Mikama - July 24, 2014

Racl.R dans La Nation
Cet accord couvre un « deal » où 40 thoniers senneurs et de 54 palangriers de surface sont autorisés à pêcher dans les eaux territoriales malgaches pendant quatre ans et que l’Union européenne versera environ 6,1 millions d’euros sur ces quatre années d’application... que par cet accord nouvellement signé, l’aide qui sera allouée à la politique des pêches s’élèvera désormais à 700 000 euros...

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Aussi le bâtiment public dans le Grand Nord, Nord-ouest et Nord-Est, doit maintenant résister à une vitesse du vent de  350Km/h. Sur les hautes terres, le vent soufflant à 212Km/h ne devrait pas non plus décoiffer un bâtiment public. Cette norme para-cyclonique affecte également les infrastructures hydroagricoles et les routes. La crue, l’inondation et l’ensablement ne devraient plus ainsi constituer une grande menace pour un barrage et un réseau hydroagricole. (..) Ainsi, lors de la saison cyclonique 2008, les dommages s’élevaient à 117,8 millions de dollars et les pertes à 9,8 millions de dollars. 340 bâtiments publics ont été touchés de plein fouet depuis les bureaux administratifs jusqu’aux établissements pénitentiaires.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
On connaît la forte centralisation budgétaire sous forme de pyramide inversée en ce qui concerne le paradoxe malagasy sur la décentralisation et cette concentration : 95% du budget public sont gérés par le gouvernement central, 1,5% par les régions et 3,5% par les 1 549 communes.


Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
« La corruption affecte tous les rouages de l’administration et la sphère politique. Aucune des institutions identifiées dans l’enquête n’y échappe selon les citoyens, en 2013. Ainsi, 2 individus sur 3 (66 %) sont persuadés que la police est corrompue. Viennent ensuite les juges et magistrats : 57 % de la population affirment qu’au moins certains d’entre eux pratiquent la corruption, cette proportion atteignant même 83% si on exclut les individus qui considèrent ne pas avoir assez d’éléments pour répondre à la question »

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
La capacité de production en huile de palme constitue ainsi le principal facteur qui conditionne la productivité de l’entreprise. Pourtant, comme tout inves­tis­sement dans l’agrobusiness, il reste un investissement à risque, les palmiers étant sensibles aux aléas climatiques, donc peu intéressant pour les banques, d’où la difficulté à trouver des crédits. C’est pourtant un véritable modèle de développement intégré qui prévoit d’atteindre jusqu’à 500 hectares de plantations villageoises d’ici 2025.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Une convention de contre-garantie portant une valeur de 500 000 Euros vient d’être signée entre le Solidis Garantie et l’Agence Française de Développement (AFD) hier à l’Hôtel Ibis à Ankorondrano. «Cet accord engendre un effet de levier pour le développement, puisque l’on va pouvoir prendre plus de risque en prêtant jusqu’à 15 millions d’Euros au profit des petites et moyennes entreprises. En effet, notre premier objectif est de faciliter l’accès des petits entrepreneurs au financement », a annoncé Frédéric Wybo, le Président Directeur Général de Solidis lors de la signature de cet accord. (..) Notons qu’il y a actuellement environ 30 000 PME à Madagascar dont plus de la moitié d’entre elles constituent des plus petites entreprises.

Noella Rakoto dans Newsmada
La première offre de Solidis s’adresse aux petites et moyennes entreprises qui demandent un financement d’environ 20.000 à 30.000 dollars. La garantie par lot, par contre, s’adresse aux TPE dont les besoins sont estimés entre 2.000 et 3.000 dollars. Enfin, il y a la garantie partielle de portefeuille (GPP) qui est un fonds géré par Solidis pour le compte de la Banque mondiale et qui est décaissé par la BOA.

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