Mikama - April 14, 2014

Arh. dans Newsmada
Tous secteurs confondus, 13.977 établissements [entreprises] ont vu le jour en 2010, 21.431 en 2011, 22.019 en 2012 et 13.118 l’année dernière. Ces données figurent parmi les indications fournies par les Tableaux de bord de l’économie (TBE) de l’Institut national des statistiques (Instat), qui dressent un tableau général de l’évolution des créations d’établissements formels dans le pays. Les données fournies par l’Economic development board of Madagascar (EDBM) suivent cette tendance d’évolution. L’EDBM a enregistré en son sein 909 nouvelles entreprises en 2009, 1.040 en 2010, 923 en 2011, 997 en 2012 et 945 en 2013. (..) La reprise des relations avec les étrangers pourrait davantage améliorer le dynamisme économique du pays. Actuellement, la révision du dossier de Madagascar auprès de l’Agoa est en cours, représentant ainsi un atout considérable pour les industries textiles qui ont généré dans les 336.000 emplois avant la crise de 2009. D’autres accords de marché, auxquels a adhéré le pays, comme l’APE, ou encore les accords avec la zone de libre échange de la Sadc, renforcent en outre les perspectives de relance.

Noella Rakoto dans Newsmada
D’après les chiffres du ministère de l’Artisanat, ce secteur contribue à environ 10% du PIB, soit l’équivalent de 13.375.455 euros durant l’année 2013. (..) Plus de 2 millions des Malgaches sont des artisans, ils possèdent des matières premières de qualité, le savoir-faire, l’habileté et la culture de l’artisanat. « Les métiers se transmettent de manière séculaire sans s’inscrire dans une chaîne de valeur compétitive. L’irrégularité de l’approvisionnement en matières premières, le manque de moyens financiers, le manque d’accès au marché, etc., les barrières au développement de l’artisanat se multiplient, le condamnant trop souvent à n’être qu’un secteur-refuge informel où la précarité se perpétue », conclut-on.

Sera R. dans Newsmada
OLEP Madagascar : vétusté des matériels pour nos 4 850 km de côtes (..)
Faut-il également noter que 700 millions de tonnes de pétrole brut passent dans l’Océan Indien. De gros pétroliers y effectuent plus de 1 200 passages chaque année. Sans parler des 4 000 voyages de pétroliers de taille moyenne transportant 60 000 tonnes de produits par an.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Si les citoyens et la société civile ne peuvent jouir de leur droit d’être informés et de pouvoir participer à la gestion des affaires de l’Etat, c’est surtout à cause du manque incontestable d’informations libres et facilement accessibles. Pour  redresser cette situation, le PGDI2 et ses partenaires, dont, notamment, le FDL (Fond de Développement Local), veulent renforcer l’application de cette notion de “Transparence et Redevabilité sociale”. Cela coïncide d’ailleurs avec leur objectif d’instaurer la bonne gouvernance. Un atelier de partage sur les expériences et les bonnes pratiques sur le Budget Participatif (BP), qui est l’un des outils de Transparence et de Redevabilité Sociale (TRS), a été organisé la semaine dernière, au Plan Anosy.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Misère : 1/3 des Malagasy « démunis de tout ». (..) Ce chiffre est du dernier rapport de la Banque mondiale sur les « Visages de la pauvreté à Madagascar » (..) S’il [futur gouvernement] se contente de profiter seulement du rétablissement des relations avec le FMI sans se creuser la cervelle sur les voies et moyens pour sortir la population de la pauvreté, le pays connaîtra les mêmes cycles qu’auparavant : enregistrer dans quelques années des belles croissances économiques, un déficit budgétaire faible…, comme le FMI le souhaite, sans que ces facteurs macroéconomiques servent les pauvres.

Racl.R dans La Nation
« En dépit d’un environnement politico-économique difficile depuis le début de la crise de 2009, les échanges bilatéraux ont atteint 676,5 M €, soit une hausse de +6,7% par rapport à 2012 », a souligné le rapport de l’Ambassade de France a Madagascar. Il semble que c’est le secteur du textile qui reste le premier poste d’échanges entre les deux partenaires. En étant le premier client historique de la Grande île, la France a absorbé en 2013 un quart des exportations malgaches et elle est, avec une part de marché de 6%, le troisième fournisseur de Madagascar derrière les Emirats arabes unis (EAU) et la Chine.

Noella Rakoto dans Newsmada
70% des ménages pratiquent l’élevage, notamment dans les localités rurales. Les paysans y puisent leurs revenus, mais cela permet également d’assurer leur nutrition. D’après le réseau des observatoires du riz (ROR), l’élevage extensif est le type plus répandu. Les ménages ne consacrent que très peu de dépenses en alimentation et en soins vétérinaires, les dépenses moyennes annuelles étant inférieures à 10 000 ariary.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
En 2013, l’Agence sanitaire halieutique (ASH) a fait rentrer 374 milliards Ar, contre 354 milliards Ar en 2012. Notons que 76% de la redevance sur la pêche et 80% des recettes issues de l’accord de pêche avec l’Union européenne alimentent la caisse de l’Agence malgache de la pêche et de l’aquaculture (AMPA) dont le nouveau bâtiment a été inauguré hier à Nanisana pour 352,4 millions Ar. Grâce à ces fonds, l’AMPA finance le Centre de surveillance de pêche (CSP), l’observatoire de la pêche et de l’aquaculture, des projets du secteur pêche, etc.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
5,2%. C’est le taux de croissance prévu pour l’Afrique subsaharienne en 2014. Mais Madagascar prévoit seulement 3%.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Le dernier rapport de la Banque mondiale précise qu’en 2010, les rendements de l’éducation semblent avoir diminué par rapport à 2001. Ainsi, si une année supplémentaire permettait en 2001 d’augmenter les salaires de 5%, ce rendement était en 2010 inférieur à celui de 2001. Le même problème affecte  les zones rurales qu’urbaines ainsi que les sous-groupes (femmes et hommes). Mais les rendements de l’éducation en termes salariaux étaient plus élevés chez les travailleurs salariés (6%).

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Concernant la surveillance, le CSP [Centre de surveillance de pêche] arraisonne une dizaine de bateaux en infraction dont des petites embarcations et des grands bateaux de 300 t, contre une vingtaine auparavant. Par contre, les collecteurs et pêcheurs en infraction sont au nombre de 400 en 2013. (..) Ainsi, la vente de crevettes avariées et imprégnées de produits chimiques proposées dernièrement sur le marché de Mahajanga a été rapidement maîtrisée. Sinon, il est difficile d’évaluer les pertes occasionnées par les pêches illégales mais on sait seulement que pour les pays de la SADC dont Madagascar est membre, elles sont estimées à 1 milliard US$ par an.

Noro Niaina dans Newsmada
Depuis le premier cas de sida diagnostiqué en 1987, la prévalence du VIH dans la population adulte est passée de 0,02% en 1989 à 0,13%  en 2007 et à 0,4% en 2012. (..) En 2012, on estime à 42.370 le nombre de personnes vivant avec le VIH  dont 21.260 ont besoin d’antirétroviraux (ARV).  En 2011, Madagascar a souscrit à la déclaration politique pour l’atteinte des objectifs zéro : zéro nouvelle infection au VIH, zéro décès lié au sida  et zéro discrimination.










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