Valis dans Tribune Madagascar
1472 individus de plus de 18 ans choisis de manière aléatoire dans les six districts de la capitale, ont été enquêtés par les membres de l’association de jeunes, Liberty 32 et la Friedrich Ebert stiftung (Fes) sur la participation citoyenne en matière de politique. Les résultats de l’enquête ont démontré qu’en dépit des difficultés de la vie, ces citoyens demeurent branchés dans l’actualité nationale et notamment la vie politique.
Hade'nah dans La Nation
Selon l’enquête d’Afrobaromètre, menée du 11 mars jusqu’au 07 avril 2013, près d’un Malgache sur deux déclare avoir peur d’être agressé chez lui. Ce chiffre est passé de 28% en 2005 à 45% en 2013.
(...) Selon toujours l’enquête menée par Afrobaromètre, cette crainte est beaucoup plus marquée en milieu urbain avec 60% des personnes enquêtées éprouvant un sentiment d’insécurité dans leur propre quartier. En matière de sécurité, la campagne électorale n’est pas pour diminuer l’appréhension des Malgaches. Près d’un individu sur quatre a déclaré avoir eu peur ou très peur d’être victime d’intimidation politique ou de violence pendant les campagnes électorales. Cette violence s’explique par le fait qu’un Malgache sur six pense qu’il est parfois nécessaire de faire usage de la violence pour une bonne cause.
Samson/N. Randria dans NewsMada
Cet observatoire a ainsi publié une liste de questions visant à davantage de précisions sur les programmes de ces candidats afin de pouvoir, par la suite, en faire un suivi durant le mandat de celui qui sera élu.
Parmi ces questions, le Sefafi demande aux candidats leurs politiques dans divers secteurs, notamment, en ce qui concerne la politique de décentralisation, celle de la sécurité et de la défense, dans le domaine de l’administration publique, de l’information, de la justice, de l’éducation, des ressources naturelles, la politique sociale et de l’emploi, ainsi que la politique économique et foncière
Bill dans Tribune Madagascar
Lors de la conférence de presse qu’il a tenue ce jeudi 26 septembre à Faravohitra, Serge Zafimahova a décortiqué l’affaire de cession d’actions du Crédit Agricole, partenaire de référence de la banque BNI Madagascar. Sur la base du mémorandum rédigé apparemment par de petits actionnaires de cette banque, il interpelle le Premier ministre Omer Beriziky pour qu’il prenne ses responsabilités et porte l’affaire devant le Conseil d’État – car l’État malgache disposant du tiers bloquant, est en mesure de s’opposer à la transaction.
Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
«La petite enfance malgache a un bon niveau intellectuel». C'est ce qu'a révélé le document Repères de développement du jeune enfant, présenté hier, au siège de l'Unicef à Andraharo. Le document résulte d'une étude scientifique et psychologique qui détermine la capacité intellectuelle de la petite enfance. Il va conduire à un curriculum pour harmoniser l'éducation en préscolaire dans les établissements publics et privés.
Hanitra R. dans Midi Madagasikara
Intitulé justement « Repères de développement du jeune enfant » ce document [de référence sur l'éducation des jeunes enfants] précise d'une part, les compétences et connaissances attendues chez le jeune enfant à chaque âge, et fournit, d'autre part, des conseils aux adultes pour accompagner le développement de l'enfant. Fruit d'une recherche scientifique effectuée sur un échantillonnage d'enfants de 0 à six ans, ce document a été conçu à partir de l'étude des capacités et des spécificités de l'enfant malgache.
Fahranarison dans NewsMada
Le taux de préscolarisation est faible. De l’ordre de 10 % dans les écoles publiques contre 80% dans les écoles privées en 2010, mais avec une concentration dans les grandes villes (...) Pour la Depa, les actions en perspectives sont, entre autres, l’élaboration du curriculum pour le préscolaire, qui a déjà débuté ce mois de septembre, et le renforcement du suivi des centres préscolaires publics et privés. Notons qu’il existe actuellement 2.500 centres préscolaires et 32 autres vont être mis en place cette année. L’objectif principal est de ramener le taux de préscolarisation à 13 %.
Aina R. dans Midi Madagasikara
FANOME est en fait, un système de recouvrements des coûts en santé, basé sur l'entraide communautaire. Il alimente également le fond d'équité qui permet aux plus démunis d'avoir un accès gratuit aux soins. Ce système permet aussi d'approvisionner la pharmacie du centre de santé de base, qui est une pharmacie à gestion communautaire (PHAGECOM). Une partie des recettes de la vente des médicaments assure ensuite le renouvellement du stock. (...) Depuis le début du projet en octobre 2012, 28 centres de santé de base sur les 44 fermés depuis la crise politiques de 2009 ont ou sont rouverts grâce au PASSOBA - SANTE, et depuis le début de la mise en oeuvre de ce programme, plus de 105 000 personnes ont maintenant accès aux CSB dans leurs communautés.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grand-Ile
« Le nombre de routes en état de dégradation avancée augmente de jour en jour et les menaces de coupure se multiplient non seulement dans les zones éloignées mais aussi dans les grandes villes ». Ce fonds [Fonds d’entretien routier (FER)] est chargé des travaux d’entretien courant du réseau routier national de 12 000 km et des routes communales. Mais il ne dispose plus du financement nécessaire, alors que 10% de son fonds doivent également être affectés aux travaux d’urgence et surtout pour les travaux post-cycloniques. (...) L’insuffisance de financement du FER s’explique par le maintien des prix du carburant décidé par le gouvernement depuis 2010. Cette décision est assortie de subventions et de facilités pour les compagnies pétrolières. Le non-paiement de la Redevance d’entretien routier (RER) fait partie de ces facilités. Le ministère des Travaux publics lance donc : « Cette redevance qui se trouve dans la structure de prix des carburants est la principale ressource qui alimente le FER. Actuellement, le blocage du prix à la pompe perturbe totalement les activités d’entretien routier compte tenu de l’absence de reversement de cette redevance de la part des distributeurs pétroliers ».
Anjara Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
Le projet Ranon’Ala, financé par l’USAID à hauteur de 5,5 millions $ USD, est un projet d’adduction d’eau potable, et une sensibilisation sur l’hygiène et l’assainissement qui a ciblé Soanierana Ivongo, Mananara et Maritandrano. Les activités se sont déroulées sur trois ans et ont fait bénéficier plus de 75 000 personnes. Plus de 70 % de la population des villages dans les zones d’intervention du projet ont constaté une nette amélioration de l’adduction d’eau potable, allant de 1 % à plus de 70 %.
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