Mikama - April 25, 2014

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Il [Stéphane Raveloson, président du Syndicat des industries de Madagascar (SIM)]répond : « Toute entreprise est obligée d’exporter si elle veut élargir son marché. Il devrait donc y avoir un unique régime pour toutes les entreprises, qu’il s’agisse d’entreprises de droit commun ou d’entreprises franches. Il faudrait seulement trouver un consensus là-dessus ». Le SIM n’est pas le seul à ne pas trop apprécier la révision de la loi sur la zone franche. Le Groupement des entrepreneurs malagasy (FIVMPAMA) milite aussi pour un régime commun pour toutes les entreprises. Sinon, des industriels estiment que s’ils ont bénéficié des mêmes avantages que les entreprises franches, ils auraient pu créer plus d’emplois et de valeur ajoutée. Pour la relance économique, le SIM a des propositions pour la prochaine loi des finances rectificative dont la réduction des droits de douane sur les intrants. Et pour les investissements, un Code des investissements est nécessaire pour renouveler les équipements industriels. (..)  il souhaite que la loi sur la concurrence soit appliquée pour que toutes les entreprises soient sur le même pied d’égalité. L’idée est de remédier aux ravages de la concurrence déloyale à plusieurs facettes dont les ventes sans facture.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
L’énergie, le transport, la mise aux normes… sont parmi les coûts des facteurs qui pèsent lourds sur l’exportation. Ils rognent la compétitivité des produits de Madagascar. Mais hier lors de la clôture de la formation sur l’exportation organisée par l’International trade board of Madagascar (ITBM) à la Chambre de commerce, l’on a appris que les procédures administratives pour l’exportation coûtent souvent plus chères que le coût de l’exportation lui-même.

Dans Reuters
The Government of Japan has contributed US$900,000 (nearly two billion Malagasy ariary) to the United Nations World Food Programme (WFP) for assistance through food-for-work activities for 62,000 people in disaster-prone areas in the south and south-east of Madagascar (..)
At a time when nearly a quarter of the Malagasy population is food-insecure, WFP's programmes in the country are experiencing funding shortfalls. As a result, WFP can only assist half the vulnerable people (400,000 of 800,000) it intended to reach and needs US$16 million (nearly 42 billion Malagasy ariary) to continue activities until the end of the year. Nevertheless, WFP is pursuing efforts to raise funds to continue its various programmes: food/cash for work; school meals; nutritional support to malnourished HIV/AIDS and tuberculosis patients; and supplementary feeding for pregnant/nursing mothers and children under two years of age

Dans The People Daily Morning Star
Mamy Rakontrainibe, of Tany in France, explained how the company QIT Minerals Madagascar is 80 per cent owned by Rio Tinto and 20 per cent by the government. The mining operations have resulted in destruction of the environment, including pollution of the air and rivers. (..) “RT have denied local people access to the forests,” said Rakontrainibe. (..) However the fightback has gained strength over the last four years, with indigenous people organising barricades around the mining operations. These activities began in October 2010 with just a few people but now around 8,000 are taking part. Zafinandro called for help in rolling back the power of the company in Madagascar.

Navalona R dans Midi Madagasikara
Au cours des dernières années, la finance islamique s’est développée rapidement dans le monde. Ses actifs financiers ont connu une hausse annuelle de plus de 10% et ont représenté plus de 0,5% de l’ensemble des actifs mondiaux en 2010. « Comme avantage, la finance islamique n’applique pas de taux d’intérêt car c’est interdit dans le Coran », a expliqué Ramiliarison Andriampeno, directeur du programme chez Madagascar-Development Learning Center (DLC

Dimisoa dans Newsmada
Cette année, la filière vanille connaîtra une production importante. Selon les professionnels de la vanille, les récoltes seront bonnes et ils envisagent d’exporter 1 800 tonnes. Une quantité évaluée dans les 200 milliards d’Ariary. Toutefois, ces professionnels craignent un éventuel monopole de deux opérateurs qui envisagent d’acheter toute la production de vanille. Le seul problème, c’est que ce prix local pourrait faire flamber une fois de plus les cours internationaux de la vanille préparée malgache, qui se négocierait à partir de 90 dollars le kilo sur le marché international. (..) A noter qu’en 2012, la production nationale de vanille préparée exportable était d’environ de 1 200 tonnes. Une production qui est descendue à un peu moins de 1 000 tonnes en 2013 à cause d’une faible floraison.

Soa R dans Newsmada
Près de 300 000 jeunes débarquent sur le marché du travail chaque année, avait fait savoir le ministre de l’Economie... Le premier indicateur au rouge est la pauvreté extrême qui explique les données de l’OIT avec 8 sur 10 jeunes Malgaches issus de milieux pauvres voire très pauvres à travers la Grande Ile. (..) « Le pays ne dispose d’aucun système d’apprentissage. Ce sont surtout les organismes privés qui prennent plus d’initiatives à former les jeunes sur un domaine défini. Il n’y a en effet aucun cadre global dans lequel les jeunes puissent se référer », a ajouté le représentant de l’OIT...

Racl.R dans La Nation
Pour exceller dans le domaine de l’exportation, les femmes entrepreneurs réunies au sein de l’organisation Entreprendre au Féminin de l’Océan Indien (EFOI) ont été formées dans l’utilisation du logiciel d’analyse de marché, de la certification de produit et développement durable en partenariat avec l’International Trade Board of Madagascar.

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