FAO in Emergencies
Two-thirds of the country could be infested by September 2013. Findings from a damage assessment conducted in May 2013 indicate that rice crop losses due to locusts in 2012/13 vary from 10 to 40 percent in 17 of Madagascar’s 22 regions. (...) It is estimated that at least three successive locust control campaigns costing USD 41.5 million are required to treat over 2 million hectares between September 2013 and September 2016 (1.5 million hectares in 2013/14; 500 000 hectares in 2014/15 and 150 000 hectares in 2015/16). (...) The current funding gap is USD 24.8 million of which USD 5.7 million are still urgently required for FAO to be able to carry out an effective large-scale locust campaign in 2013/14 and USD 19.1 million are required for the 2014/15 and 2015/16 campaigns. Should all the funds not be available on time to undertake the campaigns, the plague could wipe out food crops and livestock pastures – and with it, a family’s ability to provide for itself.
IRIN - Humanitarian news and analysis
Learning to read in Madagascar
According to figures from the UN Development Programme (UNDP), more than 40 percent of women over the age of 15 are illiterate in Madagascar. Female literacy is even lower in the area where Marie Louise lives. Around Toliara, capital of the Atsimo-Andrefana region, UNDP puts the rate of illiteracy as high as 70 percent.
(...) The UNDP-funded programme has developed an intensive course for adult learners to achieve functional literacy. Participants are taught the skills they need for their particular livelihoods – vendors and fishermen are taught simple arithmetic, while potential waitresses are taught to read menus and do simple sums, and learn how to talk to customers. (...) The Malagasy government drafted a national adult education policy in 2003, and a national strategy in 2008, after it found that around 27 percent of 10 million Malagasy over the age of 15 could not read, write or do simple calculations. The previous government listed adult literacy as one of the nation’s greatest challenges in a national poverty reduction plan it drafted in 2006, but the national plan was never implemented.
Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Officiellement, les activités de la société Wisco à Soalala sont suspendues parce qu’elle n’a pas respecté d’autres engagements prévus lors de l’octroi du permis, notamment la construction d’infrastructures. Mais ce problème ne concerne par la SIF et le maire d’Ambohipaky qui réclament simplement le respect de la loi pour préserver leurs droits fonciers et humains afin de préserver la paix sociale.
Navalona R. dans Midi Madagasikara
Parlant des vols intérieurs, la compagnie aérienne nationale exploite 57 aérodromes sur les 132 recensés au niveau de l’Aviation Civile de Madagascar, suite à une évaluation. (...) Notons que le nombre des touristes choisissant la destination Océan Indien, y compris les îles Maldives, est évalué à 2 millions de personnes chaque année alors que Madagascar qui est un petit paradis sans parler de sa biodiversité à fort taux d’endémicité, n’a pu accueillir pour l’heure qu’entre 225 000 et 230 000 touristes par an.
Courrier dans NewsMada
Journée internationale de la démocratie et de la paix : faire mieux entendre les voix de la population
A l’instar de plusieurs pays dans le monde entier, Madagascar a célébré hier la journée internationale de la démocratie, et célébrera ce 21 septembre la journée internationale de la paix. L’ensemble des manifestations est organisé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (Pnud).
NIR dans La Gazette de la Grande-Ile
Semences améliorées: Un facteur incontournable
Antoby est parmi les villages grands producteurs de riz de la région Itasy. Actuellement, elle procède à la production de semences améliorées. (...) En 2010, on n’enregistrait que 10 industries produisant de semences améliorées dans toute l’île.
Marie Calmettes dans LE MONDE
Madagascar : Madacompost change les déchets en or
Un peu d'or dans la boue, c'est bien la logique de l'économie circulaire : tout en recyclant, l'entreprise peut gagner de l'argent... et embaucher du personnel. Une trentaine de permanents travaillent à Madacompost, ainsi qu'entre 60 et 100 journaliers en fonction des besoins. Le personnel de la décharge a fondé son association, Mihary, afin de financer les frais de scolarité de leurs enfants, avec l'appui du site MyLocalProject.org.
FLASHBACK : Aux origines des Antankaranas (1 et 2)
Les premiers habitants de la région Nord de l'Ile appartenaient aux tribus Vohilava, Antambohitsy, Antamboroko et Antanala qui vivaient dans la région de l'Ankara. A cette époque, aucune demeure, pas la moindre case, les grottes de l'Ankara leur servaient d'habitation.
Il est fort probable que c'est là l'origine du nom d'Antankarana qui est actuellement le leur. Quelle est l'origine de cette race, et d'où descend- t -elle ?
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