Mikama - September 17, 2013

La Gazette de la Grande-Ile
... Vulnérabilité spécifique au changement climatique: Peu d’experts disposent des compétences et des connaissances nécessaires. Les observations depuis 1950 ont montré que la température de l’air de l’île a augmenté de façon continue et significative (entre 0.2 et 0.4 °C) jusqu’à maintenant. Une grande variabilité sur les précipitations a été observée tandis que le nombre de jour de pluie a été réduit entre 20 et 60 jours depuis ces derniers 45 ans. Depuis 1994, la fréquence des cyclones intenses (avec des vents supérieurs à 150 km/h) ayant touché terre a augmenté très significativement. (...)  l’intégration du changement climatique dans les plans de conservation et de développement est aussi un besoin à long terme pour le pays et requiert plus de compétences.

NewsMada
Selon diverses informations, la production de graphite à Loharano, l’autre zone d’exploitation de la société StratMin Global Resources avec celle d’Antsirabe, aurait démarré la semaine dernière. Cette société y dispose d’une usine dont la capacité atteindrait 1 000 tonnes par mois au deuxième semestre 2013, avec du minerai à une teneur en carbone de 82%, en-dessous d’un objectif de 90%.


R.Edmond dans Midi Madagasikara
(...) facilitation du commerce transfrontalier par le biais de systèmes informatisés et dont le propre est d’accélérer le processus et de réduire les coûts des échanges. Sur ce point, justement, Madagascar est visiblement en avance, notamment dans le domaine du dédouanement où le guichet unique Tradenet opéré en partenariat avec Gasynet S.A fait ses preuves. (...) « Pour le cas spécifique de Madagascar, nous essayons d’aller de l’avant, ... celui de dématérialiser toutes les autorisations qui doivent être présentées au moment des contrôles douaniers aux frontières, à partir de juillet 2014 » a-t-il [Vola Razafindramiandra, le Directeur Général des Douane] notamment lancé.

Racl. R. dans La Nation
Quand on veut faciliter le commerce, que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur, le processus douanier est primordial pour sa réussite. Le délai de dédouanement cause parfois des désagréments pour les opérateurs économiques dans leurs activités alors que l’informatisation de ce processus pourrait réduire ce processus. L’intégration du système de guichet unique en est la solution (...) le guichet unique mettra en relation les douanes du monde entier pour ainsi faciliter le processus de dédouanement.

Noella Rakoto dans NewsMada
Ambatovy continue à aider la population délocalisée. Effectivement, des représentants d’agriculteurs et d’artisans de Vohitrambato ont pu prendre part à l’évènement économique Fier Mada, du 7 au 11 août dernier, grâce à l’aide de la compagnie minière. (...) « Avec cette participation, nous avons pu promouvoir les produits de notre village qui ont intéressé beaucoup de visiteurs. Nous étions les seuls à exposer de jeunes plants de cola, ce fut notre particularité. Par ailleurs, nous avons obtenu un partenariat pour la production de jeunes plants de corossol, de pomme cannelle et de banane plantin.» Ce genre de participation pourra aider à sensibiliser les autres villageois sur l’adoption des techniques agricoles améliorées pour ensuite envisager la production et la vente des produits dans la capitale.

Afrique Infos
Le programme de la société civile malgache « Dinika » (Dialogue), visant à promouvoir la bonne gouvernance à Madagascar, et lancé mardi par l'Union européenne s'est dotée d'un financement de 10 millions d'euros, apprend-on du communiqué de presse de cette dernière, mardi. Le Programme Dinika s'articule autour de 5 axes notamment l’amélioration de la gouvernance, l'appui aux initiatives des acteurs émergents, la structuration des Organisations de la société civile (OSC) Malagasy, la culture citoyenne ainsi que la capitalisation et la diffusion de l'information.

