Mikama - March 13, 2014

Sur Deutsche Welle
Radio Mampita FM94 broadcasts programs by farmers for farmers in Madagascar's highlands. From cultivating rice to turkey breeding, the unique station hopes to stamp out poverty by promoting information sharing and education. (..) "What makes Radio Mampita special is that it really is a radio station for the farmers. We not only speak their language, with us they can also have their say."

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Le récent rapport de l’Organisation internationale du travail (OIT) est clair : «  L’emploi informel est devenu la norme pour les jeunes des huit pays ». Il s’agit des pays où cette organisation a mené une enquête sur l’emploi des jeunes et Madagascar en fait partie. Ainsi, 7 jeunes sur 10 travaillent à leur propre compte. Dans la quasi-totalité des cas, ces emplois sont dans l’informel. (..) Chez les jeunes salariés considérés comme les moins vulnérables, la situation n’est pas non plus reluisante. Rares sont les jeunes salariés sont couverts par un contrat écrit. Ils ne constituent que 1/4 de la population des jeunes travailleurs. Seuls près de 10% ont un contrat d’une durée déterminée supérieure à 12 mois. Sinon, près de la moitié des contrats de travail sont temporaires et moins de 1/5ème des jeunes employés bénéficient de droits supplémentaires tels que les congés maladie, les congés payés annuels.

Noella Rakoto dans Newsmada
D’après les chiffres du ministère du Commerce, la Grande île n’exporte que 2.000 tonnes de poivres alors qu’elle dispose d’un quota d’environ 20.000 tonnes.
Ainsi, la potentialité du pays est énorme mais peu exploitée. Depuis hier, Bongolava compte parmi les régions exportatrices de Madagascar. (..) La consommation augmente de 5 à 7% et l’offre se situe aux environs de 8 dollars le kilo sur le marché mondial. (..) 125 communes sur les 149 existantes à Manakara produisent près de 830 tonnes de poivre. Quant à Farafangana, deux grands opérateurs dans cette localité arrivent à produire annuellement jusqu’à 100 tonnes de poivre.

Racl.R dans La Nation
Ce qui se passe actuellement avec les problèmes de chômage, de recrutement, de stage, d’expérience sont tous liés à l’éducation à Madagascar. Les jeunes, selon les recruteurs, font juste la course au diplômes et lorsqu’ils arrivent dans le monde du travail, ils ne sont pas à la hauteur de leur soi-disant diplôme. L’éducation est tellement devenue un business que même les enseignants ont perdu l’éthique de professeur. Il semble que dans les universités privées, ces enseignants sont payés à environs 5.000 Ariary l’heure et pour pourvoir toucher 800.000 Ariary par mois par exemple, ils doivent travailler 40 heures par semaine, alors qu’une université privée ne peut faire travailler un enseignant qu’environ 6 heures par semaine.

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