Hanitra R. dans Midi Madagasikara
Objectif : dresser l’état des lieux du secteur éducatif, identifier les contraintes, partager les expériences et les bonnes pratiques pour une éducation inclusive, de qualité et accessible à tous. Le contexte éducationnel, la qualité de l’éducation, les types de pédagogie, les langues d’enseignement, les conditions d’apprentissage, les manuels didactiques, le calendrier scolaire, la gestion et le déploiement du personnel de l’éducation ainsi que l’évaluation de leurs performances, la valorisation et la professionnalisation du personnel de l’éducation, la carte scolaire, font partie des grandes orientations des thèmes à discuter durant cette rencontre.
Racl.R dans La Nation
Les investisseurs ainsi que les bailleurs de fonds sont toujours en attente de ce plan national de développement car il est difficile d’investir un dollar dans un pays qui n’a pas de cadre référentiel. (..) Il y a un an de cela, le secteur privé qui regroupe le Fivmpama, le GEM, le SIM ainsi que les autres organismes représentant le secteur privé, a déjà proposé au président de la République les meilleurs moyens pour promouvoir cette relance de l’économie malgache. Plusieurs points ont été soulignés par le secteur privé, notamment ceux qui se trouvent en première ligne pour la promotion économique qui sont les mines, le tourisme, l’agriculture et la pêche. Le secteur privé pense que ces secteurs sont prioritaires et concernent plusieurs couches sociales à Madagascar
Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
La
forêt primaire est-elle appelée à disparaître Les données fournies
par le projet « Global Forest Watch 2.0 » présenté hier, à
Antaninarenina, dans le cadre de la lutte contre le changement
climatique, initié par la direction générale de l’Environnement (DGE),
fait froid au dos. Aussi, selon les données recueillies, la forêt
primaire ne couvre plus que 24% du territoire.
La végétation secondaire
due à la dégradation de la formation végétale primaire, occupe ainsi une
place importante. Elle couvre 73% du territoire. Pendant une décennie, 1
461 189 Ha de forêt, primaire et secondaire, ont été ainsi perdus. Le
reboisement tant communiqué devenu une tendance durant ces dernières
années, n’a ainsi permis de couvrir que 405 135 Ha de terrain.
Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Les opérateurs privés aspirent à de nouvelles dispositions fiscales. Au cours d’une rencontre avec le directeur général des impôts, mardi, ils ont avancé diverses propositions dans le projet de la loi de finances initiale 2015. Sept mesures phares ont été avancées, outre la réduction de la TVA à 15% contre 20% actuellement. (..) Et, pour soutenir les investissements dans le secteur minier et pétrolier amont, la suppression de paiement de l’IR intermittent, au taux de 10% est sollicité.
Actuellement, ce taux est appliqué sur les montants des sommes payées à des personnes physiques, sociétés, ou autres personnes morales qui ne possèdent pas d’installation fixe d’affaires à Madagascar, et en rémunération des prestations de toute nature matériellement fournies ou utilisées à Madagascar. Pour éviter la double ou triple, voire plusieurs impositions de dividende, la mise en œuvre d’une fiscalité d’un holding a été évoquée.
Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Trente trois nouvelles bornes fontaines et deux nouveaux lavoirs ainsi que de toilettes publiques. Le fardeau des 75% des habitants de la capitale récupérant de l’eau potable dans les bornes fontaines publiques, selon la statistique du bureau municipal d’hygiène de la commune urbaine d’Antananarivo (CUA), a ainsi connu un léger apaisement, grâce au projet Rain financé par la fondation Coca-Cola. La souffrance des 65% des citadins utilisant la toilette publique, est également allégée. Les 15% des habitants de la capitale déféquant encore à l’air libre, pourraient aussi diminuer.
Fahranarison dans Newsmada
Pour les habitants d’Antana¬narivo et ses périphéries, l'accès à l'eau potable demeure toujours un luxe. Les statistiques sont éloquentes sur cette question vitale. Seuls 24% des ménages ont un branchement domestique, 75% ont recours aux bornes-fontaines et 1% utilise encore des puits. (..) A ce jour, l’appui apporté par Wsup à Antananarivo et ses périphéries a permis d’améliorer l’accès à l’eau potable à plus de 310.700 personnes, l’accès à l’assainissement à plus de 138.193 personnes et a touché plus de 256.418 personnes dans ses actions de sensibilisation pour une meilleure pratique d’hygiène. (..) Dans le cadre de son projet « Replenish Africa initiative » (Rain), la fondation Coca-cola a consacré une enveloppe de 1,4 million de dollars pour améliorer avec Wsup et ses partenaires la qualité de service en eau dans la capitale et ses environs, cela pour une durée de deux ans. Les premières réalisations de ce projet ont été inaugurées officiellement hier. Il s’agit de 37 bornes-fontaines et 4 bassins-lavoirs, construits au cours de la première année de mise en œuvre du projet. (..) Outre les 41 infrastructures inaugurées hier, 51 autres (39 bornes-fontaines et 12 bassins-lavoirs) sont en cours de construction dans la capitale et ses environs
Dans Tribune de Madagascar
L’ambassadeur israélien à Madagascar, Yoran Elron, et le ministre malgache des Finances, Jean Razafindranovona ont signé ce 18 septembre 2014, une convention de franchise douanière entre les deux pays. (..) Aujourd’hui, Israël veut aussi promouvoir la coopération en matière de santé, éducation et formation, par exemple la possibilité de stages pour des techniciens malgaches. D’après l’ambassadeur Yoran Elron, les investisseurs israéliens sont intéressés par les infrastructures publiques, telles les routes.
Racl. R dans La Nation
L’exploitation de toute forme de crabes, qu’ils soient vivants ou semi conservés, congelés, en morceaux, en miette, en chair et sucette est prohibée par la loi. Cependant, tous les opérateurs doivent prendre des dispositions, selon l’article 2 de cet arrêté, de ramener leurs stocks de crabes à leur disposition à zéro. Toutes infractions seront poursuivies et réprimées conformément aux dispositions de l’ordonnance n°93.022 du 4 mai 1993. Ces diverses dispositions ont été prises au vu de la hausse dramatique des exportations de crabes de mangroves vivants depuis l’année dernière. Rappelons tout d’abord que les exportations de crabes vivants sont passées de 2 tonnes en 2009 à plus de 800 tonnes en 2013, et ont déjà atteint 1400 tonnes à la moitié de l’année 2014. Il a été constaté qu’il y a une surexploitation des crabes si auparavant il y avait une sous-exploitation.
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