SeFaFi dans Tribune de Madagascar
Maro dia maro ireo nitaky fanavaozana lehibe tamin’ny fifidianana filoha tamin’ny 2001 sy 2006. Anisan’ireny ny SeFaFi. Betsaka tamin’ireny faniriana ireny ankehitriny no tafiditra any anatin’ny lalàm-pifidianana. Saingy, tahaka ny zava-mateti-pitranga eto Madagasikara, dia misy elanelany goavana eo amin’ny lalàna voasoratra sy ny fampiharana azy eo amin’ny asa, ary toa hoe ny manam-pahefana no mampisy an’io elanelany io (mpanao politika, mpanao fanjakana, mpamatsy ara-bola...) mba hitondrana kokoa amin’ny lohany ny valala tsy mandady harona. Tsy azon’ny demokrasia ekena izany, ny mifanohitra amin’izany no takiany dia ny hanarahan’ny vahoaka maso ny mpitondra sy izay ataony rehetra, ary manampy azy amin’izany izay mpandray anjara rehetra tsy ao anatin’ny fitondrana, toy ny gazety sy ny fiarahamonim-pirenena.
Arnaud R. dans midi Madagasikara
Vu le rapport de l’Unité de Soins Intensifs en Cardiologie (USIC) de l’hôpital Befelatanana, les Malgaches sont très vulnérables à la maladie cardio-vasculaire. En effet, l’on rapporte que 25% des Malgaches en sont atteints. Et les cas qui tuent le plus de patients hospitalisés seraient les tensions artérielles très élevées, qui se voient généralement chez les plus de 18 ans.
Selon les explications, 95% des personnes atteintes de ladite maladie seraient victimes d’hypertension et en meurent, avec des causes non clarifiées. Et 5% seulement sont victimes d’infarctus du myocarde. En outre, d’après les informations recueillies, l’on avance que neuf médecins cardiologues seulement sont encore en activité à Madagascar pour les plus de vingt millions de Malgaches.
La Gazette de la Grande-Ile
Conscient de l'expansion rapide du réseau de téléphonie mobile à Madagascar, Blue ventures a pensé au Smartphone pour la collecte et la transmission rapide de données sur les pêches. L'ONG a donc travaillé sur le développement d'une application Smartphone via le kit open data (http://opendatakit.org/about/). Elle a également expérimenté un nouveau système de collecte de données dans ces régions du Grand Sud. L'objectif de ces différents instruments est de permettre la saisie et la transmission des données normalisées grâce à un système de menus et des conseils, la prise de photos de chaque animal débarqué par les pêcheurs.
Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Le ministère de la Décentralisation, par exemple, n'a pas manqué d'user du rapport 2012 sur l'exercice fiscal 2010 pour interpeller les maires des communes qui abritent des sites miniers par rapport aux parts qui leur étaient destinées et qui s'élèvent à 566 543 764 ariary pour cette seule année. Ce chiffre correspond au frais d'administration (FA) qui devait leur être reversé par le Bureau des cadastres miniers (BCMM).
Rojo N. dans NewsMada
Deux pratiques agricoles de faire-valoir connaissent une évolution en tache d’huile. Il s’agit du métayage et du fermage qui sont très prisés en milieu rural malgache mais qui tendent à nuire au développement agricole et à l’aménagement foncier. (...) Le métayage consiste à confier l’exploitation d’un terrain à des personnes autres que son propriétaire. En contrepartie, les deux parties se partageront les produits agricoles au moment de la récolte. Quant au fermage, il consiste à percevoir un loyer indépendamment de la production dont l’usufruit revient intégralement au locataire. Cependant, le métayage et le fermage sont interdits par la législation malgache pour des raisons économiques.
La Nation
Lorsqu’une banque malgache est rachetée par de puissants groupes financiers étrangers, il y a toujours des vagues. La dernière en date a été l’opération concernant la BNI après les houleuses négociations qui, en 2011 avaient précédé l’acquisition de 75% du capital de la BMOI auprès de BNP Paribas par le groupe français BPCE.
Toujours est-il que malgré les bâtons qu’on lui avait mis dans les roues et autres tracasseries administratives très proches des méthodes de gangsters, un groupe de banques suisses représenté par un certain Mr. SMITH, figurait parmi les acquéreurs pour le compte de financiers du bord du lac. Malgré les offres très avantageuses et alléchantes des Suisses, on avait appris avec stupéfaction par la suite que les hommes d’affaires helvétiques ont perdu la partie. Pourquoi et comment ? Mystère…
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