Iloniaina Alain dans L'Express de Madagascar
Bruno Rakotoarisoa estime que l’initiation à l'utilisation du bulletin unique devrait être organisée six mois à l'avance. « Ce qui n'est pas encore le cas », ajoute-t-il alors que Hery Rakotomanana insiste sur la « faille » de la liste électorale. « L'exclusion d'une frange d'électeurs pourrait porter préjudice à la démocratie », affirme-t-il pour parler de ceux qui ont un problème de carte d'identité nationale.
De son côté, Madeleine Ramaholimiaso aborde le financement de la campagne électorale. Tout comme l'Observatoire de la vie publi­que (Sefafi), elle souligne la nécessité d’un contrôle autour de celui-ci. « Mais personne ne pipe mot », déplore-t-elle. (...) De son côté, Sahondra Rabenarivo, tout comme les « experts nationaux », monte au créneau pour faire remarquer l'incohérence des textes concernant les fonctionnaires d'autorité. (...) La juriste considère que la disposition est contraire au code électoral. « La prohibition de l’article 45 est une interdiction ferme et sans nuance et, contrairement à multiples au­tres articles du Code électoral, ne prévoit pas l’adoption de règles explicatives par voie réglementaire », soutient-elle. « Un décret étant toujours inférieur à une loi, ne peut donc pas la modifier. En d’autres termes, un décret ne peut pas modifier la règle générale en soustrayant certaines “autorités politiques” ! (…) Ce décret serait aussi con­traire à la feuille de route qui, malgré tout, est aussi une loi», conclut-elle.

Valis dans Tribune de Madagascar
Le Groupe des experts nationaux (GEN) continue de tirer la sonnette d’alarme
Il revendique pour l’année 2014 et l’avenir, une réglementation sinon une loi plus rigoureuse pour la transparence des financements des campagnes électorales des candidats car tout le monde constate déjà des dépenses énormes alors que la campagne n’a même pas commencé. (...) Le Gen considère que la confection et l’élaboration de la liste électorale sont préoccupantes. En près de deux ans, le nombre d’électeurs inscrits dans la liste électorale jusqu’ici est d’environ un peu moins de 8 millions ; il a diminué par rapport aux estimations fondées sur les statistiques officielles de l’Instat qui sont de près de 11 millions.

DOSSIER: Analysis: Behind China’s aid structure
IRIN - Humanitarian new and analysis
"China has at least nine kinds of aid," Deborah Bräutigam, a leading scholar on Chinese aid to Africa and a professor at the Johns Hopkins School of Advanced International Studies, notes in her book, The Dragon’s Gift. "Medical teams, training and scholarships, humanitarian aid, youth volunteers, debt relief, budget support, turn-key or ‘complete plant’ projects [infrastructure, factories], aid-in-kind and technical assistance."
The country gives money through three mechanisms: interest-free loans; grants; and preferential interest loans or tied loans, according to Xue Lei, a research fellow of Shanghai's Institutes for International Studies. "Most of the foreign aid is provided in the form of project aid," he told IRIN. (...) While the US Agency for International Development (USAID) and the UK’s Department for International Development (DFID) provide large amounts of funding to support government budgets in areas such as education, China prefers to instead to work on a single project, such as building a school, or provide scholarships to students to study in China. (...) "In many contemporary accounts of Western aid and capacity-building in Africa, there would not be a close connection between aid and trade," King writes in his book. China by contrast, sees a very important link between private business and aid. Indeed, this is a core element of China's official view to development. There are three main organs controlling Chinese aid: the Ministry of Commerce, the Ministry of Foreign Affairs and China's Eximbank. The State Council - China's cabinet - has oversight, and approves the annual budget, grants and aid projects over a certain amount, as well as aid to politically sensitive countries. The Ministry of Finance is also responsible for giving aid to multilateral organizations, such as UN agencies. The Ministry of Commerce (MOFCOM) is the principal institution for Chinese aid, and houses the Department of Aid. It is in charge of distributing all zero-interest loans and grants. The Ministry of Foreign Affairs coordinates with MOFCOM to decide aid allocations, and is the on-the-ground diplomatic point of contact for Chinese firms and interests in Africa. But the relationship between the two ministries is often tense, and, as experts have argued, conflicting interests between the multiple agencies sometimes hurts Chinese aid policy.

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