Racl.R dans La Nation
Plus de 80% des transports se font par voie routière, moins de 20% se font par voie maritime, fluviale, aérienne et ferroviaire confondue, explique un responsable du Creabtp [cercle de Réflexion, d’évaluation et d’appui au secteur BTP]. (..) Pour ce cercle de réflexion qui critique les décisions prises par les dirigeants étatiques auparavant, c’est l’Ajustement structurel qui a entraîné le désengagement de l’Etat de l’exécution des travaux d’entretien routier, pour les confier aux PME qui n’ont pas pu pour autant se développer. Le désengagement de l’Etat, de la gestion des marchés des travaux au détriment de l’Autorité routière de Madagascar s’est fait brutalement d’un coup en 2007, a ajouté le cercle.
A.D. dans La Gazette de la Grande-Ile
Madagascar Energy Company dont la principale unité de production c’est-à-dire, la distillerie se trouve dans le fokontany d’Ampasimpotsy (commune Ranomafana, district de Brickaville), et dont la capacité de production est de l’ordre de 1 000 à 1 500 litres par jour en cette phase de démarrage. (..) A terme, 4 000 unités de production (distilleries) devraient faire l’objet de mise en place à travers 117 districts du pays jusqu’à l’horizon 2017, apprend-on d’une source digne de foi auprès du ministère de l’Industrie. (..) Sinon, il importe de savoir que la mise en place d’une distillerie nécessite un investissement de 180 000 000 Ar. Gros investissement certes, mais qui peut être amorti en l’espace seulement d’un an et dont le taux de rentabilité est de plus de 50%, d’après les confidences de nos deux interlocuteurs… Enfin, en ce qui concerne la culture de canne à sucre, elle peut se faire à travers pratiquement toutes les régions du pays. A noter également qu’un champ d’un hectare procure entre 70 et 90 tonnes de cette matière première, tandis qu’on peut obtenir jusqu’à 5 000 litres d’éthanol avec 170 tonnes de canne à sucre.
Noella Rakoto dans Newsmada
Stéphane Raveloson: (..) Les industries réunies autour du Syndicat des industries de Madagascar (Sim) sont aujourd’hui au nombre de 90.
(..) L’installation mais surtout le développement de l’agrobusiness (semoule de blé, sucre) sont encouragés. Cela aidera beaucoup les industries locales à être plus compétitives. En effet, l’accès aux matières premières au niveau local serait un grand pas et apporterait beaucoup de changements dans nos activités. Les charges en droits de douane et en taxes d’importation ne seront plus un frein au développement de nos produits.
Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Aussi, huit experts de la Banque Mondiale se trouvent dans nos murs actuellement, afin de passer au crible les problèmes minant cette activité des 99,98% des ruraux, selon Patrick Rasolofo, et d’en apporter une solution. « Il faut une politique nationale de l’agriculture familiale, mais non pas seulement une politique agricole. La terre cultivée à Madagascar n’est que de deux millions d’hectares, alors qu’il y a encore huit millions d’hectares cultivables. Si chaque exploitant agricole vend 60% de leur production et emploie deux ou quatre personnes, une grande partie du problème du chômage sera résolue », a indiqué Patrick Rasolofo.
Racl.R dans La Nation
Il a été constaté que la population vulnérable ne dispose d’aucune culture financière pour gérer ses revenus. Même à de faibles niveaux, les revenus constituent en quelque sorte un capital mais le projet d’instauration d’une structure de coordination de la finance inclusive, initié par le ministère des Finances et du budget requiert qu’il y ait lieu d’éduquer la population sur le plan financier. Une campagne d’éducation financière a été lancée la semaine dernière afin de sensibiliser la population à connaître les offres financières disponibles et à lui préparer lorsque ces offres financières lui seront disponibles.
Noro Niaina dans Newsmada
Notons que le LSFM [Lions sight first Madagascar] dispose d’un centre de vision dans l’enceinte de l’HJRA. Ce centre accueille une dizaine de personnes ayant un problème de vision par jour. Depuis sa création, au total 63.288 personnes, de 2 mois à 105 ans, ont retrouvé la vue grâce à l’appui de l’association LSFM. Les opérations sont réalisées dans le cadre du projet de lutte contre la cécité et sont soumises aux normes techniques sanitaires incluant les prédépistages et dépistages fixées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Les opérations sont réalisées en collaboration avec les hôpitaux des 22 régions, dont 16 publics et 6 privés ainsi qu’avec 16 centres satellites.
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