Industrie extractive: Recettes en net recul d’une année à l’autre.
Un peu plus de 88,3 milliards Ar en 2011, contre 290,8 milliards Ar en 2010.
Les recettes fiscales et parafiscales versées par les compagnies de l’industrie extractive (exploration pétrolière et mines) sont en net recul. Ces données récoltées pour l’élaboration des rapports de l’Initiative pour la transparence dans l’industrie extractive (EITI) montrent à quel point cette industrie est l’une des grandes victimes collatérales de la crise politique. Rappelons la non délivrance de nouveaux permis et même l’interdiction du basculement de permis de recherche en permis d’exploitation.
Note: Le Rapport de L'EITI, du site de l'EITI
Njaka Andriantefiarinesy dans NewsMada
Ho hita ao amin’ity ivontoerana ity avokoa ny karazan-draharaha ao amin’ny minisitera. Ho an’ny mpanondrana sy/na mpanafatra entana ny ivelany, ny fakana fahazoan-dalana manokana ny vokatra ara-tsakafo avoaka eny amin’ny seranana, ny fanokafana tsena vaovao, fikarakarana foara, fanangonam-bokatra.
Azo jerena ao amin’ity toerana ity koa ny momba ny fangatahana karatra matihanina ho an’ny vahiny tsy mikarama isam-bolana, sns.
Fanamarihana: Ny adiresin'ny Ministeran'ny Varotra
Online Wall Street Journal
Energizer Resources Inc. is pleased to outline the milestones the Company has achieved on its Molo Graphite Project in Madagascar (...) we [Energizer Resources Inc.] recognized the importance of building a strong interface with government and government officials of Madagascar, such as the Prime Minister and Minister of Mines, and to cultivate a positive experience at the local level in order to ensure acceptance and desire for our project to move forward. We have done both.
Energizer Resources Inc. is a mineral exploration and development company based in Toronto, Canada, which is focused on developing its flagship Molo flaked graphite deposit in Fotodrevo, southern Madagascar. The Molo deposit is located in the Green Giant Graphite project, and is held 100% within the joint venture (JV) entity with Malagasy Minerals Limited. Energizer has a 75% ownership interest and is the operator of the Project.
Petit commerce. Un rapide retour d’investissement.
Une raison des raisons pour laquelle plusieurs Malgaches arrivent à survivre malgré les emplois quasi-inexistants, c’est grâce au développement des petits commerces. (...) Cette commerçante peut investir jusqu’à 20.000 Ariary et en soutirer plus de 30.000, soit 50% de bénéfices à peu près, en une journée si les affaires marchent bien. (...) En outre, 21,3% de la population qui migre, le font pour pallier au chômage, selon le bureau international du travail. Cependant, beaucoup de ces petits commerçants ne connaissent pas les lois qui régissent le commerce en général. Ils exercent ce travail parce qu‘ils n’ont rien de mieux à faire. 7 commerçants sur 10 ne savent même pas ce qui est pratique légale et ce qui ne l’est pas. Ils ne savent même pas où se trouvent la direction générale des impôts ni même combien ils doivent payer. C’est comme cela que vive la majorité de ces petits commerçants qui remplissent les ruelles de la capitale et surement dans tous les endroits où ils peuvent vendre.
Racl.R dans La Nation
Infrastructures rizicoles. Environ 1,470 milliard USD pour leur réhabilitation.
D’après la Direction du Génie rurale, une fourchette de 500 à 1.500 Dollars/Ha serait nécessaire pour la construction d'un barrage hydro-agricole. Le potentiel de terres irriguées est loin d’être négligeable. En effet, si l’on ne parle que de la riziculture, première culture du pays pratiquée par 2.075.000 exploitants et dont la superficie exploitée représente 1,2 millions d’Ha, 78,7% c’est-à-dire 979 000 Ha de cette surface sont de type IRRIGUES (en 2005). (...) Le niveau de rendement des rizières qui stagne autour de 2,5T/ha pourrait atteindre 6T/ha avec de bonnes conditions d’irrigation et des techniques améliorées selon le rapport du PADR. (...) Qu’ils soient de conception traditionnelle ou nouvelle, les grands investissements remontent pour la plupart à l’époque coloniale et sur les cinq dernières années, seuls 100.000 Ha ont été aménagés (hors PSDR). Quelques projets comme celle de la banque mondiale, le projet Bassin Versant et Périmètres Irrigués (BVPI) travaille dans la réhabilitation des infrastructures d’irrigation dans les zones affectées par les cyclones, et appuie les paysans dans ses zones d’intervention en vue d’accroitre la productivité.
Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Depuis un mois, le ministère s'est lancé dans une campagne de scolarisation. Les spectacles de sensibilisation, les kits et les cantines scolaires font partie de sa stratégie pour conquérir les écoliers. « Le but de notre campagne pérenne qui sera entreprise est de réduire de 10% chaque année le nombre d'enfants en détresse. Aujourd'hui, plus d'un million et demi d'enfants en âge scolaire ne sont pas à l'école », a rappelé le ministre. (...) « L'analphabétisme est un fléau qui empêche le développement social, économique et culturel serein. Il faut susciter les intérêts locaux et régionaux pour l'alphabétisation. On souhaite le concours d'autres départements tels que la Santé, l'Environnement, la Population, l'Industrie, l'Artisanat,...en vue de l'alphabétisation », indique le DEPA, Arthur Mananjaona Ravelonjanahary.
Navalona R. dans Midi Madagasikara
12 millions d’Ariary. Tel est le montant des subventions allouées chaque année par l’Etat central pour le fonctionnement des communes. (...) Notons que ces subventions sont destinées à assurer les dépenses de fonctionnement de ces collectivités térritoriales décentralisées. On peut citer entre autres, le paiement des salaires du personnel de la mairie, la réhabilitation des infrastructures ainsi que l’achat des médicaments pour approvisionner les hôpitaux et les centres de santé de base.
DOSSIER : Thompson Andriamanoro dans Mada-PRO
Le nouveau paysage cultuel malgache.
D’où vient donc cette fringale de spiritualité qui semble s’être emparé de la société malgache, au point de reléguer aux antiquités la querelle entre «sabbatistes» et «dimanchards» sur le vrai jour de culte ?
Désormais toute la semaine s’y prête, certains l’expliquant par la paupérisation croissante d’une population qui n’a plus d’autre alternative que de croire au miracle. Faux car à regarder de près les adeptes de ces nouvelles Eglises, ils ne sont pas plus malheureux que les autres. Mais il serait tout aussi faux, devant le phénomène, de conclure hâtivement à un dépeuplement des grandes Eglises traditionnelles face à la nouvelle vague. Elles affichent toujours complet et ne se privent pas de le montrer lors des grandes occasions.
Alors ? (...)
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