Mikama - Nov 2, 2015

Dans La Gazette de la Grande Ile
La production a crû, mais ne dépasse pas 10 000 tonnes, et les exportations ont été très irrégulières depuis 2008. Les exportations de chocolat et pâte de cacao se sont développées, mais ne dépassent pas encore 1 million de dollars EU. Le DD est de 5% sur les fèves de cacao, transformées ou non. En 2014, les statistiques du document portant troisième examen de la politique commerciale de Madagascar et qui a été établi par le Secrétariat de l'OMC mentionne que l’exportation de Cacao en fèves et brisures a atteint 19,6 millions de dollars EU. (..) Le cacao malgache = petite production de 6000T/ an. Culture localisée dans les régions DIANA et SAVA... Au début, vers 1900, le cacao venait surtout des grandes plantations coloniales à Madagascar, avec une production de 120T/an. 1976 : principales grandes plantations = 650T /an... 1990 à2002, grand groupe de collecte, arrivant à brasser 3000 à3500 T par an...

Dans La Gazette de la Grande Ile
Les plateformes régionales comptent environ 200 membres (Sava, Antalaha, Atsinanana, Diana, Vatovavy Fitovinany, Analanjirofo). Les exportateurs à Antananarivo doivent apporter leurs dossiers à la Direction Régionale du Commerce et de la Consommation Analamanga pour faciliter leur enregistrement dans la Plateforme Nationale Vanille. L’exportation malgache de vanille s’élève entre 1.800 et 2.000 tonnes par an. Le taux de vanilline exigé pour  la vanille : Vanille rouge : 1,5 minimum ; Vanille noire : 1,8 minimum. La vanille de Madagascar, quand elle est bien traitée, peut atteindre un taux de vanilline de 2,5.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Au cours de la dernière décennie, les échanges commerciaux France-Madagascar ont augmenté de 28% pour  atteindre 618,3 M€ en 2014 (source FMI). La France reste  le premier partenaire commercial de Madagascar, et  le textile, le premier poste d’échanges entre les deux partenaires. Premier client historique de Madagascar, la  France, avec 11,3% de part de marché, est le  2Eme fournisseur de l’île après la Chine. Avec 322,14 M€ d’exportations, Madagascar reste le 12 ème marché pour la France en Afrique subsaharienne. (..) Premier partenaire commercial de Madagascar, la France reste son premier client en absorbant en 2014 17,8% des exportations de la Grande Ile. (..) Les exportations françaises vers Madagascar ont représenté, en 2014, 11,3% du montant total des achats du pays, Madagascar étant le 12ème marché de la France en Afrique subsaharienne. La F rance se positionne ainsi, selon les données du FMI, au 2ème rang des fournisseurs, après la Chine (22%) et devant l’Inde (5,7%).
Source : www.tresor.economie.gouv.fr/se/madagascar/

Dans NewsMada
Introduit à Madagascar, il y a un peu moins de deux siècles, la culture de cet épice s’est très rapidement développée jusqu’à devenir le fleuron de la culture de rente avec la vanille et le café. Actuellement, on dénombre sur la Grande Ile plus de 31.000 producteurs de clous de girofle, qui ont chacun entre 10 et 1.000 pieds de girofliers. Pour les deux premiers trimestres de cette année, la Grande île a exporté plus de 10.200 tonnes, ce qui équivaut presque à la quantité exportée l’année dernière, (11.411 t) selon les statistiques de la direction générale des Douanes. Parmi les principaux importateurs de girofle malgache figurent l’Inde, Singapour, Belgique, le Viet Nam et les Emirats arabes unis. (..) Pour 31.000 producteurs, il n’existe que 30 grands exportateurs à Madagascar où chaque collecteur fournit jusqu’à 50 à 60 tonnes.

Bill dans Madagascar Tribune
Sècheresse dans le sud: 4,5 millions USD de l’USAID pour aider les victimes de la sécheresse (..) Pendant la saison de culture de 2014, les régions du sud de Madagascar ont fait face à des déficits de 50 à 75 pour cent, ce qui a résulté en des pertes considérables de récoltes. Avant le mois de mars 2015, des groupes humanitaires ont estimé que près 600.000 personnes étaient atteintes d’insécurité alimentaire sévère. Dans la région Androy, environ 41 pour cent des ménages souffrent d’insécurité alimentaire sévère, et les niveaux d’insécurité alimentaire sévère globale atteignent près de 12 pour cent parmi les enfants de moins de cinq ans.


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