Mikama - Sep 17, 2014

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Durant les 20 dernières années ayant précédé 2012, les prêts au secteur privé ont diminué de 1/3 d’après les données de la Banque mondiale. Ils représentent à peine les 10% du PIB, alors que la moyenne en Afrique subsaharienne est de 25%. Ce taux dépasse les 45% au Kenya (..) l’obtention de prêt est à Madagascar l’une des grosses difficultés des entreprises. Dans ce domaine, le pays est au 180ème rang sur 189 économies dans le Doing business 2014 de la Banque mondiale. (..) Les autorités malagasy comptent en effet sur une croissance de 25% du mobile money pour les 5 prochaines années. Ce service financier est l’un des leviers pour la promotion des finances inclusives parce qu’il peut attirer bon nombre de populations non intégrées dans le système financier classique.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Madagascar figure dans le top 3 des pays les plus exposés aux effets désastreux du changement climatique à cause de la fréquence des cyclones, des inondations et sécheresses, etc. Le pays a une politique d’adaptation au changement climatique. Mais comme la quasi-totalité des politiques, la mise en œuvre laisse à désirer ainsi que l’appropriation par les acteurs et la synergie. Or, le changement climatique affecte plusieurs secteurs. Mais les secteurs concernés ne sont pas dotés ressources conséquentes. Il en est ainsi des différentes branches de l’agriculture incluant l’élevage, les forêts. Elles n’ont pas reçu tous les ans 3% du budget de l’Etat sur les 5 dernières années. Puis, il y a le manque de synergie intersectorielle.

Noella Rakoto dans Newsmada
D’après la présidente de l’association EFOI [Entreprendre au féminin océan Indien], « L’exportation n’est pas facile, notamment en ce qui concerne la négociation internationale.
Au sein de l’EFOI, nous apportons à nos membres tous les outils nécessaires pour pouvoir accéder aux marchés internationaux. Avec la collaboration de Cap Export, nous veillons également  comment mettre aux normes nos produits face aux exigences des exportateurs » (..) « Par ce trophée, nous voulons reconnaître la performance de la femme entrepreneur. Mais nous voulons également lui montrer quels sont les avantages à intégrer le secteur formel, notamment en lui apportant notre aide au sein de l’EFOI. L’appui de l’association vise à améliorer les activités »

Racl.R dans La Nation
Il n’y a pas de formule magique. Il n’existe pas d’autres solutions aussi probantes que les investissements simultanés, publics et privés pour lutter contre la faim. Le rapport du FAO, FIDA et PAM sur « L'État de l'insécurité alimentaire dans le monde » ou SOFI 2014 montre une baisse du nombre de personnes affamées dans le monde de plus de 100 millions au cours des dix dernières années et de plus de 200 millions depuis 1990-92 et cela grâce aux efforts des divers gouvernements à atteindre les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD). (..) Il est maintenant avéré que Madagascar n’atteindra pas les OMD 2015 car non seulement le pays vient de sortir d’une interminable crise de 5 ans mais en outre, n’a pas les ressources pour mettre en œuvre quoi que ce soit sans les aides de ses partenaires techniques et financiers.

Navalona R. dans Midi Madagasika
La demande des ménages pour l’acquisition de ce genre de combustible [éthanol] destiné à la cuisson des aliments connaît ainsi une hausse considérable, depuis ces derniers temps. « Mais cette filière est régie par une loi sur la production et la commercialisation de l’éthanol combustible. On attend de ce fait la publication du décret d’application de cette loi d’ici peu pour que tous ces acteurs puissent démarrer leurs activités », a expliqué Andriaoelimalala Armand, directeur du process industriel du groupe Funreco. (..) Parlant du réchaud à éthanol, d’autres acteurs se lancent également dans la fabrication locale via des recherches. « Mais il faudrait la validation du CNRIT (Centre National de Recherche Industrielle et Technologique) car cette entité contrôle l’efficience thermique et la sécurité des types de réchauds fabriqués.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
La production malgache [de litchis] effleure les 100 000 tonnes par an. Madagascar tient ainsi le 5ème rang mondial derrière la Chine, l’Inde, le Vietnam et Taiwan. L’année dernière, Madagascar a exporté environ 150 à 200 tonnes de litchis par avion.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
« L’exploitation de langoustes vivantes gagne du terrain à Tolagnaro. Des opérateurs étrangers proposent des prix élevés pour obtenir plus de produits. or cette situation déstabilise le marché et conduit à une surexploitation. En concertation avec les parties prenantes dont le groupement des opérateurs langoustiers, le ministère prévoit d’élaborer une nouvelle réglementation qui sera plus précise sur la gestion de cette ressource » (..) Selon les données émanant de la Direction régionale des ressources halieutiques et la pêche de la région Anosy, la production de langoustes dans cette localité est passée de 300 tonnes en 2009 à 75 tonnes en 2013. Une situation qui tend à la baisse, étant donné qu’il y a quelques années, la production annuelle moyenne était de 300 tonnes.

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