Mikama - July 8, 2014

Dans Phys Org
Madagascar community association wins prestigious Equator Prize. The Plate-forme de Concertation pour le Développment Durable de la Baie d'Antongil (PCDDBA) is a local collective bringing together fishing communities and various stakeholders to promote the sustainable management of marine resources in and around Antongil Bay, the largest bay on the coast of Madagascar. The group was formed to address a number of issues such as conflicts between artisanal and industrial fishing interests, declining fish populations, marine ecosystem degradation, and the loss of coastal mangrove habitat to development. For two decades PCDDBA, WCS, government authorities and other partners have joined forces to address these challenges.

Dans La Nation
Elles [sociétés d’Etat] comptent une cinquantaine et 69% d’entre elles coulent déjà, d’après le Trésor public. ... la société Fanalamanga (ou Fanjarian’Ala Ambatondrazaka Moramanga), sous l’aile du ministère de l’Environnement, des forêts et de l’écologie, spécialisée dans l’exploitation forestière sur une superficie de plusieurs milliers d’hectares à Moramanga... la société Fifabe (ou Fikambanana Fampandrosoana ny lemak’i Betsiboka) chargée de l’aménagement de la plaine de Betsiboka.. sous tutelle du ministère d’Etat chargé de l’Equipement, des infrastructures et de l’aménagement du territoire... la société Kraoma (Kraomita Malagasy), spécialisée dans les mines et qui détient la seule licence d’exploitation du chrome à Madagascar [assujettie au ministère auprès de la présidence chargé des Ressources stratégiques] et qui vient d’avoir un permis d’extraction aurifère, dont l’Etat malagasy détient les 97,17% des actions... la société Secren (Société d’Etude, de Construction, de Réparation Navale), sous tutelle du ministère de l’Industrie, du développement du secteur privé et des PME-PMI, qui venait d’accueillir une visite présidentielle le week-end dernier. Cette société, dont 37,5% des actions sont détenues par l’Etat malagasy et 32,75% par le CNaPS, 26,5% par l’OMNIS et 3,25% par la SOFIRE... le Sonapar (Société nationale de participation), dont 56,76% des actions appartiennent à l’Etat malagasy... la Caisse d’Epargne de Madagascar, une société financière appartenant à 100% à l’Etat malagasy... La société Seimad (société d’équipement immobilier de Madagascar), dont 97,99% appartiennent à l’Etat...


Moari Jean Cthody dans La Gazette de la Grande-Ile
De 48.710 tonnes en 2011, l’embarquement de marchandises conventionnelles est passé respectivement à 143.510 tonnes et 121.061 tonnes en 2012 et 2013. Par contre, pour la même période, le débarquement n’a été que 46.271 tonnes et 42.786 tonnes alors que trois années auparavant, il affichait 108.980 tonnes.
Une diminution de 14% du trafic global de marchandises conventionnelles est constatée durant les deux dernières années avec 189.761 tonnes contre 163.847 tonnes. (..) Notons que les statistiques sur le trafic maritime global du port de Toamasina ont affiché une hausse de 12% selon les données au niveau du contrôle de la SPAT. De 2011 à 2013, le trafic maritime global a enregistré successivement 2.865.475 tonnes, 4.010.068 tonnes et 4.467.165 tonnes.

Sera R. dans Newsmada
Le lancement officiel du projet Mampita-SOA s’est tenu à l’Hôtel Panorama ce week-end. C’est un projet financé par l’Union européenne à hauteur d’un milliard d’Ar, par le biais de l’Agriculteur Français et Développement International (AFDI) pour une durée de trois ans à partir de cette année 2014.
Ses objectifs tournent autour de deux points essentiels. Le premier sur le renforcement des organisations rurales en tant qu’organisation de la société civile pour une meilleure application des paysans dans l’élaboration des politiques de développement. Le deuxième point, quant à lui, porte sur une contribution efficace à la formation ainsi qu’à l’intégration des jeunes dans la société rurale.

Arnaud R. dans Miidi Madagasikara
« Nous avons observé que les interventions des agences des Nations unies en faveur de la pauvreté ont été mal exploitées, leurs efforts ont été souvent dispersés et la synergie mal exploitée... », argumente Fatma Samoura, Représentante résidente du PNUD..

Arnaud R. dans Miidi Madagasikara
 Nous devons respecter le pacte que nous avons mis en place qui stipule que les parents d’élèves sans exception doivent scolariser leurs enfants. Dans le cas contraire, ils devraient être soumis aux sanctions comme énumérées dans le “ dina “ », a déclaré le Chef de région de Menabe, Gilbert Romain. (..) Pour rappel, un demi-million d’enfants malgaches de 7 à 15 ans en seront ciblés.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
A l’heure où le changement climatique affecte l’agriculture, les pratiques culturales doivent s’y adapter. Parmi ces pratiques, on peut citer l’utilisation de semences adaptées aux zones agro-écologiques, d’intrants comme l’engrais… Mais on ne doit pas non plus oublier l’association de cultures comme préconisée par Missouri botanical garden (MBG), une organisation internationale qui conjugue conservation de l’environnement et développement. Ainsi, le haricot, de son nom scientifique Phaseolus vulgaris, le pois bambara ou « voanjobory » ((Vigna subterranea) ou encore l’arachide (Arachis hypogaea) enrichissent le sol en azote et améliorent le rendement des plantes cultivées en association. Le paysan gagne ainsi sur deux tableaux : il récolte les fruits de plus d’une plante tout en enrichissant son sol.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
 Certes, il faut débourser 10 millions Ar par jour pour payer 1 000 hommes si on s’en tient à l’indemnité de 10 000 Ar, mais il faut parfois payer le prix fort pour la sécurité des biens et des personnes. Rappelons que la montée de l’insécurité a contribué au basculement de Madagascar parmi les Etats fragiles, c'est-à-dire parmi les Etats les pires du monde sur plusieurs secteurs. Citons la recrudescence de l’insécurité, la corruption, la défaillance des services publics, l’insécurité des investissements, une faible croissance, l’appauvrissement de la population… Mais en tout, l’Etat n’a alloué que 2,180 milliards Ar pour l’opération « Coup d’arrêt » jusqu’ici.

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
D’Ankazobe  jusqu’à Ambatomirahavavy, en passant par Anjozorobe et même à Arivonimamo, les feux de brousse quasi-généralisés pour faire décamper les criquets au début de l’année, risquent de fortement handicaper, les activités agricoles cette année. Aussi, le sol dénudé sera décapé dès la première pluie, au début de la saison pluvieuse. Certaines associations paysannes interpellent ainsi le gouvernement. « Le système d’irrigation et les rizières pourraient être victimes de l’ensablement pour la prochaine saison estivale.  La puissance des crus dans le bassin versant est également  à craindre. La maigre couverture végétale qui va protéger le sol contre l’érosion a disparu suite aux feux de brousse », a relaté Mbinintsoa Rakoto­niaina, agriculteur dans la commune d’Ambato­mi­rahavavy.

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