Mikama - March 27, 2014

Dans L'Express de Madagascar
«Nous avons constaté que la plupart des agriculteurs ne produisent que pour leurs consommations. Le problème est qu’ils ne peuvent ou ne veulent pas investir, car leurs produits sont achetés par la suite à bas prix par les collecteurs. Face à cette situation, nous avons décidé d’ériger des coopératives auxquelles les producteurs peuvent adhérer sans être liés par des contrats. Ils peuvent bénéficier de matériel agricole pour améliorer leurs productions, et nous nous engageons à trouver des débouchés pour leurs produits», explique Andry Andriamanoro, vice-président de l’association  Fanahy Maha olona.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
A part le pétrole, Varun group explore aussi de l’ilménite et des métaux lourds dans le Sud de Madagascar. Il projette aussi de faire du commerce de l’or dans l’océan Indien. Mais il ne se limite pas au secteur extractif. Il diversifie ses domaines en investissant dans l’exportation de haricots, de poivre, de girofle de Madagascar. Il importe du riz et a réalisé 2 500 containers en 2011.

René Cyrille dans Newsmada
Reflets...d'une dynamique de l'exportation : exigence d’une structure forte pour réussir les négociations -  Négociations avec les zones de marchés - Les lourdes conséquences de la crise - Enjeu de la stabilité politico-économique - Problème des normes à résoudre.

Dispositif pour soutenir les exportateurs locaux à percer le marché international, l’« International Trade Board of Madagascar » (ITBM) est né d’un partenariat entre les opérateurs économiques malgaches et l’Agence française de Développement (AFD). Cette agence nationale a pour rôle d’accompagner les entreprises dans les procédures d’exportation et de soutenir le pays dans les négociations sur le commerce international. Concernant cet accompagnement des entreprises, il existe plusieurs dispositifs, souligne Gil Razafitsalama, membre vice président de l’ITBM. « On a un volet sur l’accompagnement des clusters, c'est-à-dire qu’on essaie d’accompagner les groupements d’entreprises à travailler ensemble dans chaque secteur d’activité, on essaie de favoriser la mise en grappe des entreprises pour avoir une visibilité sur les marchés et pouvoir négocier sur le commerce international », a-t-il indiqué.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
La nouveauté de ce plan [le plan de travail 2014 de l’EITI Madagascar] tient essentiellement dans la prise en compte des nouvelles règles EITI et l’ouverture à l’ensemble de la chaîne de valeur des industries extractives. Parmi ces nouvelles règles, citons la publication d’informations contextuelles sur les industries extractives dont le registre des licences et permis, les contrats pétroliers… A Madagascar pourtant, les contrats pétroliers ont été toujours confidentiels, alors qu’il s’agit de Contrats de partage de production (CPP) entre les compagnies pétrolières et l’Etat malagasy via l’Office des mines nationales et des industries stratégiques (OMNIS).

Fahranarison dans Newsmada
Avec ses quelque 2 millions d’habitants, la ville de Mille ne dispose actuellement que 1.000 bornes-fontaines, or une-borne fontaine est destinée à 500 habitants, selon les normes. Outre ce faible taux d’accès à l’eau potable, l’insuffisance des services d’assainissement de base se fait également sentir, surtout dans les bas quartiers. (..) Selon les données fournies par la Banque mondiale, 5 millions d’habitants de plus peupleront la capitale en 2015. (..) Dans cette optique, 500 branchements domestiques d’eau potable seront effectués dans la ville d’Antananarivo. Ce projet quoi touche 2.500 personnes sera réalisé grâce à l’appui du gouvernement britannique, via le programme « Water and sanitation for the urban poor » (Wsup), qui vise 540.000 personnes.

Nadia dans Newsmada
Le dernier rapport de Extractive industries transparency initiative-EITI, récemment publié, mentionne que « la contribution du secteur extratif au PIB n’était que de 0,53% en 2011 ». Cependant, ce pourcentage pourrait connaître une forte augmentation avec l’entrée en lice de la contribution des mines. L’EITI parle en effet d’une croissance de 8% d’ici 2018. Plus encore si le secteur pétrolier et de nouvelles mines sont développés. Le rapport cite « l’avancement de Madagascar Oil qui approche aujourd’hui une quantité commerciale ».

Racl.R dans La Nation
Deux signatures de conventions pour promouvoir l’exportation. L’international Trade Board of Madagascar (ITBM) vient de signer deux conventions de partenariats avec deux institutions étrangères en l’occurrence l’Ubifrance et la Confédération des industries de l’Inde. Herintsalama Rajaonarivelo, président de l’ITBM, a donc signé le 21 mars 2014, au siège d’Ubifrance, un accord de partenariat privilégié avec le club des exportateurs de France.

Donas Hanitriniony R dans La Verite
Dans les Régions Sava et Diana, une grande société veut exploiter les terres rares. Une réflexion s’impose si cet investissement empiète sur les 13 000 ha de surfaces protégées. (..) Le projet d’appui à la mise en place du réseau d’aires protégées des ressources naturelles gérées, du ministère de l’Environnement et des Forêts, financé par le programme des Nations unies pour le développement veut étendre le système des aires protégées de Madagascar en développant un réseau. Il durera  cinq ans et touchera cinq sites dans  les Régions Sava, Diana, Boeny et Menabe. Ces sites couvriront une surface protégée de 1,5 million d’hectares. Le montant de financement est estimé à environ 8,5 millions usd.

Y.L. dans La Gazette de la Grande-Ile
Depuis un certain temps, on a constaté un engouement des grands organismes envers les enfants malgaches. En effet, quand il s’agit de faire des sensibilisations pour une cause en particulier, la plupart des organismes se tournent vers les enfants. (..) Cette semaine seulement, le service de la météorologie, persuadé que les enfants sont l’avenir de cette nation et en collaboration avec le ministère de l’Enseignement supérieur, travaille sur la manière de mettre dans le programme de l’enseignement fondamentale la météo et le climat. (..) L’ONG Làlana, pour assurer la propreté des canaux d’évacuation d’eau, a également misé sur les plus petits à travers des sensibilisations dans les écoles primaires sur l’importance de maintenir les canaux propres.

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