Mikama - April 24, 2014

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Corruption de haut vol, trafics de bois de rose et d’autres ressources naturelles comme les tortues, l’or, mafia dans les vols massifs de bovidés, détournement de deniers publics, mauvaise gestion de la plupart des établissements publics, gaspillage de fonds publics, mauvais choix des dépenses publiques qui restent souvent à côté des besoins réels de la population, etc. La liste est longue si on doit énumérer toutes les pratiques de mauvaise gouvernance perpétrées par les dirigeants successifs dans le pays. Et si on fait une estimation de ces pratiques, on obtient le taux énorme de 10% du PIB ou 500 millions US$ par an, d’après le chiffre avancé hier par le représentant de l’Organisation internationale du travail (OIT) pour les pays de l’océan Indien. Cela signifie que 10% des richesses créées tous les ans dans le pays vont dans quelques poches, sont dilapidés pour le confort des dirigeants, etc.

Dans L'Express de Madagascar
Il en ressort que la majorité des passations de contrats, soit 78,86% au niveau central et 75,92% au niveau régional ne sont pas conformes aux principes définis par le code des marchés publics. Au niveau des entités centrales, sur soixante deux entités comprenant des institutions, des ministères, des établissements publics, seulement cinq ont présenté un taux de 100% de procédures conformes sur les échantillons contrôlés.



Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
D’après le rapport, les principales causes de non non-conformité sont l’inexistence de planification, le non-respect des documents-types, l’absence ou l’imperfection des lettres d’invitation à soumettre des offres, le non-respect des procédures d’évaluation et d’attribution des marchés. Citons aussi la pratique de convention de prix, l’institution de prix exorbitants, les répétitions des mêmes prestataires, les fortes disparités de prix entre autorités contractantes pour les mêmes prestations. Dans la plupart des cas, cette 2ème liste de pratiques spolie l’Etat via les surfacturations, le copinage, etc.

Dans L'Express de Madagascar
Dans le cadre de l’élaboration de cette politique, la collecte d’idées a été effectuée dans sept régions et quinze autres feront l’objet d’un atelier de consultation. La professionnalisation de la filière par la formation, la promotion de la création, l’amélioration de l’accès aux matières premières et aux débouchés figurent, entre autres, parmi les priorités du ministère. La réintégration de Madagascar dans la liste des bénéficiaires de l’AGOA est parmi les objectifs du ministère en ce qui concerne les débouchés. En 2013, l’artisanat a généré 13 275 455 euros de recettes dans les caisses de l’État.

Angola Ny Avo dans L'Express de Madagascar
Pour venir en aide aux 10 000 ménages producteurs de blé, le programme Matoy relance la filière. Fifamanor et la société Les Moulins de Madagascar le soutiennent. (..) L’objectif est  de pouvoir satisfaire  les besoins annuels en farine de Madagascar estimé à 120 000 tonnes. Grâce à cette convention, le programme Matoy vise à créer des emplois et à améliorer les revenus des 10 000 ménages producteurs de blé dans le Vakinankaratra.

Dans IRIN News
The reforestation project, which started in 2003, is funded by international donors including the Finnish Ministry of Foreign Affairs and the Finnish airline, Finnair. It employs about 100 local people - some as full-time tour guides and educators and others to re-plant the forest for a few hours a day. (..)  “We cut away the pines and eucalyptus and replace them with 150 different kinds of endemic species and exotic bushes such as Rubus and wild ginger,” said Titta Lassila, of the Finnish Association for Nature Conservation, which is collaborating with the association on the forest recovery project. “Those eucalyptus trees are like a sponge, they take all the water out of the soil.”

Dans Madagate
Le gouvernement du Japon a alloué une contribution financière de 900 000 dollars américains (environ 2 milliards d’ariary) au Programme Alimentaire Mondial des Nations Unies (PAM). Ce financement permet au PAM de venir en aide à 62 000 personnes en situation d’insécurité alimentaire à travers des distributions de vivres pour la création d’actifs dans les régions exposées aux sécheresses, cyclones et inondations. (..) Alors que près d’un quart de la population de Madagascar est en insécurité alimentaire[Evaluation des récoltes et de la sécurité alimentaire PAM/FAO 2013], le PAM, faute de financements suffisants, assiste près de 400 000 personnes sur les 800 000 identifiées comme ayant besoin d’aide. Près de 16 millions de dollars américains (environ 42 milliards d’ariary) sont nécessaires pour couvrir les besoins jusqu'à la fin de l’année.

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