Mikama - September 7, 2013

By Hanneke Brooymans, Postmedia News
Ecotourism offers hope in Madagascar
And therein lies Madagascar’s big challenge. Can it feed its people and also leave space and habitats for its collection of unique wildlife species?
About 80 per cent of inhabitants are poor, despite their astonishing work ethic. Most of the people appeared to be up by 5 a.m. local time (a birdwatcher can personally attest to this), fetching water from a well, cooking a simple meal over charcoal and beginning work or the trek to school. Not once did I see a tractor in a field. Citizens harnessed their zebu, the local cattle, to turn over their fields, but everything else — the planting, the weeding — was done by hand.
How do you ask them to make the effort to protect their incredibly rich and diverse wildlife when they barely eke out a living? Tourism seems like one of the few hopes.

R. Edmond dans Midi Madagasikara
Carrefour des entrepreneurs : Des innovations à la 5e édition
En organisant cet événement, la Jeune Chambre Internationale  (JCI) qui est engagée dans une action pour créer des changements positifs, se fixe comme objectif de promouvoir le secteur de l’agribusiness en y présentant  de nouvelles opportunités de partenariat et d’affaires pour les exposants, les participants et le grand public.
C’est dans cet esprit de création de nouvelles opportunités que la rencontre « Business to Business » a d’ailleurs été insérée au programme. Un concept innovant, du « business speed dating », octroyant à chaque participant 5 minutes pour présenter leurs produits ou une opportunité d’affaires devant une audience composée d’entrepreneurs et de partenaires potentiels.

Volana Rakotoharimanana dans L'Express de Madagascar
« Miteraka areti-maso ho an'ny ankizy ny fijerena fahitalavitra akaiky loatra sy maharitra ary ny famakiam-boky ela loatra. Ny tsy fahampian-tsakafo teo amin'ny reny nandritra ny fotoana nitondrany vohoka ilay zaza sy ny fahalotoan'ny tontolo iainana izay mahery vaika ankehitriny kosa no 
mahatonga izany aloha loatra », raha ny fanamarihan'ny Dr Ratsara­vokatra Benjamin, manampahaizana manokana momba ny fitsaboana maso.
(...)
Tratry ny tampoka tsy mahalehilahy. Niseho lany tato anatin'ny iray volana ireo olona torana tsy maha­tsiaro tena eny an-dàlana. Saika matetika mahazo antso mahakasika izany avy amin'ny toerana maro eto an-drenivohitra ny sampana mpamonjy voina sy ny Birao monisipaly misahana ny fahadiovana na ny BMH. Amin'ny ankapobeny dia vokatry ny tsy fahatomombanan'ny fahasalamana no mahatonga io fahatoranana tampoka eny an-dalana io. 
Ny lehilahy no tena be­tsaka iharan'izany. « Tsy fahampiana siramamy eo amin'ny vatana na hanoanana diso tafahoatra no fantatra fa mahatonga io fahatoranana tampoka eny an-dàlana i. Fantatra izany aorian'ny fizaham-pahasalamana atao amin'ireo marary tonga aty amin'ny hopitaly », raha ny fanamarihan’ireo mpitsabo eny anivon'ny hopitaly Befelatanana sy Ravoahangy Andrianavalona eny Ampefiloha.

La Gazette de la Grande-Ile
Au sein de la Kraoma, par exemple, règne en permanence une gestion très floue générée et entretenue par une absence de manuel de procédures formalisé, à jour et exhaustif. Conséquence : des abus perpétrés en termes de passations de marchés, de gestion des clients, des ventes et des stocks de carburant et qui n'ont jamais fait l'objet de mesures de redressement. Et pourtant, les abus touchent à des postes clés de la gestion de la société tels que les acquisitions ou les cessions d'immobilisations, ou encore l'attribution de contrats de ventes (concentration du chiffre d'affaires à un client trader unique depuis 2011) ou celle de contrats de prestation de services. Autre exemple, la société ne dispose pas non plus d'outil de contrôle de gestion et d'audit interne. Résultat : une non maîtrise des charges et un impact négatif sur la gestion financière et la trésorerie de la société ". " Pire, les états financiers présentés par la société affichent de graves erreurs, qui portent atteinte à la fiabilité des comptes.

Arh. dans NewsMada
La crise a aussi bien malmené de nombreux secteur que celui des agences et institutions de microfinance (IMF). L’inclusion financière constitue encore pour eux un défi à relever. Une étude de l’évolution de ces organismes face à la crise, effectuée par l’Agence française pour le développement (AFD), a révélé que la majorité de ces institutions sont présentes en ville où le secteur est devenu concurrentiel. Bien que ces institutions et leurs démembrements commencent à intégrer les zones rurales, une importante frange de la population ne bénéficie pas encore des services financiers de base.

Racl.R dans La Nation
La FAO estime qu’au moins, trois campagnes antiacridiennes successives, pour un coût total de 41,5 millions de dollars, seront nécessaires pour traiter plus de 2 millions d’hectares de septembre 2013 à septembre 2016, soit 1,5 million hectares en 2013/14, 500 000 hectares en 2014/15 et 150 000 hectares en 2015/16. Le programme triennal en réponse à l’invasion acridienne, préparé conjointement par la FAO et le ministère de l’Agriculture se concentrera surtout sur l’amélioration du suivi et de l’analyse des situations acridiennes, les opérations de lutte aérienne de grande envergure, le suivi des opérations de lutte et l’atténuation de leur impact sur la santé humaine et l’environnement et l’évaluation de l’efficacité de chaque campagne et de l’impact des criquets sur les cultures et les pâturages. Toutefois, il est vraiment souhaitable que ces programmes d’intervention porteraient vraiment ses fruits car une attaque de criquets comme celle de cette année pourrait entraîner le pays vers une famine.

Donas Hanitriniony R. dans La Verite
Le salon Top Resa constitue un rendez-vous pour les professionnels du tourisme pour se rencontrer, négocier, conduire et comprendre les évolutions du marché. (...) En juillet, des représentants de l’Office national du tourisme de Madagascar, les Offices régionaux du Tourisme d’Antsiranana, Nosy-Be, Antsohihy et Mahajanga ainsi que les opérateurs touristiques ont concocté la mise en place d’un circuit Nord-Ouest reliant Antananarivo et Antsiranana. Ce nouveau circuit sera présenté et vendu aux visiteurs du salon Top Resa 2013. Les lémuriens sont considérés comme des ambassadeurs de la destination Madagascar. 102 espèces sont répertoriées dont 90% endémiques de la Grande-Ile. (...) Le salon Top Resa constitue une opportunité de faire connaitre les richesses en biodiversité du pays.

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