Mikama - March 10, 2014

Racl.R dans La Nation
Les femmes entrepreneurs malagasy commencent à se démarquer des hommes et elles sont en grand nombre à Madagascar selon l’explication de la présidente de l’Entreprendre eu Féminin de l’Océan Indien-Madagascar (EFOI) Sylvia Pagès. « Le nombre de femmes est supérieur à celui des hommes à Madagascar mais elles sont tiraillées entre leurs devoirs conjugaux et leurs business. C’est pour cela qu’on ne les voit presque même pas », a expliqué Sylvia Pagès.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
L’accès au crédit devrait être l’un des instruments les plus efficaces pour accroître la capacité économique de la femme, notamment dans son cercle familial et communautaire.
Mais cet accès est très restreint pour les jeunes femmes en union de 15 à 49 ans. Elles sont seulement 3,8% à participer à un programme de microfinance. Si on fait la répartition par lieu de résidence, le taux est de 7,5% en milieu urbain et 3% dans les campagnes. Par contre, 7,6% des groupes d’âge des 45-49 ans accèdent au crédit. (..) Mais il faut noter que plus de 14% des femmes qui participent à un programme de microfinance ont des problèmes de remboursement.



Dans L'Express de Madagascar
« Tous les exportateurs de Madagascar, quels que soient leurs secteurs d’activité, peuvent intégrer le club. C’est un lieu de rencontre où il y aura des partages d’expérience, des logiciels qui permettront d’économiser du temps », précise-t-elle, en ajoutant que le Club est une commission spécialisée au sein de l’ITBM.

Dans L'Express de Madagascar
Pêche – Le système de sur­veillance par satel­lite opérationel. « Ce système permet de mettre en œuvre une politique de surveillance maritime régionale, une expression de la volonté des pays membres de la COI de lutter ensemble contre la pêche illégale, préjudice pour nos économies et nos environnements marins », confirme le secrétaire général de la COI, Jean Claude de l’Estrac.

Fanjanarivo dans La GAzette de la Grande-Ile
Mais il faut noter que d’après l’enquête de suivi des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD), la proportion de citadins vivant dans des taudis est de 83% environ, soit dans les 3 400 000 habitants. La location d’une habitation décente n’est plus à la portée de cette large majorité des citadins. Des gens qui ont pu louer un deux chambres à 60 000 Ar avant la crise, sont obligés de se rabattre sur une pièce étriquée à 30 000 Ar ou même à 20 000 Ar. Evidemment, une telle habitation n’est pas branchée à l’eau potable et souvent, elle n’a pas non plus l’électricité. De plus, elle est souvent située dans des quartiers pauvres, sales, non sécurisés… Mais pour le moment, environ 700 000 citadins seulement occupent une maison sécurisée.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
62,8% de la consommation d’énergie à Madagascar concernent les ménages, d’après les résultats d’une étude réalisée par le CREAM (Centre de recherches, d’études et d’appui à l’analyse économique de Madagascar). (..) Pour le reste, le secteur primaire ne consomme que 0,1% de l’énergie produite dans le pays, contre 8,6% pour le secteur secondaire et 28,6% pour le secteur tertiaire, dont 10,7% concernent le transport.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
En 2011, le secteur primaire constitue 30% du Produit Intérieur Brut (PIB) de Madagascar, contre 14% du PIB pour le secteur secondaire et 56 % du PIB pour le secteur tertiaire. Cette statistique révèle une toute autre réalité, parfois occultée, celle du rôle économique des villes. Avec seulement le tiers de la population totale, les villes contribuent à plus de 70% au PIB de Madagascar, dont près de 40% pour l’agglomération d’Antananarivo. Autrement dit, l’agglomération d’Antananarivo, à elle seule, génère plus de PIB que le secteur primaire. (..)  Sur près de 64 000 entreprises des deux secteurs confondus, 45% sont implantées dans la Région Analamanga, à Antananarivo, et 30% dans les Régions de Vakinankaratra et d’Atsinanana, plus précisément à Antsirabe et à Toamasina.

Dimisoa dans Newsmada
Le taux de pression fiscale à Madagascar figure parmi les moins élevés en Afrique puisqu’il se situe autour de 10 % du PIB selon les enquêtes de la Banque mondiale. Cette situation résulte d’au moins trois facteurs, à savoir : la structure de l’économie du pays, la collecte des impôts fortement inégale et l’évasion fiscale. (..) Le secteur qui contribue le plus est celui du tabac et de l’alcool avec 16,7 %, suivi de la prestation de services qui est de 15,2 %. Le secteur industriel n’arrive qu’à la troisième position avec 8,9 %, suivi de celui de la communication, 7,1 %. Ces quatre secteurs comptent ensemble presque la moitié de recettes fiscales intérieures. (..) De plus, le poids relativement élevé de la fiscalité, notamment de la TVA avec un taux de 20 %, incite aussi les entreprises à s’évader du système.

Dans La Nation
Angamba mbola tsaroan’ny tsirairay ilay fanafody famonoam-balana nantsoina hoe “Fipronil”. Voatery nampiatoana tokoa mantsy ny fampiasana io fanafody io taty aoriana noho ny fiantraikany ratsy teo amin’ireo razaboahary hafa tiy ny tantely. (..) Velaran-tany 250 000 ha, hoy izy no efa voararaka ranom-panafody miady amin’ny andiam-balala manerana ny faritra maro eto amintsika, ary hatramin’izay nanombohan’ny ady amin’ny valala tamin’ny volana oktobra tamin’ny taon-dasa izay. Izany hoe velaran-tany 10 000 ha isan’andro no voararaka fanafody. “Chlorpyrifos” mirefy 130 179 litatra sy “Téflubenzuron” mirefy 21 428 litatra kosa no efa naparitaka tamin’ireo velaran-tany ireo.


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