Mikama -April 12, 2014

Rija Ratovomahefa dans L'Express de Madagascar
Selon l’enquête menée par le Centre d’information économique et technique (CITE) dans le secteur agro-alimentaire en 2013, les industries agro-alimentaires formelles sont constituées de 6 857 entreprises, soit 89,5% de l’ensemble des entreprises agro- alimentaires du pays. À côté d’eux se concentrent celles informelles qui absorbent les 10,5% du marché. Cet développement de l’informel dans la filière engendre une baisse notable des chiffres d’affaires des industries agro-alimentaires. (..) Selon les données émanant de l’Institut national de la statistique (Instat), les industries du secteur agro-alimentaire constituent 28,4% des entreprises formelles du pays et représentent 51,25% des capitaux de l’ensemble.

Bill dans Madagascar Tribune 
Plus de 2 millions de malgaches sont des artisans ; ils possèdent les matières premières de qualité, le savoir-faire, l’habileté et la culture de l’artisanat. Toutefois, peu structurés, les métiers se transmettent de manière séculaire sans s’inscrire dans une chaîne de valeur compétitive. L’irrégularité de l’approvisionnement en matières premières, le manque de moyens financiers, le manque d’accès au marché, etc., les barrières au développement de l’artisanat se multiplient, le condamnant trop souvent à n’être qu’un secteur refuge informel où la précarité se perpétue.


Navalona R. dans Midi Madagasikara
« Après l’exécution budgétaire, il doit y avoir des évaluations si ces objectifs fixés sont atteints. La Cour des Comptes, qui est indépendante, ou son équivalent y a un rôle à jouer. Son rôle est plutôt de prévention et d’orientation que de contrôle et de sanction pour assurer le perfectionnement de l’utilisation des deniers publics. Son efficacité ne pourrait être ainsi visible que sur le long terme », a-t-il [Professeur Robert Hertzog de l’IEP Strasbourg] évoqué.

Noella Rakoto dans Newsmada
Selon le président de l’ITBM, Herintsalama Rajaonarivelo, « Le Standards map est un outil très innovant qui est destiné aux entreprises exportatrices. Il permet à celles-ci d’évaluer leurs produits par rapport aux normes internationales imposées dans un pays ».

Georges R. dans Newsmada
Dans la plupart des grandes villes du pays, 90% des prostituées ont un niveau intellectuel très bas, la plupart d’entre elles ont arrêté les études après l’école primaire, certaines ne savent ni lire ni écrire, la prostitution est donc leur principal source de revenus. 8% de ces prostituées font de la prostitution une activité secondaire du fait qu’elles n’arrivent pas à boucler le mois avec leur salaire mensuel. Les 2% restants pratiquent cette activité pour l’argent facile ou juste par pur plaisir.

No comments:

Post a Comment