Mikama - Nov 30, 2015

Donas Hanitrinony Ralay dans La Vérité
Le faible accès à l’électricité, les délais et coûts de branchement élevés, affectent la compétitivité des entreprises. L'obtention de financement demeure une contrainte majeure, en particulier pour les petites et moyennes entreprises (Pme). (..) Les services de transport constituent une contrainte pour la compétitivité du pays. (..) Les potentialités du secteur privé sont les mains-d’œuvre, les ressources naturelles, les traités commerciaux internationaux et régionaux. (..) Les contraintes les plus critiques relevées par « Doing Business 2015 » ont été l’accès à l'électricité, l'obtention de crédit.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
En effet, même si l’inflation qui avoisine les 8% cette année est censée être révisée à la baisse à 7,2% en 2016, elle demeurera toujours supérieure à la croissance économique prévue se situer à 4,5%. (..) Actuellement, seuls 8% des Malagasy sont considérés comme non pauvres. Une part de cette faible proportion risque de tomber dans la pauvreté alors que la grande masse, soit les 92%, pourrait encore s’appauvrir un peu plus.

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Le projet Advance Cargo Declaration consiste à envoyer les informations concernant le navire, sa cargaison  et son équipage à son port de destination bien avant qu’il ne l’atteigne. Il s’agit d’un système de collecte et de traitement d’informations, a priori pour la préservation des ports contre toute attaque terroriste, en analysant les cargaisons et le niveau de sécurité des navires.

Donas H.R. dans La Vérité
Sur les 18 projets proposés, neuf ont été sélectionnés. Ils feront l’objet de test de faisabilité technique. A l’issue de la concertation du jury, trois projets ont intéressé ce dernier et le public a pu effectuer un vote depuis le 23 novembre dernier. Le gagnant de ce concours de projet d’entreprise sera connu le 30 novembre prochain. Le niveau de réalisme et la connaissance de l’économie nationale distinguent les projets méritants.

Arh. dans NewsMada
Un des problèmes des institutions de microfinance (IMF) en général c’est l’incapacité de certains emprunteurs à rembourser les prêts. (..) Pour le cas de l’«Ombona tahiry ifampisamborana vola» (Otiv) par exemple, 3% de ses débiteurs n’arrivent pas à rembourser leurs crédits. (..) Et en tant que membre de l’APIMF, l’Otiv compte aujourd’hui plus de 264.000 abonnés contre 46.000 en 2005. Cette année, l’Otivtana enregistre à elle seule 54 milliards d’ariary de transactions dont 45 milliards d’ariary de valeurs de prêts.

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