Mikama - March 20, 2014

Rija Ratovomahefa dans L'Express de Madagascar
Par sa luxuriante végétation, la Grande île offre une large gamme d’huiles essentielles issue de sa culture ancestrale, qui a fait ses preuves au fil des années. (..) « Madagascar n’arrive à satisfaire que 1 % de la demande internationale. L’offre ne suit pas la demande. Nos plantations ne sont pas encore industrielles, de même que les distilleries. Chaque unité de notre capacité de production est restreinte, faute d’approvisionnement en matières premières. De plus, l’apparition d’autres produits de synthèse qui viennent concurrencer les huiles essentielles naturelles sur le marché international est à considérer », a expliqué Jean Betiana, un opérateur de la filière.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Les mangroves sont très importantes puisqu’elles servent à beaucoup de secteurs. Elles sont considérées comme la maternité et la nurserie pour des espèces comme les crevettes. Les crabes s’y plaisent et ceux de Madagascar sont réputés pour leur goût. D’ailleurs, le potentiel du pays est encore très important dans ce domaine : il est de 7 500 à 8 000 tonnes, alors que la production annuelle est comprise dans une fourchette de 2 700 à 3 500 tonnes. Les mangroves procurent aussi du bois pour la construction, la confection de meubles, de charbon de bois…

Y.L.  dans La Gazette de la Grande-Ile
Chaque année, la Grande île perd 0,5% de sa couverture forestière pour l’approvisionnement en bois de chauffe et en charbon.
Selon les études menées par les chercheurs, si nous continuons avec notre consommation actuelle, d’ici 2030 nous connaîtrions une pénurie en bois de chauffe et en charbon. (..) En utilisant les foyers économes, chaque ménage peut réaliser une économie de 50% en charbon de bois, soit une économie de 5.900 ariary par mois. Il est à savoir que l’utilisation de 1.000 unités de foyers économes épargne 525 ha de forêts dans l’année.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Si la demande en charbon de bois se concentre dans les régions Analamanga, Vakinankaratra et Haute-Matsiatra, Toliara détient le record de consommation par tête d’habitant. Celle-ci se situe à 150 kg/habitant/an, contre 100 kg au niveau national. (..) ais il faut combiner les foyers améliorés au reboisement. Comme de nombreuses régions, l’Atsimo Andrefana fera face à partir de 2030 à des grands problèmes d’approvisionnement en bois énergie à cause de leur raréfaction. Pour y remédier, la région devra planter 3 000 ha/an sur 10 ans.

Antsa R dans Midi Madagasikara
Sur l’ensemble de la planète, les surfaces artificialisées ne représentent que 0,6 % du globe, contre 15,2 % pour les sols nus ; 12,2 % pour les terres agricoles ; 13 % pour les pâturages ; 1,3 % pour la végétation herbacée ; 2,6 % pour les plans d’eau intérieurs ; 0,1 % pour les mangroves ; 9,5 % pour les zones arbustives ; 9,7 % pour la neige et les glaciers ; 7,7 % pour la végétation clairsemée ; et enfin 27,7 % de superficies boisées. A Madagascar, les surfaces cultivables sont très vastes et seule une infime partie est exploitée.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Une opération combinée, certification et fiscalité, a été lancée dans le dessein d’améliorer les recettes fiscales des communes, puisque un immense gisement fiscal non exploité des communes est estimé à 36 millions USD par an. (..) « il faut encore attendre entre 75 et 500 ans pour parvenir à une garantie écrite de l’ensemble des terrains appropriés avec le rythme moyen de délivrance de certificats fonciers au nombre de 50 par commune par an alors que le nombre de parcelles identifiées varie entre 5 000 et 30 000 dans chaque commune », a exposé Zo Ravelomanantsoa, responsable de la gouvernance foncière au sein du PNF.

Fahranarison dans Newsmada
Le meilleur entrepreneur du concours jeune entrepreneur de la BNI Madagascar en 2006, reste très actif dans le monde des affaires. Il s'agit de  la directrice générale de la société Teknet group et non moins PDG de Tekroad depuis 9 mois maintenant, Johanne Raharinosy. De par sa qualité d'entrepreneur, elle compte apporter une solution pérenne aux problèmes d'enclavement et de dégradation des infrastructures routières qui entravent le développement du pays depuis des décennies.

Racl.R dans la Nation
L’or noir sous le sol malgache fait l’objet de convoitise des grands investisseurs pétroliers du monde entier. Madagascar est maintenant connu comme étant un des pays à fort potentiel en pétrole. En effet, environ 150.000 barils par jours dans un seul bloc pourraient être exploités. (..) « Il est clair que les Malgaches n’ont pas les fonds nécessaires pour exploiter le pétrole dans son sous sol. Il faut donc se mettre à l’évidence et véhiculer l’idée qu’il est capital de créer des activités connexes que de vouloir lutter contre la venue de ces étrangers », explique cet économiste.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
La Direction Générale du Trésor malagasy (DGT) a renouvelé son partenariat avec la Direction Générale des Finances publiques française (DGFiP). (..) Bref, il s’agit pour le Trésor Public Malagasy de s’approprier des expériences françaises en matière de réformes financières, budgétaires et comptables.

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