Dans Newsmada
Zoom sur les grandes banques de Madagascar
- BOA-MADAGASCAR, un portefeuille client en constante progression
- BFV-SG, banque rentable et écologique
- BNI Madagascar.
D’après les chiffres de 2012 et au niveau du bilan total, trois grands noms se démarquent, en l’occurrence le Crédit agricole (CA) avec 1 842 milliards d’euros, la Société générale avec 1 250 milliards d’euros et BPCE et ses 1 147 milliards d’euros. En termes de fonds propres, ils ont investi respectivement 45,2, 49,8 et 40,9 milliards d’euros, sachant également qu’au niveau notation, tous trois jouissent du « A+ » du rating fitch. Un cran en-dessus s’il en est par rapport aux autres groupes bancaires que sont MCB, SBM, BOA ou encore BGFI.
R.V. dans La Gazette de la Grande-Ile
La Grande Ile est riche en plantes médicinales dont 80% ont des vertus thérapeutiques. Selon les enquêtes publiées, 80% de la population malgache ont recours à la médecine traditionnelle, surtout les personnes vivant dans le monde rural.
Hanitra R. dans Midi Madagasikara
Ce document met en exergue les impacts potentiels du pipeline d’Ambatovy durant la phase d’opération et les mesures d’atténuation proposées par la compagnie.
Il détaille, par ailleurs, les programmes de surveillance et de suivis environnementaux dans les endroits traversés par le pipeline, et énumère les mesures règlementaires en matière d’environnement, de santé, de sécurité et aussi d’intervention d’urgence qu’Ambatovy s’engage à appliquer. Le PGES du pipeline s’aligne également aux normes internationales comme les normes relatives à la santé et sécurité et de durabilité sociale et environnementale de la Société Financière Internationale (SFI), celles de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), de la Banque Mondiale, ainsi que les Principes de l’Equateur.
Georges R. dans Newsmada
« Plus de 80% de la population vit en milieu rural et 89% des ménages pratiquent une activité agricole. Ce qui fait de l’agriculture familiale le pilier de l’économie malgache », indique la FAO... l’économie rurale de la Grande Ile, comme celle des autres pays de l’Afrique subsaharienne reste marquée par le poids d’une agriculture encore largement tournée vers l’autoconsommation, peu affectée par les recompositions économiques globales, selon les constats des experts en la matière. Le développement du secteur de la transformation des produits agricoles reste assez timide. Si l’agribusiness apporte une valeur ajoutée de 180 dollars dans les pays développés avec 98% des produits agricoles transformés, cette valeur n’est que de 4 dollars dans les Pays les moins avancés (PMA) comme Madagascar.
No comments:
Post a Comment