Mikama - March 21, 2014

Reflet dans Newsmada
Reflets...d'une dynamique de l'exportation : exigence d’une structure forte pour réussir les négociations
Négociations avec les zones de marchés - Les lourdes conséquences de la crise - Enjeu de la stabilité politico-économique - Problème des normes à résoudre.
Dispositif pour soutenir les exportateurs locaux à percer le marché international, l’« International Trade Board of Madagascar » (ITBM) est né d’un partenariat entre les opérateurs économiques malgaches et l’Agence française de Développement (AFD). Cette agence nationale a pour rôle d’accompagner les entreprises dans les procédures d’exportation et de soutenir le pays dans les négociations sur le commerce international. Concernant cet accompagnement des entreprises, il existe plusieurs dispositifs, souligne Gil Razafitsalama, membre vice président de l’ITBM.

Vanessa Zafimahova dans Ino Vaovao
GLOBAL FOREST WACTH : Hampiharina eto Madagasikara ny tetikasa fanaraha-maso ny ala. Eto Madagasikara sy any Georgie no hanombohana azy io. Nalaina tahaka tamin’ny fomba fanaraha-maso nahitam-bokany tany Brezila izy io. Mampiasa solosaina sy « satellite » ary fifandraisana « internet » ity fomba vaovao ity. Misy ireo tahirin-tsary mikasika ny ala manomboka tamin’ny taona 2000 ka ahafahana mampitaha tsara ny toetry ny ala amin’ny fotoana itsirihana izany, roa, dimy, na folo taona aty aoriana.Ny GFW dia manangona sy mitahiry ireo antontan’isa sy antontam-baovao rehetra ary azon’ireo mpisehatra eo amin’ny lafiny tontolo iainana rehetra jerena amin’ny fotoana rehetra izany.

Rija Ratovomahefa dans L'Express de Madagascar
Selon les données de l’Institut national de la statistique (Instat), l’importation [vers la Chine] se chiffrait à près de 418 587 dollars en 2011 contre 92 609 dollars pour l’exportation.
Soit un déficit d’une valeur de 325 978 dollars. « Madagascar se laisse envahir par tout un tas de produits ...», a expliqué un responsable auprès de la direction de la Promo­tion des échanges extérieurs.

Elia R. dans La Gazette de la Grande-Ile
Les différents orateurs ont été unanimes à reconnaître que le principe de l’exode urbain « à la Hafari » est simple et somme toute faisable : donner aux déshérités (les 4’Mi de la capitale pour commencer) la possibilité d’acquérir des terrains domaniaux, et à charge pour les concernés d’exploiter au maximum leurs parts respectives, après qu’on leur donne en bonne et due forme les titres et autres certificats juridiques afférents à leurs biens.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
En 2010, les constructions illicites représentaient 70 % des habitats réalisés. Selon les études effectuées par ENDA Océan indien, GRET et Inter Aide (2005), le domaine de l’habitat se répartit comme suit : les lotissements, formés de constructions structurées (immeubles, cités, etc.) : 5 % des habitations ; l’habitat résidentiel, regroupant les constructions individuelles : 30 % ; l’habitat traditionnel, constitué des maisons anciennes réparties dans les villages environnants : 25 % ; l’habitat précaire dans les bidonvilles : 25 % ; l’habitat diffus formé de logements ruraux : 12 %.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Alors que  près d’un quart de la population de Madagascar est touché par l’insécurité alimentaire, le PAM estime ses besoins financiers à$5millions de dollars américains (environ 11,7 milliards d’ariary) pour pouvoir venir en aide à 800 000 personnes ciblées pour les six prochains mois. Avec les ressources actuellement disponibles, le PAM assiste près de 400 000 personnes.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Parmi ces expériences, il y a celles du Mali où les paysans riverains ou qui occupent les terrains utilisés par des investisseurs sont actionnaires de la société que ces derniers mettent en place. Le terrain est leur apport en capital. C’est une solution qui n’oblige pas les paysans à trouver de quoi constituer un capital en numéraire. Cette approche contourne ainsi les problèmes de pauvreté des paysans. Mieux, elle leur permet de toucher des royalties.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Pour la ville d’Antananarivo pourtant, le budget est de l’équivalent de 4 US$ par habitant par an d’après la Banque mondiale. Si la capitale recouvre correctement la taxe foncière communale, son budget devrait se situer à 6,4 US$ par habitant par an. C’est mieux que rien car à ce niveau, il sera 4 fois moindre que celui de Dakar qui est actuellement 7 fois plus que le niveau actuel de Tanà. (..) La démarche combinant sécurisation foncière et fiscalité foncière s’avère ainsi très intéressante à plus d’un titre. Elle exige toutefois de la volonté politique pour mobiliser 18 000 US$ par commune.

Racl.R dans La Nation
Depuis 2006, 550 communes sur les 1.550 ont été équipées d’un guichet foncier communal. Elles ont reçu plus de 170.000 demandes et ont délivré près de 100.000 certificats. Cette nouvelle procédure de reconnaissance des droits de propriété privée non titrée par des commissions locales et sans fonctionnaires des Domaines ni géomètres, permet une économie considérable de temps et de coût pour garantir officiellement un droit de propriété.

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