Mikama - Nov 25, 2015

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
36% ou 592,5 milliards Ar. C’est la part des secteurs des infrastructures et productif dans le Programme d’investissement public (PIP 2016). (..) Il faut aussi remarquer qu’avec un investissement public très modeste (5% du PIB, contre 11,8% pour le secteur privé), les dirigeants nourrissent des ambitions plutôt irréalistes. Dans le projet de loi de finances 2016, ils entendent financer des travaux de construction, d’entretien et de réhabilitation des infrastructures. (..) Et dans le secteur productif, l’Etat envisage d’injecter des investissements dans les secteurs de l’agriculture, de l’élevage, de l’environnement, du tourisme, de l’industrie et des mines. Concrètement, il s’agit de redynamiser le secteur agricole par la réhabilitation des infrastructures agricoles, la maîtrise de l’eau, le renforcement de la lutte antiacridienne… Bref, l’Etat a des ambitions qui dépassent largement ses maigres ressources.

N.A.L. dans La Vérité
Avec 9 milliards d’ariary, c’est-à-dire une augmentation de 4 milliards d’ariary par rapport à cette année, le ministère de la Culture et de l’Artisanat, devra également limiter ces dépenses. Il en est de même pour le ministère d’Etat rattaché à la Présidence en charge des Mines et des Ressources stratégiques qui disposera d’un budget de 8,1 milliards d’ariary. Le ministère de l’Economie avec 11 milliards d’ariary, soit une hausse de 2 milliards d’ariary par rapport à 2015,  reste également un des départements disposant d’un des plus petits budgets du Gouvernement Ravelonarivo. Le ministère de l’Agriculture, qui voit une coupe de 40 milliards d’ariary dans ses dotations par rapport au budget 2015, fait partie des grands perdants. Le projet de loi de Finances pour 2016, présenté par le Gouvernement hier à l’Assemblée nationale, prévoit en effet un plafond de 238,5 milliards d'ariary pour l’Agriculture.

Bill dans Madagascar Tribune
Selon le secrétaire général du ministère des Finances, seuls 14% du budget 2016 seront financés par les financements extérieurs ; les ressources propres du pays couvriront les 82% et quelque.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
« on peut gagner une recette de plus de 168 millions de francs pour un élevage à cycle court de poissons sur un étang de 1 ha contre 16 millions de nos francs pour une exploitation rizicole de 1 ha » (..) En outre, Madagascar dispose de 1 500 km² de plan d’eau naturel et de 150 000 ha de rizières  favorables à la pisciculture. On distingue cinq types d’élevage de poissons, à savoir la pisciculture en étang, la rizipisciculture, l’élevage en cage et l’élevage en enclos ainsi que la production d’alevins.

Sandra Miora Hafalianavalona dans L'Express de Madagascar
Le rapport du ministère de l’Élevage, pendant la journée bloquée à Antaninarenina mercredi, montre la chute de production de [miel] allant 2000 à 400 tonnes. Madagascar a exporté seulement 100 tonnes, cette année. La lutte contre le varroa s’avère être un grand défi pour les apiculteurs.

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