Établir un contrat social. L'Observatoire de la vie publique (Sefafi) élabore un questionnaire dans le but de solliciter la manière dont les prétendants à la course à la magistrature suprême comptent gérer certains chantiers du pays.
Dans son communiqué, le Sefafi élabore un questionnaire concernant sept secteurs différents. Politique de décentralisation, politique de l'administration publique, politique de l'information, politique de la justice en font partie. Il en est de même de la politique des candidats en matière d’éducation, d’emploi, mais également d’économique et foncière.
Anjara Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
Entrepreneuriat social : Le capitalisme en faveur de toute la communauté. L’entrepreneuriat social est un concept qui consiste à entreprendre dans un domaine économique pour répondre aux besoins sociaux et environnementaux. Une pratique qui commence à avoir ses adeptes à Madagascar.
(...) « Petit à petit, le contexte social devrait changer. Ne plus se contenter des dons, ni même de donner, mais s’impliquer et concerner également les bénéficiaires » explique Mandimby Rajerisoa Rasata, jeune entrepreneur, un des piliers du projet Restau du cœur à Madagascar. « Pour cela, il faut être transparent, à la fois dans son projet mais surtout dans les comptes. Et vous allez voir qu’on peut faire beaucoup de choses avec trois fois rien » dit-il.
NIR dans La Gazette de la Grande-Ile
Avec ses 5.000 km de côtes, Madagascar a de réelles opportunités pour l’exploitation des ressources halieutiques. (...) Quoique, il y a plus d’une quinzaine d’années de cela, on recensait déjà 1.250 villages de pêcheurs pour 42.556 pêcheurs à Madagascar. Depuis l’année 1998, la statistique officielle révèle le nombre de 100.000 pêcheurs pour tout le pays.(...)En dépit de tel contexte défavorable, les 75% de la production halieutique pour la consommation nationale à Madagascar sont réalisés par cette pêche traditionnelle tant maritime que continentale. (...) Par ailleurs, on a constaté que les ressources halieutiques ont diminué de moitié depuis 1990.
Valis de Tribune de Madagascar
Le réseau malgache Afrobaromètre a présenté ce jeudi 26 septembre les résultats de ses enquêtes 2013. Il en est ressorti que l’incompétence des dirigeants politiques qui se sont succédé, demeure dans l’opinion comme le facteur de blocage du développement du pays ; ils sont 44% des personnes enquêtées à penser ainsi. Certains estiment que l’ingérence étrangère ou la néocolonisation sont également à la source de ce blocage.
Note: Afrobarometer web site
Newsmada
Le résultat des enquêtes menées par la fondation Freidrich Ebert Stiftung et Liberty sorti jeudi dernier démontre que 65% des enquêtés ne sont affiliés à aucun parti politique. (...) 33,3% d’entre elles espèrent la venue d’un messie pour sortir le pays de la pauvreté.
Une part non-négligeable, en plus des 28 ,3% des enquêtés qui ne savent pas encore s’ils iront voter ou non, que chaque candidat va devoir convaincre quant à la sincérité de leurs démarches, une fois élu.
Une mission difficile pour chaque candidat, toutefois, étant donné que près de 72% des gens sont convaincus qu’actuellement, les politiciens priorisent leurs intérêts personnels plutôt que les intérêts de la majorité, d’après ce sondage.
Noella Rakoto dans NewsMada
« A Madagascar, les impacts du changement climatique se traduisent par un raccourcissement du cycle pluviométrique, ou son retardement et parfois même son interruption. Cette situation a pour conséquence directe l’insuffisance de la production rizicole ». Il prend le cas du lac Alaotra comme exemple qui, d’après lui, s’assèche tous les 3 ans, notamment en février.
« Pour pallier cette insuffisance, on conseille aux paysans de pratiquer l’agriculture de conservation. Celle-ci a plusieurs avantages dont le premier est la stabilité de la production. En plus, cela permet d’augmenter l’infiltration de l’eau pour l’alimentation de la nappe phréatique », explique notre interlocuteur. Après 3 à 4 ans, l’agriculteur n’aura plus besoin d’utiliser de l’engrais car la terre aura été fertilisée.
Racl.R dans La Nation
Le manioc a été considéré depuis longtemps comme un aliment de bétail ou un aliment de pauvres à Madagascar. Mais des recherches effectuées par le FOFIFA, en collaboration avec l’Institut International d’agriculture tropicale (IITA) avait permis de produire une farine de manioc de haute qualité qui peut servir dans la boulangerie et dans la pâtisserie, sans être « décalcifiant » comme on a souvent tendance à le faire croire.
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