Mikama - March 3, 2014

Dans The Guardian
In 2008, African governments signed the eThekwini declaration committing to spend at least 0.5% of their GDP on sanitation and hygiene, and to put in place separate budget lines to improve accountability and help track progress. (..) As part of the agreement for what succeeds the millennium development goals (MDGs), which expire in 2015, countries should sign up to achieving universal access to basic drinking water, sanitation, and hygiene by 2030, the report says

Dans The Guardian
The extreme fluctuations in the world price of vanilla – from €25 (£20) a kilo in 2000 to €400 (£327) in 2004, then down by 90% as buyers switched to synthetic alternatives – also harm production, as farmers feel forced to give up the extremely labour-intensive spice in favour of more dependable crops. (..) "If we don't enhance vanilla growers' livelihood today, we won't have vanilla tomorrow," says Tenge. "We're establishing model farms in 32 villages to show farmers how they can re-cultivate their fields so they don't have to slash and burn forest land to get new fields. It means they're able to grow vanilla, but we're also teaching them how to grow better vanilla." The Unilever-Symrise-GIZ partnership is also about to launch three boarding schools for tomorrow's generation of farmers, where 120 teenagers will spend two years learning sustainable practices. Even though some 80% of Malagasy youth become farmers, the country's school curriculum doesn't feature agricultural education. (..) Lafaza has another solution: formed by former Madagascar Peace Corps volunteers eight years ago, the company buys its beans directly from Malagasy growers at a price 10-20% higher and shares profits with them. Its American, Malagasy-speaking experts also provide agricultural training to member farmers, and the company is currently building two libraries.

Dans La Nation
Selon les techniciens de l’eau à Madagascar, l’hydroélectricité pourrait bien solutionner le problème de délestage dans la Grande ile car le potentiel en eau existe bel et bien à Madagascar. Ils ont souligné qu’un investissement de 100 millions d’Ariary pourrait bien approvisionner 2000 personnes en électricité.


Dans L'Express de Madagascar
 « Depuis son existence, le PADR est intervenu dans l’élaboration de stratégies et la coordination des actions visant le développement du monde rural. A titre d’exemple, l’institution a réalisé le document de référence en développement rural en 2006. Du PADR ont aussi abouti les projets et programme intervenant dans ce domaine dont le PSDR, le BVPI », avance Bébé Razaia­rimanana, secrétaire permanent du PADR. (..) « Le conseil agricole est un concept plus ou moins nouveau pour les producteurs. Avant, il y a eu des vulgarisateurs, maintenant que ce n’est plus le cas des organisations, des projets et des sociétés ont adopté ce concept. Pour le cas de l’organisation paysanne FIFATA, nous intervenons dans onze régions. Nous visons les paysans vulnérables et très vulnérables pour donner des conseils sur la production et la gestion financière. Ces prestations sont gratuites. Ils sont appuyés financièrement par l’UE et l’AFD. Toutefois, dans certains cas, quand il s’agit de prestations fournies par des paysans formateurs qui assurent le relais, c’est payant », avance Andri­am­parany Ranoasy, directeur de la FIFATA.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Le PADR devient un outil de coordination et de veille informationnelle pour le développement rural. De hauts techniciens malagasy accompagnés de certains représentants des bailleurs de fonds ont travaillé bénévolement pour élaborer un cadre référentiel sur le développement rural, il y a 15 ans de cela. Il s’agit du Plan d’Action pour le Développement Rural qui devient une institution et un processus. Cette équipe de pionniers est devenue l’Equipe Permanente de Pilotage du PADR. Ce PADR est en fait un cadre permettant de concevoir, définir et orienter les stratégies et les programmes de développement rural à Madagascar.

Chan Mouie Jean Anastase dans Midi Madagasikara
 Il existe dans l’Amoron’i Mania près d’une centaine d’exploitants forestiers, a-t-il  relevé, tout en regrettant que 20% seulement des exploitants sont issus de la Région et le reste vient de différentes villes, comme Antananarivo, Antsirabe, Fianarantsoa. Chaque année, plus de 3 000 à 4 000 camions viennent chercher des planches, des madriers dans la région, soit 100 000m3 de marchandises,  pour par la suite les expédier directement dans les différentes grandes villes.

Dimisoa dansNewsmada
Appel de détresse : lémuriens, en voie de disparition. (..) 15 % des lémuriens disparaissent chaque année. (..) En 2010, la couverture de forêts naturelles en 2010 a été évaluée à 9 220 040 ha. Entre 2005 et 2010, environ 36 000 ha de forêts naturelles ont été perdus chaque année à Madagascar. Les taux de déforestation régionaux les plus élevés ont été constatés dans les régions de Boeny et d'Atsimo Andrefana avec respectivement un taux de perte de 0,9 % et 0,8 % par an pour la période.

Fanjanarivo dansLa Gazette de la Grande-Ile
Notons que Madagascar fait partie des pays producteurs de miel avec 3 000 à 4 000 tonnes par an. 50% de la production viennent du Nord-ouest d’après les données de la Fédération nationale des apiculteurs malagasy (FENAM). (..) Sinon, 30% du miel du pays proviennent de l’axe sud, 20% des hauts plateaux et de la côte est. (..) Le miel de Madagascar a des saveurs multiples en fonction des plantes mellifères. Dans la région de Fianarantsoa, on propose du miel d’eucalyptus, de mimosa, d’essences forestières mélangées. Dans le Boeny, on a le miel de palissandre et d’essences forestières mélangées. A l’Est et au Sud-est, les arbres mellifères sont principalement le litchi, l’eucalyptus, les agrumes, le cocotier. Et dans la Sofia, il y a le palissandre et le manguier. Dans le Menabe, on a le miel de jujubier et de palissandre.

Fanjanarivo dansLa Gazette de la Grande-Ile
Ainsi, près de 36% des ruraux ayant déclaré une maladie durant les deux dernières semaines ayant précédé l’enquête, n’ont pas consulté pour se soigner. Ce taux approche les 46% dans les villes. A part l’éloignement, il faut noter que le problème financier constitue un obstacle à la consultation. (..) L’enquête souligne que plus de 75% des patients ont pris des médicaments de leur propre initiative pour se soigner. Ce qui correspond à une hausse de 11 points par rapport à l’Enquête périodique auprès des ménages (EPM 2010).


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