascar (GERP) (..) Dans la localité d’Amboasary, 57 ha de forêt ont été défrichés, y compris des essences autochtones. Outre ce défrichement de la forêt naturelle et la culture sur brûlis, la forêt de Maromizaha est également menacée par la production de charbon de bois. 187 fours à charbon y ont été enregistrés, dont plus de la moitié sont observés à Ambatosenegaly.
Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Appuyer l’éducation et la nutrition. Tel est l’objectif du projet de transfert monétaire conditionnel, lancé par le Fonds d’intervention pour le développement (FID), en partenariat avec la Banque Mondiale, l’Office national de nutrition (ONN) et le ministère de l’Éducation nationale cette semaine. Le district de Betafo sera ainsi choisi en tant que zone pilote, afin de mettre en place ce nouveau système de protection sociale, pour les démunis et les vulnérables. Le système s’avère ainsi simple. Les ménages bénéficiaires ayant des enfants de moins de cinq ans, sont appelés à suivre les programmes d’activité et services fournis par les sites de nutrition gérés par l’ONN.
Salomon Ravelontsalama dans La Gazette de la Grande-Ile
D’après les documents du FMI qui ont servi à l’approbation de la Facilité de crédit rapide de 47,1 millions de dollars, il ne s’agit que des dettes intérieures. Selon le tableau ci-contre, le stock des dettes de l’Etat se chiffre au total à 3,641 milliards de dollars dont 1,214 milliard de dette intérieure et 2,427 milliards de dette extérieure. (..) Sur les 1,214 milliard de dollars de dette intérieure cumulée à fin 2003, 701 millions de dollars (environ 7 700 milliatrds Fmg) sont des arriérés de paiement dus à différentes entités et à des fournisseurs et 513 millions (environ 5 600 milliards Fmg) en bons du Trésor.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Une augmentation de 10% de la production des cultures intercalaires est associée à une réduction de 1,6% du coût de production de cacao. (..) Notons que dans le Nord de Madagascar comme un peu partout dans le pays, l’approvisionnement en bois de chauffe et en charbon de bois commence à poser problème. Des expertes du secteur avancent même que d’ici quelques décennies, il sera très critique vu les grosses pertes en surfaces forestières non suivies de reboisement professionnel. La plantation d’arbres en cultures intercalaires au niveau des cacaoyers pourrait répondre à ces besoins en bois de chauffe et en charbon de bois. (..) Rappelons que la production de cacao de Madagascar (environ 6 000 t/an) est nettement moindre comparée à celle des grands producteurs comme la Côte d’ivoire et le Ghana. Mais elle est très appréciée par les gourmets sur le marché international.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Quoi qu’il en soit, le pays dispose de ces vastes terrains mais doit encore importer des produits alimentaires, soit en moyenne 200 000 tonnes de riz, de l’huile alimentaire… Le rendement agricole demeure toujours faible dans le pays, alors que le secteur agricole est le premier secteur indiqué par toutes les études nationales et internationales pour la création d’emplois et de richesses. Environ 3/4 des emplois sont, en effet, dans ce secteur. Pour le foncier donc, l’Observatoire de l’entreprenariat (ODE) créé par des entrepreneurs et des experts malagasy et présidé par Njaka Rajaonarison soumet 10 propositions pour développer l’agribusiness. Pour le foncier, il propose de « reidentifier les Zones d’investissement agricole (ZIA) avec la participation du monde rural et mettre au point avec ce dernier un système permettant leur exploitation par les investisseurs...
Valis dans Tribune de Madagascar
Aussi, le programme de Madagascar ou Fonds d’appui pour l’assainissement (FAA) a été le premier programme pays financé par le GSF (Global Sanitation Fund). Lancé en mars 2010, il a comme vision « Madagascar un pays modèle sans défécation à l’air libre » (..) Le FAA a été initialement prévu pour 5 ans, de mars 2010 à mars 2015 pour un montant de 5 millions de dollars. En novembre 2013, il a bénéficié d’un fonds additionnel de 5 millions de dollars et a été prolongé jusqu’en septembre 2016.
Racl.R dans La Nation
Pour stimuler le secteur [financier], il faut une concurrence entre banque pour le relancer. D’après un rapport de la Banque mondiale concernant le secteur financier, le système bancaire à Madagascar n’est pas encore en mesure d’offrir des investissements requis pour générer la croissance dont le pays a besoin pour se sortir du piège de la fragilité. (..) « les banques sont fortement réfractaires aux risques et opèrent principalement à travers des prêts sur garantie », a souligné la Banque mondiale. « Le financement à long terme est peu disponible et les banques présentent une structure de financement à court terme pour la plupart. Le coût élevé des prêts ne fait que freiner l’accès à la finance, une situation qui désavantage en particulier les micros, petites et moyennes entreprises ainsi que les ménages et les consommateurs à Madagascar, qui sont tous peu servis par les banques conventionnelles » (..) Le secteur de la microfinance a connu une croissance remarquable depuis 2009, a souligné la Banque. Toutefois, ses taux dépassent largement la barre de ce que les autres microfinances de par le monde appliquent. Ne dépassant pas, pour la plupart, les 10%, les services de microfinance ont été une aide précieuse pour ceux qui en avaient besoin et c’est toujours le cas dans le reste du monde.
Noella Rakoto dans Newsmada
D’ailleurs, près de 400 millions de dollars sont prêts à être mobilisés par la Banque de développement d'Afrique du Sud pour accompagner les futurs investissements [à Madagascar]. Ce, à travers des facilitations de prêts.
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