Mikama - Sep 9, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Travailler directement avec les importateurs. C’est possible pour les producteurs ruraux dans le cadre de l’agriculture contractuelle. Plusieurs coopératives intervenant dans différentes filières se sont lancées dans cette pratique, et ont pu voir une hausse de prix de leurs produits. « Lorsque nous avons travaillé avec les collecteurs privés, le kilo de curcuma était vendu à 500 ariary maintenant avec  la société importatrice Premium Spice, qui travaille avec nous dans le cadre d’un contrat bien établi, nous avons pu vendre notre produit à 2 000 ariary le kilo», avance Solonirina Rakoto­a­rimanana, président de la coopérative Mitsinjo à Anivo­rano Avaratra

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Filière avicole : Les produits transformés très prisés sur le marché. Des éleveurs professionnels disposant chacun d’une ferme de 6 000 têtes travaillent en partenariat avec le groupe Avitech. (..)  « Malgré le fait que les produits transformés à base de poulet ne figurent pas encore dans l’habitude de consommation des Malgaches pour différentes raisons comme le facteur économique et la culture, une hausse de la demande de ces produits spécifiques de l’ordre de 20% est enregistrée chaque année », a-t-il [Rakotomalala Miandrisoa, responsable exploitation abattoir au sein de Avifrais] souligné.

Had'Nah  dans La Nation
Si le premier recensement de la population datait de l’année 1975, à cet époque le nombre de la population malgache est de 7 millions 600.000, le dernier recensement en date remontait, par contre, en 1993 et le nombre de la population malgache était de 12 millions. Actuellement, le nombre de la population malgache est estimé à 22 millions 500.000.
Normalement, le recensement de la population doit se faire tous les 10 ans, soit 21 ans de retard pour Madagascar. Le RGPH va permettre aux décideurs d’avoir accès à des données statistiques fiables et à jour. Cette cartographie censitaire sera appuyée financièrement et techniquement par le Fonds des Nations Unies pour la Population (FNUAP).

Antsa R. dans Midi Madagasikara
« Africa50 a une double vocation. Il s’agit de réaliser des profits commerciaux et d’entreprendre des actions qui ont des impacts concrets dans la construction d’infrastructures, pour l’amélioration de l’avenir de l’Afrique », a expliqué le président de la BAD, Donald Kaberuka. En effet, grâce à une approche intégrée, Africa50 investira dans des projets d’infrastructures en Afrique, sur toute une chaîne de valeur, depuis le stade précoce de leur conception, jusqu’à la clôture financière et aux opérations via ses deux secteurs d’activité: financement et développement de projets. En raison de son caractère public-privé, Africa50 aura l’avantage de la rigueur du secteur privé...

Racl.R dans La Nation
Madagascar est un pays qui présente de fort potentiel sur le plan économique et le pays possède un avantage comparatif révélé ou ACR dans plusieurs secteurs tel que le textile, les ressources halieutiques, les minerais, les métaux non-ferreux, les épices, les huiles essentielles, le cacao, le sucre, les fruits et légumes. Or, les performances de chaque secteur ont été victimes de la politique et de ses vices. D’après les études de la Banque mondiale, « le nombre total de catégories de produits pour lesquels Madagascar possède un ACR n’a quasiment pas changé depuis 25 ans, démontrant ainsi la faible diversification économique du pays. En effet, Madagascar possédait un ACR dans 77 catégories de produits en 1994 contre 76 catégories en 2009 ».

Racl.R dans La Nation
Dans la note politique de la Banque mondiale, le gouvernement malagasy devrait commencer à aborder les obstacles à l’investissement privé et à la création d’emplois comme réformer et moderniser les lois, les règles et les procédures administratives régissant les entreprises et les investissements privés. Les capitaux se déplacent librement, plusieurs pays sont en compétition pour attirer les industriels et les prestataires de services étrangers et dans tous cela, Madagascar a besoin d’une vision crédible et d’une vision claire sur la façon dont l’administration va appuyer l’entreprenariat et l’investissement privé.

Noro Niaina dans Newsmada
46% des Malgaches ne savent ni lire ni écrire. (..) Devant la situation actuelle, l’objectif est de  réduire le taux national d’analphabétisme de 1%, soit de 46% à 45%, de la population cible répartie sur 2.100 sites d’ici 2015. Les activités d’alphabétisation concernent également les 52.586 enfants déscolarisés  et  non scolarisés ou jeunes et adultes analphabètes dont le taux de prévalence de ces derniers est de 28%. Selon les explications du directeur de l’Education préscolaire et de l’alphabétisation (Depa) au sein du ministère de l’Education nationale, la pauvreté des ménages, l’insécurité liée à l’éloignement de l’école ainsi que les us et coutumes sont les causes de l’analphabétisme à Madagascar. Outres les zones rurales enclavées, la partie Sud de l’île est la plus affectée par ce problème.

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
La méthode Action Scolaire d’Appoint pour les Malgaches Adolescents déscolarisés ou Analphabètes (ASAMA), a réussi l’alphabétisation de presque sept mille cinq cent jeunes et enfants en détresse. Cette méthode, « informelle » consiste à faire en huit mois le cycle primaire qui est de cinq ans. À la fin, les apprentis passent l’examen du CEPE. Cette année, le taux de réussite enregistré est de 83%. Le ministère promet de se préoccuper du renforcement de l’éducation non-formelle...

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